« RER régionaux » : une annonce qui masque la débâcle des transports publics
En lançant soudainement l’idée de créer des réseaux de trains express dans dix métropoles françaises, Emmanuel Macron espère détourner l’attention du délabrement déjà bien avancé de la SNCF et de la RATP, et du sous-investissement chronique de l’État qui a été entériné par la signature en catimini entre l’État et la SNCF d’un contrat de performance financière structurellement insuffisant. Certes, l’effort financier pour la « régénération » des voies est historiquement élevé : 2,8 milliards d’euros par an. Mais dès 2012, dans un audit considéré depuis comme une référence, l’École polytechnique fédérale de Lausanne estimait la somme nécessaire à 3,9 milliards par an…
RSI BFC chez SNCF
2 ansUne question ce type de dessertes RER n'existent déjà, seule différence en province nous les appelons TER. Dessertes déjà bien malmenées, nous oublions tout par ce changement de nom.
2 licences Management Activités Commerciales et QHSE
2 ansBonjour de plus, je n'ai pas envie que mes impôts paient les RER de villes où je n'irais probablement jamais ! Je préfère qu'ils servent à faire venir des médecins dans les déserts médicaux...
Docteur en droit communautaire de la concurrence
2 ansJe suis tout à fait d'accord. C'est un pur coup de com pour deux raisons. - ces projets, véritables serpents de mer, existent depuis au moins 10 ans. - il n'y a pas ou fort peu de financements prévus....