RÉFLEXION SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE OU LE RÉCHAUFFEMENT DE LA TERRE : CAS DE LA RÉGION INTERTROPICALE par NGUBA,Essosa Justin Marie et LWANZO, JC.
REFLEXION SUR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE OU LE RECHAUFFEMENT DE LA TERRE : CAS DE LA REGION INTERTROPICALE
Par Justin Marie NGUBA ESSOSA, Assistant de deuxième mandat à l’Institut Supérieur Technique, des Arts et de Développement, ISTAD GOMA et Jean Claude LWANZO, Assistant à l’Institut Supérieur Pédagogique et Technique, ISPT GOMA, République Démocratique du Congo
RESUME : L’atmosphère est caractérisée par une abondance en oxygène, conséquence directe de l’existence de la vie sur la planète, est due à la différence entre le processus de la respiration et celui de la photosynthèse. Cette situation alarmante de cesse de préoccuper les scientifiques : écologistes, les climatologues, les géographes, les astronautes, les chimistes, les biologistes, les physiciens, les attachés de recherche pour combattre ce fléau dont l’humanité est victime suite aux tâches solaires et à la déclinaison magnétique. Les données récoltées couvrent la période allant de 2014 – 2015.
Mots-clés : La pollution atmosphérique ; réchauffement de la Terre ; La perturbation des cycles biogéochimiques sur les biocénoses.
Abstract: The atmosphere is characterized by it plenty in oxygen, a direct consequence to the planet being due to the difference between breathing process and photosynthesis. That alarming status worry Scientifics and research attached to fight the earth warming whose mankind become the true victim following solar marks and magnetic declension. Data base collected during 2014-2015.
Key words: Atmospheric pollution, Earth warm, biogeochemical cycles on the biogenesis.
- INTRODUCTION
Il va de soi que les homes ont des besoins élémentaires qu’ils doivent satisfaire et la société a pour fonction de les aider par ses diverses institutions. Tous ces besoins tels que la nourriture, l’abri, la garantie des soins, la reproduction, la sécurité, la protection contre les intempéries circonstancielles de notre source de consolation la nature sont des produits sociaux et sont définis par les moyens de le satisfaire que chaque société met à la disposition de ses membres habitant à la surface terrestre couvertes par la végétation.
La Terre, troisième planète du système solaire, a l’orbite comprise entre celle de Venus et celle de Mars, dont son diamètre est égal au 1/109 du diamètre du soleil et son volume est de 13.000.000 fois plus petit, sa masse de 5976.1021 Kg est 332.000 fois inférieure à celle du soleil. Cette Terre étant la seule planète dans l’état actuel des connaissances humaines, qui puisse être étudiée directement, au moins dans certaines limites dues aux difficultés de prospection sur une grande échelle, une grande masse intérieure du globe influençant la formation des océans, des continents, de l’atmosphère, de la biosphère est en train de se réchauffer suite à la destruction de l’ozone atmosphérique par les avions hypersonique depuis plus au moins 50 ans, sans oublier les fumigées industrielles non recyclées dans cet atmosphère. D’où la naissance de la pollution atmosphérique, base de réchauffement de la Terre ayant comme conséquence, le changement climatique. Ce phénomène est plus remarquable dans la zone intertropicale avec moins d’incidence dans la zone tempérée.
En effet, toute combustion s’accompagne d’un dégagement de fumée néfaste à l’environnement de l’homme et de la planète elle-même.
Cette fumée détruit l’Ozone, isotope d’Oxygène (O) qui filtre les rayons ultra-violet du soleil qui, s’il n’existait pas, la température au sol dépasserait 100° C, donc, il n’y aurait pas de vie sur Terre. Maintenant que cet Ozone est en destruction, il est normal que la planète se réchauffe et s’automatise en un changement climatique. C’est pourquoi, le grand problème à résoudre est celui de la pollution.
