A Plague Tale : Innocence ! Made In France de qualitay !

Bonjour les aventuriers, et bienvenue dans cette nouvelle chronique autour d’une très bonne surprise.

Le studio français Asobo est basé en France à Bordeaux, il se fait remarquer en 2021 avec son premier jeu A plague Tale : Innocence. 

Un virus dangereux, une amitié grandissante et une histoire touchante sont le cocktail de cette pépite Made In France.

Histoire

Le jeu nous plonge donc dans une période encore peu exploitée dans les jeux action aventure. 

L’action se situe donc en 1348 où un virus commence à décimer la population, dont le gouvernement essaie aux maximums de protéger les citoyens non affectés. 

Dans cette introduction, nous faisons connaissance d’Amicia, la fille d’un roi dans une banlieue proche de Carcasonne. Elle est très proche de son père, dont celui-ci l'entraîne au tir via sa fronde, un ancêtre du lance-pierre. Cependant l’action va vite prendre une tournure dramatique où des soldats de l’inquisition vont pénétrer dans le fort afin de rechercher un enfant du nom d’Hugo. 

Ce jeune garçon de 5 ans est le petit frère d’Amicia, ils ne sont malheureusement pas proches car sa sœur agée de 15 ans à beaucoup de responsabilités. Cependant avec l’intervention des inquisiteurs, sa mère donne une consigne importante de protéger son frère. 

Pour rentrer un peu plus dans l’histoire du jeu, nous allons nous balader à travers des villes adjacentes et notamment implanter notre camp dans le fort d’ombrage (celui-ci est inspiré du château de Roussillon) situé au-dessus de Cahors. 

L’histoire va nous faire rencontrer d’autres personnes qui ont subi aussi, la violence des inquisiteurs. Certains continuent de faire leurs activités comme Rodrigue qui est ferrailleur ou deviennent voleur. 

Le jeu est narrativement très bien écrit et vraiment intéressant avec les différents objets à collecter dans la plupart des points du jeu. Entre les secrets permettant de connaître l’époque et ce qui se passe en dehors de nos personnages, ainsi que l’histoire liée aux nouveaux personnages sont vraiment impactants. 

Pour finir, bien que toutes l’aventures à permis de libérer certains villages. Les villageois recherchent toujours une fille et son petit frère. 

Gameplay

Le studio propose un gameplay entre Uncharted, Metal Gear Solid et Assassin’s Creed. 

Je m’explique, nous jouons principalement Amicia dont l’histoire se traverse comme un couloir. Nous avons certaines séquences de combat, soit en forme d’arène où l'héroïne devra battre un boss et par d’autres moments battre ou non des soldats de l’inquisition. 

Au fur et à mesure de l’aventure, vous obtiendrez de nouvelles compétences qui seront à mettre en service immédiatement pour pouvoir passer certains mondes. 

Or, le gameplay principal sera de vous cacher afin de ne pas vous faire voir par les ennemis, tout en restant proche de Hugo. Ce pnj est plutôt bien écrit car celui-ci ne bougera pas, si vous ne lui donnez pas l’ordre et restera proche de sa sœur, quoi qu’il se passe. 

Hugo aura son propre gameplay jouant sur sa taille dans un style littéralement infiltration. Le jeu qui me vient en tête est Gollum qui s’en approche. Le personnage ne devra pas se faire voir au risque de faire rater la mission et le reste de l’intrigue. Il débloque aussi des compétences qui permettront de battre le boss final. 

Coup de coeur 

C’est une très bonne surprise car l’histoire est vraiment prenante, en plus de proposer un gameplay plutôt facile à prendre en main. En dehors de la fronde qui est assez compliquée durant certaines phases d’actions avec plusieurs adversaires.

Le jeu est à la hauteur de sa réputation, un très bon cru venant du studio bordelais ASOBO. 

Presser de faire le Requiem !  

La suite du jeu sortie en 2021 continue l’aventure d’Amicia et Hugo. Je ne peux vous dire ce que je pense pour le moment car je vais le lancer sur Twitch. 

Un article autour de cette suite sera fait pour revenir sur mon avis global ainsi que sur les points positifs et négatifs de cette suite.

Et toi, tu en penses quoi du jeu ?

Écrit par Nicolas Hortin