Quand BREL et INOXTAG s’alignent pour nous inspirer !

Quand BREL et INOXTAG s’alignent pour nous inspirer !

Plus qu’une œuvre futile … 10 leçons utiles qui peuvent inspirer les managers … et tous les autres ... Une réflexion sur un humain, une aventure et un film ...

En dépit des nombreuses critiques, dont certaines sont parfaitement légitimes, le défi que s’est lancé INOXTAG de gravir l'Everest nous offre un série de leçons inspirantes … quel que soit notre âge, qui que nous soyons, quoi que nous fassions.

Des leçons qui s’adressent aux apprentis-aventuriers, mais aussi aux grands sportifs, aux managers … et aux grands rêveurs qui hésitent à passer à l’acte.

À 22 ans, le jeune influenceur s'est lancé un défi a priori déraisonnable : gravir le plus haut sommet du monde, sans aucune expérience préalable en alpinisme. Un défi qu’aucune personne responsable ne saurait cautionner. Et pourtant …

Leçon 1 : La puissance du rêve ?

La première leçon à retenir de l’histoire d’INOXTAG est la puissance du rêve. Une grande partie des frustrations humaines provient de la confusion entre rêve et fantasme. Combien de fois disons-nous « Je rêverais de faire ceci ou cela » ? Que ce soit en fonction de notre genre ou de notre âge, ces « rêves » varient, mais en réalité, beaucoup d’entre eux ne sont que des fantasmes.

Quelle est la différence ?

Un rêve a un prix. C’est précisément pour cela qu’il n’est pas encore réalisé. Si nous n’avons pas encore concrétisé un rêve, c’est que nous ne sommes pas encore prêts à en assumer le coût. Ce coût se traduit par des concessions, des sacrifices, du travail, de l’investissement, et du temps nécessaires pour transformer ce rêve en réalité. Si nous ne sommes pas disposés à payer ce prix, alors nous devrions accepter de déplacer ce projet de notre « boîte à rêves » vers notre « boîte à fantasmes ». Peut-être qu’un jour, nous serons prêts à assumer ce coût, et à ce moment-là, nous pourrons replacer ce projet dans la bonne boîte.

La distinction est claire : un fantasme non réalisé ne devrait pas provoquer de frustration. Il ne s’agit que d’une idée séduisante pour laquelle nous ne sommes pas encore prêts. En revanche, un rêve non réalisé devrait engendrer de la frustration, car si c’est véritablement un rêve, rien ou presque ne devrait nous empêcher de le concrétiser.

INOXTAG a décidé que gravir l’Everest était un rêve. Et comme tout rêve, il a accepté d’en payer le prix : par son acharnement, sa persévérance, son investissement personnel, et sans doute au prix de nombreux renoncements. Il a géré ce projet de manière professionnelle, en incluant une préparation physique rigoureuse et un engagement total.

Leçon 2 : Yes I can

La deuxième leçon tirée de l’expérience d’INOXTAG est la puissance du “Yes I can”.

Il n’est ni le premier ni le dernier à envisager un projet qui, à première vue, semble inaccessible. Pourtant, il a refusé de croire à cette inaccessibilité. Plutôt que de se résigner, il a cherché à comprendre, à s’entourer des bonnes personnes et à s’informer en profondeur. Nous avons souvent tendance à dire trop rapidement « C’est impossible », alors qu’en réalité, nous ne sommes simplement pas prêts à payer le prix pour y parvenir.

Aujourd’hui, très peu de choses sont véritablement impossibles, à condition que nous soyons prêts à nous y engager pleinement.

Quelle magnifique leçon sur le locus de contrôle : cette conviction que nous avons le pouvoir, si nous le voulons vraiment, d’influencer la trajectoire de nos vies. Nous avons la capacité de devenir responsables de ce qui nous arrive… ou de ce qui ne nous arrive pas. En fin de compte, ce n’est rien de plus que la réitération de ce qu’INOXTAG avait déjà compris en lançant son activité sur les réseaux sociaux.

Leçon 3 : La puissance de la méthode

La troisième leçon que nous enseigne l’expérience d’INOXTAG est l’importance du recours à une méthode structurée. Dans ce cas précis, INOXTAG a adopté la méthode japonaise KAIZEN, qui a d’ailleurs inspiré le titre de son documentaire. Cette méthode repose sur des principes tels que la persévérance, l’esprit d’équipe et l’amélioration continue.