Position du problème et objectif de la recherche
Notre réflexion sur la notion de changement climatique remonte d’une inquiétude observée de la pollution atmosphérique avec comme conséquence d’aboutir au réchauffement climatique général de la Terre. Ce choix peut s’expliquer par la nécessité d’une meilleure compréhension de l’atmosphère au contact du substratum préalable à toute démarche climatologique. C’est ainsi traditionnellement, le climat est défini à travers deux variables que se fonde la classification de W. Kôppen mise au point autour de 1900, à savoir la latitude à laquelle commencent les glaces éternelles, la nébulosité, sa distribution en altitude et en latitude, le flux de la chaleur océanique vers les latitudes hautes, la quantité d’anhydride carbonique et d’Ozone.
En effet, la climatologie[1] tire l’essentiel de ses sources de la météorologie[2], vu que les phénomènes qu’elle embrasse résident dans l’atmosphère. Or, la météorologie présente actuellement deux ramifications, à savoir la météorologie descriptive ou la météorologie traditionnelle et la météorologie dynamique ou récente. Cette dernière n’a qu’un réseau dense dans la zone tempérée surtout dans l’hémisphère Nord. C’est pourquoi nous nous sommes servis de la méthode de la climatologie descriptive, surtout que nos observations se sont limitées à l’information scientifique par l’utilisation des méthodes statistiques, les sondages avec les différents avec les différents moyens comme les ballons – sondes, radiosondes, fusée sondes, satellites météorologiques ; par manque d’une infrastructure adaptée dans notre zone tropicale. Aussi nos propres observations sur les successions des variations du temps et des saisons selon l’accoutumée justifient l’emploi de cette approche suite à la pénurie des données assez larges et complètes (données suffisantes).
Notre réflexion esquisse d’une information climatologique et ne se limite qu’à la connaissance descriptive des agents moteurs de la pollution atmosphérique ; ses implications écologiques et relevé des données sectorielles concourant à l’écosphère.
Sources des données
Etant situé dans la zone intertropicale, où l’activité scientifique au niveau du domaine de la climatologie ne se sert que des relevées fournis par les données issus des pays ayant subi une révolution du développement comme la France, le Brésil, l’Indonésie, … C’est la raison pour laquelle nous ne nous sommes contenté seulement que du suivi de l’information et/ou de l’actualité relative à ce domaine climatique pour une période de plus de deux décennies, bien que ce domaine ne tire ses origine qu’à partir de la répartition de la chaleur sur la surface terrestre.
- POLLUTION ET SES IMPLICATIONS ECOLOGIQUES
II.1. Origine de la pollution atmosphérique
De prime à bord, nous avons l’intérêt de déterminer une nuance entre la pollution et l’atmosphère. Comme l’atmosphère et la Terre ont une origine simultanée, les astronautes déclarent que l’atmosphère est produite pendant l’impact des petites planètes contribuant à accroitre la masse de la grande planète Mercure et caractérisée par une grande abondance en Oxygène conséquence directe de l’existence de la vie sur la planète dû à la différence entre le processus de respiration et celui de la photosynthèse.
La pollution désigne tous les effets de l’ensemble des composées toxiques que l’homme libère dans l’atmosphère ; ce qui perturbe l’environnement, tout phénomène extérieur qui peut être nuisible, dangereux pour la santé, ou désagréable du fait de leur grande concentration.
Historiquement, le problème de la pollution n’est pas un phénomène récent ou accidentel, mais antique datant de l’époque protohistorique.
Actuellement, ce sont les technologies modernes avec des foyers industriels ou domestiques, gaz des eaux usées et les détritus urbains qui ont été accumulés les années précédentes faisant l’objet des causes contaminant de l’environnement par le biais des résidus de l’activité humaine, ainsi que les actions et les réactions liées au développement de la chimie organique de synthèse et de l’énergie nucléaire.
Tous ces phénomènes résultent de la création par l’homme des déchets qu’il ne cherche pas à détruire ou ne sait pas recycler pendant que la pollution et la population croissent parallèlement et le pouvoir auto-épurateur du milieu naturel suit une évolution inverse en fonction du temps vers sa saturation sinon vers sa neutralisation complète.
II.2. Identification des facteurs contribuant aux implications écologiques de pollution atmosphérique
Ainsi, trois facteurs sont à considérer :
II.2.1. Le facteur de consommation
La société contemporaine dite de « consommation » ne se soucie des ressources naturelles, mais accélère artificiellement leur épuisement.
