Supports papier vs supports dématérialisés
Episode I : Sapiens et l’écriture
Les Homo Sapiens ont toujours communiqué et leur imagination n’a jamais connu de bornes. Les manuscrits de Qumrân (250 avant à 100 après JC) ont succédé puis coexisté avec l’écriture hiéroglyphique qui débuta quant à elle, quelques 3 millénaires avant l’ère chrétienne. Les Chinois écrivent depuis près de 15 000 ans et les Incas, faute d’écriture, utilisaient leur machine à calculer maison, les Quipus, voilà 4500 ans ! Voilà des millénaires que l’Homme a tenu à mettre par écrit (sur des supports aussi divers qu’incongrus allant de la pierre aux parchemins, en passant par le bois, l’ivoire ou le métal), ses pensées, ses réflexions ou ses données quantitatives (qu’on appelle aujourd’hui les « Datas »).
Episode II : l’accélération du transfert des données
Plus près de nous, dans le monde des affaires comme dans le monde privé, nous avons vu se succéder les premières Underwood, le télégraphe, le télex (mais qu’est donc que cette bête), les télécopies, les machines à écrire de plus en plus sophistiquées, l’ancêtre d’Internet, le Minitel français, puis, encore plus près de nous, les ordinateurs, les téléphones portables et autres tablettes. L’accélération des évolutions ne nous surprend plus (serions-nous blasés ?) et, en quelques années, nous vivons plus d’évolutions techniques qu’en ont connues les 2 millénaires passés. L’objectif est double : gagner du temps, en expérimentant l’instantanéité, et dématérialiser les supports.
Le poids et l’importance des données augmentent de jour en jour et le "Big Data" est devenu réalité.
Episode III : « information » et « information » !
Les gouvernements européens poussent les entreprises vers le numérique pour contrôler l’information, gagner du temps et générer des économies. Il paraît passéiste d’envoyer ses factures sur un support papier, coûteux en termes de temps que d’énergie et bientôt d’image. Toute nos communications n’ont pas la même valeur.
Une facture n’a de la valeur que si on est sûr qu’elle est arrivée intègre à son destinataire, valeur décuplée si elle contient des données exploitables et non des images. Elle est alors intégrable à un workflow.
C’est bien différent pour une invitation, un catalogue ou une plaquette de présentation. Le choix du papier, le format, les polices utilisées ou la qualité des images, bref le graphisme, seront déterminants quant à leur impact sur la cible et la réaction ou le souvenir qu’ils laisseront.
Alors, dématérialisez vos supports administratifs et/ou comptables en leur conférant une valeur ajouté numérique, grâce aux données qu’ils contiennent. Investissez alors les économies générées dans la production de supports beaux et efficaces pour votre communication marketing.