Le terme “Kaizen” est issu de la fusion des mots japonais « kai » (changement) et « zen » (meilleur), et représente une approche progressive de l’amélioration continue. En apportant de petits changements constants, il devient possible de transformer significativement la satisfaction des collaborateurs (ou des clients), tout en optimisant les processus, réduisant les coûts et les délais.

Lorsqu’on se lance dans une aventure nouvelle, que l’on n’a jamais encore pratiquée, s’appuyer sur l’analyse et la recherche d’une ou plusieurs méthodes philosophiques est souvent un facteur déterminant pour réussir. Cette approche méthodique permet de soutenir ce que l’on appelle la “can do attitude”, une mentalité positive qui reflète parfaitement l’attitude d’INOXTAG. C’est une manière de penser où la personne reste motivée, optimiste et prête à relever les défis, se concentrant sur les solutions plutôt que sur les obstacles. Elle aborde chaque tâche avec confiance, analyse et détermination, en croyant fermement en sa capacité à réussir, même face aux difficultés.

Derrière le cliché visuel de l’aigle survolant les sommets au début du film, les images nous rappellent une célèbre citation d’Antoine de Saint-Exupéry dans Terre des hommes : « L’Homme se découvre quand il se mesure à l’obstacle ». Cette citation illustre à merveille l’idée que les obstacles sont une opportunité pour se découvrir et se dépasser.

Leçon 4 : Un éléphant se mange morceau par morceau

Cette quatrième leçon s’adresse particulièrement aux managers, qui ont souvent l’impression de faire face, chaque jour, à une montagne d’obstacles. Le documentaire retraçant l’aventure d’INOXTAG illustre de manière pertinente les étapes du développement personnel et professionnel qu’un manager peut traverser.

Tout au long du parcours, l’objectif est de grandir. Cela commence par la définition d’objectifs SMART (Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis), un principe bien connu des managers. Une fois les objectifs fixés, il s’agit ensuite de sourcer les capacités nécessaires, tant en termes de ressources que de compétences, pour les atteindre. Cela implique également de se doter de principes, de valeurs, et d’une méthode – comme la méthode Kaizen dans ce cas précis.

De plus, un aspect crucial souvent négligé dans la gestion et le leadership est de célébrer les petites victoires, de reconnaître le chemin parcouru. C’est une leçon qui trouve des applications dans de nombreux contextes managériaux, où l’atteinte progressive des objectifs permet de maintenir la motivation et de renforcer l’esprit d’équipe.

Leçon 5 : No pain, no gain

La cinquième leçon pourrait s’intituler “No pain, no gain” ou “There is no free lunch”. Si vous souhaitez réaliser un rêve, c’est forcément quelque chose d’exceptionnel, d’au moins partiellement inaccessible. Autrement, vous auriez déjà accompli ce rêve. Il y a donc un prix à payer. Avoir un objectif clair, voire une raison d’être (purpose), c’est aussi accepter la difficulté et les défis que cela implique. Seules les théories suggèrent une trajectoire linéaire vers le succès.

Dans la réalité, il y aura des moments de doute, de découragement, voire des échecs. Il est essentiel de les considérer comme des apprentissages et de comprendre qu’il est toujours possible de pivoter. L’opiniâtreté et l’imagination sont souvent les meilleures alliées pour trouver des alternatives puissantes et dépasser les obstacles.

Leçon 6 : Sortir de sa zone de confort

Pour moi, la sixième leçon pourrait s’intituler ainsi : “La vie réelle commence lorsque l’on sort de sa zone de confort”. L’accomplissement de ses rêves, la volonté de se découvrir, de progresser et de se réaliser exigent que l’on quitte cette zone de confort. Chacun est libre de choisir d’y rester, bien entendu, mais cela implique de prendre le risque de nourrir, un jour, des regrets.

INOXTAG, tout au long de son ascension, se découvre, apprend, et se réalise à mesure qu’il progresse vers le sommet. C’est en affrontant les défis en dehors de sa zone de confort qu’il grandit véritablement et trouve un sens à son aventure.