Elle encourage grâce à la publicité massive, raffinée de conditionnement psychologique des individus, le renouvellement accéléré des biens des consommations alors qu’ils sont encore utilisables.
II.2.2. Le facteur sociologique
L’urbanisation accélérée des pays développés dont l’exode rural amplifié a provoquée des métropoles tentaculaires de plus de 10 millions d’habitants.
Aussi, la consommation industrielle et urbaine multiplie les nuisances à cause de la convoitise des espaces verts épurateurs de l’atmosphère.
II.2.3. La technologie moderne
Grace à l’automatisation, la production industrielle et la consommation intense, les masses des déchets non biodégradables (matières plastiques, céramiques, métaux inoxydables, radio nucléiques). D’où la perturbation du mécanisme fonctionnel de la biosphère.
En effet, jusqu’au 18ème Siècle, la pollution tait dérisoire et ne résultait que de la contamination localisée des eaux superficielles par les bactéries pathogènes et des substances fermentées contenues dans les détritus d’origine domestique.
Dès lors, la pollution industrielle est apparue surtout en contaminant les sols suite au traitement des minerais (Zinc, Cuivre, Mercure, Plomb, etc.) faisant disparaitre la végétation.
N’oublions pas que les sources d’énergie n’étaient pas polluantes (verte, hydraulique, traction animale, charbon des bois provoquaient la déforestation) avant le 19ème Siècle qui fut le début de la grande industrie qui, en utilisant des combustibles fossiles sources primordiale de pollution. Il a été démontré que la masse totale de combustible fossiles brûlée en 2000 est équivalent de 10% de la quantité d’énergie solaire fixée chaque année pour l’ensemble des producteurs primaires de l’écosphère sous forme des composés organiques (J.JODONYE et DESSART, 1998 : 119-134, 141-146, Chimie Organique, A. DE BOECK, Bruxelles) (1). De ce qui précède, certaines curiosités font peur :
II.2.4. Le facteur des nitrates envahissants
L’eau destinée à la consommation ne cesse de se dégrader. Les problèmes proviennent pour l’essentiel des produits plus au moins toxiques diffusés largement dans l’environnement et difficilement éliminés par le traitement. La forme la plus fréquente de dégradation de la quantité des eaux de boisson est liée à l’accumulation de Nitrates. Ils proviennent pour deux tiers de l’agriculture et de l’élevage. Les Nitrates sont facilement entrainés dans le sous-sol par lessivage jusqu’aux nappes phréatiques. Or, une trop forte consommation des Nitrates peut provoquer l’apparition d’agents cancérigènes.
Les teneurs en Nitrates des eaux ont été multipliées par cinq en quinze ans. La Bretagne est particulièrement touchée et les zones où les teneurs sont les plus élevées, sont caractérisées par une agriculture intensive et la présence d’élevage très denses (Christian G. et all, 1996, p.226 : Physique-Chimie 2ème, La pollution des eaux, édition Belin, Paris).
II.2.5. Le facteur de pollution des plans d’eau par les phosphates
Les plans d’eau sont en danger. Trop bien nourris par les phosphates qui proviennent pour une bonne part de nos eaux usées, ils sont asphyxiés par des algues qui se développent et finissent par éliminer toute forme de vie.
Ce mécanisme d’eutrophisation est décrit avec précision depuis plus de vingt ans. Si la situation est grave, le processus n’est pourtant pas irréversible à condition d’éliminer la quasi-totalité des rejets de Phosphates dans la nature. L’utilisation généralisée de lessives sans Phosphates permettrait d’ores et déjà de supprimer la moitié des Phosphates provenant des effluents domestiques (Lemar CHAND, F. et BARROIN, G. : La Recherche n° 221, mai 1990).
