Quand le Groupe BPCE publie un intrigant rapport annuel

Le Groupe BPCE métamorphose l’exercice du rapport annuel en éditant la première « Business nouvelle ».    

Voilà un rapport annuel dont on n’a pas fini d’entendre parler et qui devrait faire une moisson de prix quand l’heure sera venue. L’opus 2016 de la BPCE (Banques Populaires, Caisses d’Épargne, Natixis, Crédit Foncier, Banque Palatine…) explore des territoires encore inconnus en communication corporate, en exploitant comme jamais l’art de la narration. Très loin de l’exercice réputé codifié du rapport annuel. J'y ai été pour ma part très sensible et je salue le talent des auteurs autant que l'audace de l'agence (Havas Paris) et de la direction de BPCE !

Qui est cet intrigant Charles Langley qui, avec ses messages à l’encre violette, percute la vie d’Eva Brunold, semblant tout connaître de son passé ?

Qui est cet intrigant Charles Langley qui, avec ses messages à l’encre violette, percute la vie d’Eva Brunold, semblant tout connaître de son passé ? Rien moins que le personnage central de la nouvelle littéraire qui constitue l’étonnant rapport d’activité 2016 du Groupe BPCE.

Bravo pour cette proposition qui casse tous les codes et fait briller les yeux de tous les communicants. Le texte original signé par Jean-Pierre Montal est associé aux illustrations mixant aquarelle et photo des jeunes artistes Karolis Strauniekas et Yann Le Bec. Au fil de l’intrigue, l’auteur dévoile la stratégie du groupe et les faits marquants de l’année. Les 11 chapitres de la nouvelle sont parsemés d’indices qui invitent le lecteur à s’extraire de la narration pour découvrir les services, solutions et innovations portés par les entités du groupe BPCE.

Un site internet http://intrigant-rapport-annuel.groupebpce.fr/ est dédié à la « business nouvelle », que BPCE a également éditée dans un livret d’une soixantaine de pages, laissant le lecteur profiter pleinement des illustrations originales. Gageons que l’esthétique et la qualité éditoriale du document attireront des lecteurs, au-delà du cercle restreint des actionnaires et des analystes, qui disposeront en outre d’un deuxième cahier, plus « technique ».

Si les coulisses de cette réalisation vous intéresse, je vous invite à lire l’article publié sur Influencia.