Sept enseignements tirés des levées de fonds françaises
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Sept enseignements tirés des levées de fonds françaises

La banque-conseil Avolta Partners, co-fondée par Patrick Robin, a compilé les données issues de 1.481 levées de fonds réalisées en France pour en extraire plusieurs enseignements.

« Chaque tour de table est unique », estime la banque d’affaires Avolta Partners en ouverture de sa dernière étude sur les levées de fonds françaises, réalisée en partenariat avec PwC et Bpifrance Le Hub. Pourtant, en compilant les données issues de 1.481 opérations conclues entre 2014 et 2016, la banque cofondée par Patrick Robin est parvenue à tirer sept enseignements à destination des entrepreneurs.

#1 La France est l’un des marchés les plus dynamiques du capital-risque

En 2016, la France s’est placée au second rang européen en termes d’investissements dans les start-up, devant l’Allemagne et derrière le Royaume-Uni. Les montants investis ont triplé, passant de 926 millions d’euros en 2014 à 2,5 milliards d’euros en 2016. « 2017 sera également une très bonne année, la barre des 3 milliards d’euros devrait être franchie », commente Thomas Reygagne, l’un des auteurs de l’étude.

#2 Les valorisations sont de plus en plus rationnelles

« À l’image de K-Fund – la structure de Fleur Pellerin –, de plus en plus de fonds inves­tissent dans les start-up, décrypte Thomas ­Reygagne. Mais les nouveaux entrants, eux- mêmes issus du capital-risque, ont souvent une longue expérience et attendent un retour global sur leurs investissements. Ils contribuent à la rationalisation des valorisations. »

#3 « Winners take it all »

[Plus sur... Les Echos Entrepreneurs]


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