- RELEVE DES DONNEES SECTORIELLES CONCOURANT A L’ECOSPHERE
Après la seconde guerre mondiale soit de 1940-1945, la chimie organique a mis à notre disposition une multitude des substances nouvelles comme les plastiques, les détersifs ménagers ;
En agronomie technique, les pesticides de synthèse, les insecticides, les fongicides, les fumures minérales, les phosphates, les sels de potasse ne cessent de détériorer la composition chimique naturelle du sol, avec multiples conséquences environnementales.
En ville, les déchets solides et gazeux sont effrayantes c’est-à-dire chaque voiture émet 1 Km par an de plomb dans ses gaz brûlés et 350 grammes de composés toxiques divers par litre de carburant consommé déclarent les chimistes (J.JODONYE et DESSART, 1998 : 108-118, Chimie Organique, A. DE BOECK, Bruxelles) (2).
Les océans, zones d’accumulation de tous les résidus toxiques produits par la technologie moderne, sont considérés comme poubelle à recycler pour une bonne régularisation du climat. Toutes ces données nous permettent d’initier une classification simple des pollutions et toutes concourant au réchauffement, base du changement climatique, à la nuisance de la flore, de l’homme, de la faune, de l’atmosphère, … Donc, de l’écosphère. A titre indicatif :
La pollution physique comme les radionucléides à l’instar de rayonnement solaire et autres ; la caléfaction ou pollution thermique c’est-à-dire partir de la chaleur que l’homme produit lui-même ; les bruits et vibrations à basse fréquence ou infractions.
La pollution chimique surtout à partir des dérivés gazeux du carbone et des hydrocarbures, des détersifs, des matières plastiques, dérivés du soufre, de l’argent, des matières fermentées, etc.
Les pollutions biologiques comme les contaminations microbiologiques et les modifications des biocénoses.
Les nuisances esthétiques à travers les dégradations des paysages et sites par l’urbanisation sauvage ou aménagement mal conçu, avec des implantations des industries dans les biotopes villes.
La pollution atmosphérique due aux rejets des substances diverses dans l’atmosphère, qui ne cessent d’augmenter à cause de la civilisation moderne comme la production de l’énergie, la métallurgie, la circulation routière et arienne. Cette pollution peut résulter soit d’une modification quantitative par hausse de la concentration dans l’air de certains de ses constituants nouveaux, à savoir les solides en aérosols ou gazeux.
Au niveau des écosystèmes, les effets sont climatiques, météorologiques avec la baisse des flux lumineux au sol et l’effet de serre nous renseignent que le corps transparent laissent passer l’énergie venant du soleil. Mais, certaines substances comme le verre ou le dioxyde de carbone facilite la transparence à la lumière et à l’énergie solaire, alors qu’ils arrêtent la chaleur c’est-à-dire le rayonnement infra-rouge, à l’instar de l’élévation de la température dans une terre peut atteindre sans chauffage 20° C bien qu’il fait 6° C à l’extérieur.
Ainsi, le sol étant surmonté d’une couche moyenne des substances de l’atmosphère représente par une zone de diminution constante de la température s’étendant jusqu’à une altitude de 10 Km connu sous le nom de troposphère dans lequel l’humidité est concentrée laissera passer l’énergie solaire qui, arriver à la surface terrestre, la température moyenne est de 15° C soit 288 Km, selon certains auteurs comme André DUCO, 1992, p.303, Sciences de la Terre, Belin, Paris.
Ces derniers ont essayé de déterminer quelques modifications climatiques qui pourraient résulter de l’enrichissement de l’atmosphère en gaz carbonique provoqué par l’activité humaine.
Maintenant, pour prédire les effets généraux résultant au plan climatique d’un accroissement futur de la concentration en dioxyde de carbone (CO) de l’atmosphère ; on se sert de l’approfondissement des études en rapport avec le mécanisme du système planétaire grâce à l’informatique physique et dynamique. D’autres auteurs cherchent à reconstituer l’histoire du climat aux travers les périodes glaciaires et interglaciaires.
C’est le cas du Suédois Suantes ARRHENIUS en 1986, avait démontré que si l’on multiplie par trois, le taux du CO atmosphérique, il y aura une élévation de 9° C de température moyenne sur la Terre au niveau du sol.