Leçon 7 : Moi et Nous

Une septième leçon me semble inspirante pour le manager. Les managers, les leaders qui progressent et qui réalisent des « achievements » remarquables doivent arbitrer entre le « moi » et le « nous ».

Ils développent leur moi en sortant de leur zone de confort, en pratiquant leur locus de contrôle, ils acceptent leur « no pain, no gain ».

Mais ils évoquent souvent la solitude du leader, du manager. Du décisionnaire. C’est le cas d’INOXTAG qui l’évoque en parlant de « c’est toi et toi-même ». Comme pour un coureur de fond, cette solitude permet de se rencontrer, de se défier soi-même. Elle représente une précieuse opportunité d'introspection et de prise de recul.

Mais ni les managers, ni INOXTAG, ne peuvent y arriver sans leurs équipes. Sans un solide esprit d’équipe. Sans un alignement du leader et de son équiper sur une raison d’être (le « why ») pour les motiver et une « étoile polaire » pour les guider

Il n’y a rien de mieux pour illustrer l’esprit d’équipe qu’une course en montagne : les membres de l’équipe sont en effet encordés. Une parfaite illustration de ce que nous avons régulièrement entendu dans la bouche de leaders ou de managers « les gars nous sommes dans la même baignoire ».

Pour INOXTAG, à fortiori avec sa relative inexpérience, atteindre le sommet est impossible en solitaire. La peur, les doutes, la souffrance sont autant d'obstacles à surmonter ensemble.

La cohésion, l’esprit d’équipe sont une question de survie. Économiser et partager les ressources, notamment les bouteilles d'oxygène, est déterminant de la survie du groupe.

Leçon 8 : Tout le monde a besoin d’un coach même FEDERER 

La huitième leçon porte sur l’importance d’avoir un coach.

Tous les plus grands sportifs ont bénéficié de l’accompagnement de coachs, souvent plusieurs. INOXTAG illustre parfaitement, dans le cadre de son projet minutieusement planifié, l’intérêt de recourir temporairement à des compétences externes pour faciliter et accélérer sa progression tout en maximisant ses chances de succès.

Un coach est celui qui possède l’expérience : il a déjà vécu et répété l’aventure, il a su en faire un processus structuré, et maîtrise à la fois les savoir-faire et les savoir-être nécessaires pour guider et inspirer, même un néophyte. C’est cette combinaison de compétences et cette envie de partage qui font la force d’un bon coach.

De plus en plus de leaders, managers, CXOs et CEOs font appel à des coachs, et ils ont raison.

Le jeune influenceur, en préparant son ascension et en surmontant les défis, se découvre et se transforme peu à peu grâce à l’accompagnement de ses coachs et partenaires. Il parvient même à s’intégrer dans un milieu très fermé, celui des alpinistes et des guides de haute montagne, un univers qui n’était pourtant pas le sien à l’origine.

Leçon 9 : La qualité gage de succès … et de survie

La neuvième leçon concerne l’exécution qualitative, un aspect essentiel tant pour les managers que pour les leaders. La gestion de la qualité est un système dynamique qui évolue continuellement grâce aux suggestions, ainsi qu’aux actions correctives et préventives. Cet esprit d’amélioration constante s’inscrit pleinement dans la méthode Kaizen, que suit INOXTAG tout au long de son aventure.

Tout comme dans le cadre d’une entreprise, où un plan d’amélioration de la qualité est mis en place, l’expédition décrite dans le film fonctionne de manière similaire : elle permet de définir et de planifier les actions nécessaires pour progresser. Ce plan inclut des objectifs précis, ainsi que les ressources, responsabilités et délais nécessaires, de la même façon qu’on prépare méthodiquement une ascension de l’Everest.

En cas de non-conformité détectée, des actions correctives ou préventives sont mises en œuvre en fonction de la gravité et de la fréquence du problème. Cependant, une distinction fondamentale apparaît entre ces deux contextes : dans le cadre du management de la qualité, l’enjeu principal est la pérennité et le développement de l’entreprise, tandis que pour l’expédition, l’enjeu ultime est la survie du groupe.

