Sur Internet plus d'un commentaire sur 3 est faux
En référence à l'article des Echos : https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/030690336782-sur-internet-plus-dun-commentaire-sur-trois-est-faux-2121130.php
J’ai souvenir d’avoir étudié ce sujet en profondeur il y a cinq ans de cela. A l’époque le big data germait. On se posait la question de savoir comment collecter les sentiments des gens, de manière formatée, tout en écartant les faux positifs ou négatifs. Comment centraliser les opinions pour éviter qu’elles ne soient dispersées et diluées de cette manière dont parle cet article. Si à l’époque nous avions apporté une
réponse, via une start-up, la mécanique et l’adhésion se sont avérées complexes à mettre en œuvre. Au final, chacun finit par mettre en place sa propre échelle de notation, son format de commentaires, ses indicateurs d’opinions…
Ainsi la politique de collecte reste sur un territoire non encadré et principalement soumise à conformité de stockage ou de conditions de revente. La dérive a donc la vie dure, et la mécanique qui permet de la prévenir, principalement à base d’#AI, s’enclave profondément dans la maîtrise des données, mais également dans la sphère du respect de la vie privée.
A ce titre, qu'en est-il des commentaires ou pseudo-articles postés sur LinkedIn, sont-ils aussi anodins que cela. Ne sont-ils pas juste conçus en majorité pour générer de l'audience, assoir une notoriété ou influencer des comportements ? Sont-ils aussi « sociaux » que cela, car les réactions y sont fort peu nombreuses ?
Sur ces bonnes paroles, je vous laisse méditer sur les 41% de personnes qui font encore des achats spontanés suite à une lecture d'avis positif sur une boutique en ligne !