De même, PLASS en 1959, p. 98, avec ses calculateurs électroniques, avait déterminé que les conséquences d’une élévation de concentration du CO dans l’air sont aiguës. Dans pareil cas, on constate qu’un dédoublement du COse traduirait à une diminution de 3,79°C de température au sol. Ceci s’accompagnerait des véritables bouleversements biochimiques.
Au regard de ce qui précède, l’on peut croire que l’augmentation de 3,6°C de température moyenne dans les basses couches de la troposphère, provoquerait de la fonte d’une corrélative du niveau des océans. Leur baisse de 3,79°C s’accompagnerait au contraire d’un retour d’une nouvelle période de glaciation.
Curieusement, une hausse de température de 5°C, nous amènerait aux conditions ayant prévalues au cours de l’éocène au début du tertiaire, il y a 40.000.000 d’années, époque où les bananiers croissaient en Alaska et d’autres arbres à pain au Groenland.
En fin, la pollution atmosphérique perturbe les cycles biogéochimiques du carbone, de l’oxygène, de l’azote, du soufre et par conséquent sur les espèces et les biocénoses.
- CONCLUSION GENERALE
Nous voici au terme de cette recherche intitulé « réflexion sur le réchauffement de la Terre : cas de la zone intertropicale »
Pour aborder ce sujet, nous sommes partis de l’identification des éléments qui influencent le réchauffement de la Terre, à savoir la destruction de l’Ozone de l’atmosphère par des avions supersoniques et les fumées industrielles non recyclées dans l’atmosphère
Voici les résultats de la recherche définis en ces termes :
Quelle est incidence du réchauffement sur le climat ?
Le réchauffement a un impact sur les variétés climatiques dans les domaines microclimatiques en effet, avant les années 50, les réchauffements étaient cycliques dus aux tâches solaires suite à la déclinaison magnétique. Ainsi, cette situation alarmante ne cesse de préoccuper les écologistes, les climatologues pour combattre ce fléau dont l’humanité surtout le monde industriel qui semble ignorer la place de cette destruction de l’environnement.
Vu les résultats obtenus, quelques stratégies sont à adopter sans délai :
Prenant conscience de la situation climatique, toute la communauté ne sait plus que faire. Cependant, il faudrait :
En premier lieu, sensibiliser toute la communauté internationale à travers des conférences – débats, des séminaires répétitifs comme ceux tenus au Brésil en 2000, de la France et de l’Indonésie.
Exiger la limitation de l’usage des combustibles très polluants comme les hydrocarbures, etc.
Limiter ou réduire les trafics supersoniques internationaux dans l’espace de la zone intertropicale.
Rechercher la paix totale au monde pour diminuer l’usage de toute arme à feu et chimique.
Reboiser intensément des vastes étendues terrestres en vue de faciliter le recyclage du dioxyde de carbone et de la photosynthèse.
REFERENCES
- ANDRE DUCO (1992): Sciences de la vie et de la Terre, Belin, Paris.
- ARMAND COLIN (1990): Ecologie, Désiré, Paris.
- BONNAR, G. (2000) : La géographie générale physique, Hatier, Paris.
- CHRISTIAN, G. et al (1996) : Physique-chimie 2ème, Pollution des eaux, Edition Belin, Paris.
- EMMANUELLE VINASSA DE REGNY et al (1998) : La nuava enciclopedia delle scienze, Garzanti, Paris.
- JODONYE, J. et DESSART (1998) : Chimie organique, A. DEBOCK, Bruxelles.
- LEMARCHAND, F. et BARROIN, G. (1990) : La recherche n° 221, mois de mai.
- MARTIN IVERNEL, H. (2000) : Histoire – géographie, Hatier, Paris.
- PETIT, J. (1984) : Office Nationale des Forêts, Michel, Paris.
- WALLIN, J. (2000) : Ecologie, Paris.
Pour tout contact avec les auteurs : ngubaesosa@gmail.com
[1] La Climatologie est l’étude du climat pendant une longue période de 10 ans à 1000 ans.
[2] La météorologie est l’étude du climat pendant une courte période d’une semaine à trois mois. Les données météorologiques accumulées sont les matières premières de la climatologie.