Un boucher qui meurt, un Assange qui ne sera peut-être pas extradé et la CPI qui sort du bois.
Il y a mille raisons de désespérer de tout. Une fin d’année avec les élections de tous les dangers. Une communication politique de plus en plus populiste. Football panique à tous les étages. Les reniements s’opèrent sans remord. Les conflits d'intérêts, la loyauté, la parole donnée … pourquoi s’encombrer de ces valeurs devenues obsolètes ? Et pourtant.
Une décision de justice en Angleterre qui permet d'espérer en la non extradition de Julian Assange. Et pratiquement en même temps, la CPI qui se remet réellement en ordre de marche.
Il était temps. Les mandats d'arrêt ne sont pas encore lancés. Mais on peut estimer que cette trajectoire va s'imposer.
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Le troisième et le quatrième pouvoir se font entendre. On les avait oubliés. Cela nous sauvera-t-il des carences des grandes organisations internationales dont c’est le rôle, la fonction ?
Poser la question n’est pas y répondre. Nous n’avons pas d’autres choix que d’y croire. Comme si toute la fortune d’une famille avait été misée sur un seul cheval. Que faire, sinon espérer que ce canasson gagne cette foutue course.
Tout ceci m'invite à l’écoute d’une chanson extraordinaire qui, en d’autres lieux, en d’autres temps démontrait que ce qui était impossible quelques mois plus tôt devenait possible. Barbara Göttingen (1964) - YouTube.
Et pourquoi pas la paix maintenant et pourquoi pas la mise en place d’une solution à deux états maintenant. Les temps sont peut-être propices, plus qu'on ne l'imagine, propices à ce que cesse la pluie et que revienne la lumière. Cela ne sera possible que par la mise hors d'état de nuire des responsables de l'état d'Israël et des responables du mouvement terroriste du Hamas qui devraient être, poursuivis par la CPI.