Réflexions: Football, politiques publiques et business.
Les anciennes équipes championnes du monde (Espagne, Argentine, Brésil (Italie est absente) avec "leurs superstars " ont eu toute la misère du monde pour s'imposer contre des équipes de secondes zones. Les ex- championnes ont bien joué. Il faut donner le crédit aux "outsiders" qui ont neutralisé leur vis-à-vis. À mon humble avis, le football mondial est devenu depuis très longtemps plus qu'un sport, plus qu'une passion. Le football est aussi un "business", un moyen pour projeter sa puissance sur la scène mondiale, sa capacité à organiser un évênement international de grande envergure. Le football fait parti intégral des politiques publiques de ces pays qui ont fait des investissements adéquats dans leurs infrastructures sportifs, leurs personnels, leurs championnats nationaux, etc. Le talent ne suffit plus. Pour gagner, en plus du talent, il faut avoir la chance (erreurs d'arbitrage, buts contre son camp, etc..) et surtout mettre la SCIENCE (technologie, stratégie, etc...) en application. Les ex-championnes ne sont pas mortes. Elles vont revenir parce qu'elles ont les mêmes armes que les autres équipes et des atouts intrinsèques comme la pression populaire, le poids de l'histoire et l'expérience dans la gestion du stress lors des grandes rencontres de football entre autres.Ces atouts représentent une limite aux politiques publiques au début de son implémentations.