Tous les dispositifs pour bien financer sa création d’entreprise.
Badis Bejaoui
Étudiant à l'IIM (institut de l'internet et du multimédia) en communication digital et e-business. Actuellement en contrat d'apprentissage
Bienvenus à tous, je vous propose de découvrir le salon SME à travers mon regard. J’ai le plaisir d’avoir visité le salon virtuel, voici quelques thèmes et informations que j’ai pu y collecter. Bonne lecture !
Vous êtes un futur entrepreneur et vous disposez déjà de votre idée pour le lancement de votre projet. Avant même de penser au financement, il y a une étape qui précède et qui est indispensable.
En premier lieu, vous devez élaborer votre business plan. Il devra être en béton. Votre dossier complet et précis qui sera présenter devant des comités de professionnel. Il faudra lister et chiffrer vos besoins au démarrage, expliquer pourquoi ce financement est nécessaire et expliquer ce que vous allez financer avec la somme attendue.
Il faudra par la suite lister vos ressources financières et ce qu'il vous manque.
En moyenne, l’apport du créateur doit représenter 30% des besoins financiers pour avoir plus de chance d’obtenir un prêt.
Il est aussi très important d’être accompagné dans ce genre d’aventure, notamment par un conseiller qui facilitera le montage financier et trouvera les bonnes relations.
Maintenant, entrons dans le vif du sujet et énumérons les différents financements :
- Il y a pour commencer l’apport personnel peu importe la provenance,
- les prêts à taux 0 auprès de la chambre des commerces et des industries,
- l’ARCE qui est une aide proposée par pôle emploi,
- l’apport des associés,
- les prêts d’honneur qui sont délivrés par plusieurs organismes comme par exemple l’ADIE et France initiative,
Recommandé par LinkedIn
- également les organismes de microcrédit,
- plusieurs autres associations comme le parcours confiance,
- le financement solidaire, la caisse solidaire,
- le financement participatif,
- et bien sûr, les investisseurs externes
Tous ces dispositifs ont pour but de financer le créateur et non pas l’entreprise pour avoir le capital de départ nécessaire, une fois le capital de départ obtenu et représentant en moyenne 30% du financement du projet global, le créateur peut par la suite faire une demande de prêt à la banque qui financera l’entreprise.
Le risque d’échec est donc partagé entre plusieurs parties et certaines enseignes comme la BPI se portent garant de l’emprunt en couvrant au maximum 70% des frais.
Voici l’essentiel de ce que j’ai retenu, ce salon m’aura appris beaucoup de choses qui me seront utile à l’avenir, d’où mon envie de vous partager mes découvertes, en espérant que cela vous servent également.