Leçon 10 : Arrêter de vendre des cornichons

La dixième et dernière leçon de cette aventure est que chacun d’entre nous devrait se lancer des défis, pour aller au bout de ses rêves, pour apprendre à distinguer les fantasmes des véritables aspirations, et pour oser, tout en acceptant éventuellement l’échec. Il est essentiel d’apprendre à avoir confiance en soi, à planifier, à organiser, à trouver les ressources nécessaires et à imaginer pour anticiper. En fin de compte, le pire serait de ne jamais essayer.

Lorsque je rencontre des candidats à l’EMBA de Solvay, je leur demande quel est leur plus grand “achievement”, celui dont ils sont le plus fiers. C’est une question facile, qui appelle souvent des réponses tout aussi simples. Mais lorsque je leur demande quel a été leur plus grand échec, et comment ils l’ont surmonté, la réflexion devient plus difficile. Ceux qui ont déjà connu l’échec en parlent souvent comme une source d’apprentissage. En revanche, ceux qui n’ont jamais connu d’échec n’ont soit pas quitté leur zone de confort, soit intégré l’échec comme une étape transitoire de leur parcours.

Ce processus est en réalité au cœur de l’esprit entrepreneurial. Nous avons besoin d’entrepreneurs pour relever les grands défis de notre temps : que ce soit pour innover face aux enjeux environnementaux, pour répondre aux défis liés au vieillissement de la population, et bien plus encore.

Je ne peux résister à l’envie de partager avec vous cette magnifique interview de Jacques Brel en 1971, où il parle des rêves et des cornichons. Ses mots résonnent encore aujourd’hui comme un puissant rappel de l’importance de rêver et d’oser.

Ce qu’il y a de plus dur pour un homme qui habiterait Vilvorde et qui veut aller vivre à Hong Kong, ce n’est pas d’aller à Hong Kong, c’est de quitter Vilvorde.

C’est ça qui est difficile. Ce n’est que ça qui est difficile. Parce qu’après Hong Kong, tout s’arrange. Il suffit d’avoir une santé et une folie et puis … Hong Kong est à la portée de tout le monde. Mais quitter Vilvorde, ça c’est dur…

Je connais un million de types qui vont écrire un livre. T’es bien d’accord. Oh, j’en connais… moi j’en ai rencontré un million dans ma vie. Des types qui disent : « alors tu sais, encore deux ans… je vends des bretelles encore deux ans, hein, tu vois… mais alors, en 73, j’écris un livre. »

Et puis, un jour on les rencontre en 73, et ils diront : « moi, je continue à vendre des cornichons, tu vois. Je vis avec mes cornichons. J’ai une femme, j’ai deux enfants, j’ai un chat, j’ai une petite amie, ma voiture est vieille, je vends des cornichons jusqu’en 75 et en 75 jj’écris un livre. » Le livre étant le symbole de ça.

Moi, je crois que, bretelles ou cornichons… quand on a envie de faire un truc, il faut plonger comme un fou, il faut le faire, quitte à se tromper. Je préfère me tromper, je préfère plonger moi, et je plonge. Qu’est- ce que ce sera ? Mystère et boule de gomme, hé. Et tu sais pourquoi les gens ne font pas de chansons et tu sais pourquoi les gens ne chantent pas et tu sais pourquoi les gens n’écrivent pas de livres ? Parce qu’ils font autre chose à la place. Ce n’est que ça. C’est le goût d’aller à Hong Kong. Je reviens là-dessus. La difficulté pour aller de Vilvorde à Hong Kong, ce n’est pas d’aller de Bruxelles à Hong Kong, c’est d’aller de Vilvorde à Bruxelles. C’est ça la difficulté.

Jacques Brel – Interview, 1971

Tentative de conclusions

Bien sûr, le film d’INOXTAG constitue une superbe opportunité pour le jeune influenceur de se mettre en scène et de valoriser son image. Cependant, comme l’a très bien souligné HBS France[1], il serait réducteur de limiter cette aventure à un simple exercice narcissique.

En réalité, le documentaire d’INOXTAG est un plaidoyer inspirant sur le potentiel caché que chacun de nous possède pour réaliser ses rêves. Il nous montre la voie à suivre, le bonheur qu’il y a à quitter sa zone de confort, à s’élever, et à se dépasser. C’est une démonstration claire que le talent seul ne suffit pas et que la chance n’existe pas sous la forme que l’on imagine souvent. Si chance il y a, c’est une compétence qui se développe par le travail, l’engagement et la persévérance.

