Survivre + Les Fleurs du Crépuscule | Epale Ndika

Survivre + Les Fleurs du Crépuscule | Epale Ndika

Ma 28ème lecture de l'année 2019.

J’ai craint après avoir été époustouflé par la Science Poétique du Maître Senghor, celui-là même qui a reçu “la pure grâce du dire”, de me retrouver en possession d'une poésie correcte mais de qualité inférieure, moindre…

Quelle ne fut pas ma joie de constater que le lyrisme d’Epale Ndika n’a absolument rien à envier à celui du ténor Franco-Sénégalais.

La quatrième de couverture et la préface, respectivement signées Valère Épée et Jean-Claude Awono augurent déjà d’un “boum” grandiose.

J’ai lu avec délectation des poèmes tels Kribi ou encore Dolorès qui m’ont fait sourire, m’ont émerveillé et parfois attristé.

La profondeur exceptionnelle du message et l’esthétique dans la manière de déclarer, de déclamer, forment une paire irrésistible.

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L’homme a visiblement l’âme d’un révolutionnaire, d’un défenseur ardent des intérêts du peuple. Il est une sorte de voix des sans voix, héraut des affligés de tous ordres.

L’homme a une poésie dure, parfois violente et implacable.

L’homme est un libre penseur notoire, un anticonformiste de la première heure.


Manifestement, il s’agit aussi d’un amoureux qui se plaît à évoquer sous forme de subtiles paraboles, les joies de l’union intime.

Je ferai le nécessaire afin de rencontrer dans les prochaines semaines cette légende vivante qui m’a rappelé d’achever de rédiger le texte délicat intitulé “À mon jeune frère” – entre autre.

Affaire à suivre.

Bravo 👏🏾

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