Pour illustrer cela, je me permets de faire encore une fous écho aux paroles de Jacques Brel, qui aborde avec éloquence la question du succès et des rêves. Selon lui, le talent n’est rien d’autre qu’une envie ardente de faire. Cette perspective est surprenante, car pour Brel, il n’y a ni accident ni hasard : seul un travail acharné, soutenu par une grande énergie, permet de réussir. Cette vision s’écarte de l’idée romantique de l’artiste génial, chanceux et naturellement talentueux. Au contraire, Brel nous enseigne que l’effort est le véritable moteur de la réussite.

“Le talent ça n’existe pas. Le talent c’est avoir l’envie de faire quelque chose. Je prends l’exemple d’un homme qui rêve d’avoir envie de quelque chose. Il prétend avoir envie de manger un homard. Il a le talent, à ce moment-là, dans l’instant. Il a le talent, à ce moment-là, pour manger un homard, pour le savourer convenablement. Et je crois que d’avoir envie de réaliser un rêve c’est le talent et tout le reste, c’est de la sueur, c’est de la transpiration, c’est de la discipline, je suis sûr de ça! L’art, moi, je ne sais pas ce que c’est. Les artistes je connais pas. Je crois qu’il y a des gens qui travaillent à quelque chose et qui travaillent avec une grande énergie finalement et l’accident de la nature je n’y crois pas. Pratiquement pas”.

La réussite repose donc sur un mélange de quelques pourcentages de talent et d’une écrasante majorité de sueur et de travail. Ce documentaire illustre parfaitement l’explication donnée par Jacques Brel sur le talent : il ne s’agit pas d’un don inné, mais plutôt d’une envie, d’une volonté alimentée par un travail acharné.

C’est un plaidoyer en faveur des valeurs morales que chacun peut et doit développer pour avoir la capacité de changer le monde. Un message profondément inspirant, non seulement pour les jeunes qui s’interrogent sur le sens de leur vie, mais aussi pour les managers et leaders en quête de dépassement et de transformation.

En résumé, malgré les critiques légitimes qui peuvent être formulées, ce succès est loin d’être un événement anecdotique, futile ou vain, comme certains pourraient le penser. Il est, au contraire, porteur de leçons de vie et de travail qui résonnent bien au-delà du simple exploit physique.

 

Pr Bruno WATTENBERGH

Professeur de Stratégie et d’Entrepreneuriat

Directeur Académique EMBA Solvay Brussels School of Economics & Management

Ambassadeur de l’Innovation chez EY Belgium


[1] https://www.hbrfrance.fr/leadership/kaizen-ce-que-le-defi-d-INOXTAG-peut-apprendre-aux-managers-60747

Super liste Bruno 😉 juste la clé du succès ✌️

Charlotte De Thaye

Directrice Générale chez Federia - la Fédération des agents immobiliers francophones de Belgique

2 mois

Merci et bravo Bruno M. Wattenbergh pour ces 10 leçons inspirantes ! Je ne vais pas tarder à découvrir le film ;-)

Henri de Romrée

Deputy Chief Executive Officer | Master of Science in Management

3 mois

Spot on ! Merci

Indéniablement les vérités qu’il faut y voir! Très belle et judicieuse analogie à Brel, le Grand Jacques. Bravo. Bruno, I think a repost of such a profound tribune in English would benefit to a broader audience… ;)

Jean-Marc Poncelet 💥

J’aide les leaders et les entrepreneurs à clarifier leurs pensées et à passer à l'action (Coach ICF & Trainer) - J’aide des entrepreneurs à monter leur boîte (Mentor) - J'ai cofondé wikibuild.io (Entrepreneur)

3 mois

Woaw. Tu as été inspiré Bruno. Je suis aussi admiratif de la qualité du documentaire et de la personnalité de Inoxtag. Il casse les codes à 22 ans et j'entends surtout les jeunes adultes et les moins jeunes en parler avec passion. Il arrive à parler et à motiver une cible à se bouger les fesses et à se fixer de grands projets.

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