Un business majeur, et profitable…, et sans offre ?
i-modul à le potentiel technique d'ouvrir des business vacants d’offres commerciales (création de ses parts de marché).
Il n’y a pas d’offre commerciale crédible sur extensions et surélévations. La demande reste vacante, l’offre peu claire, et beaucoup de projets restent en projets.
Il s'agit de "studio de jardin", et d'extensions adjacentes (pignon ou façade), sur dalle béton ou dalle bois, de 20 à 55m2 SPC. Toutes configurations possibles.
Pourtant, nous aimerions une petite pièce en plus. Pour recevoir, pour travailler, pour accueillir nos proches à la maison, pour exercer notre art. Et aussi isoler confortablement. Cela répond à des enjeux politique de densification et de performance thermique.
Il nous appartient de faire de l’acte de construire (et donc d’acheter) un plaisir.
Cela semble un défi, tant l’appréhension est forte. Tant du côté des donneurs d’ordre (Maitre d’Ouvrage), que des professionnels (Conception et Réalisation).
Les premiers souhaiteraient être rassurés : qu’est ce qui est possible, à quel cout, avec quelle contrainte (en site occupé), sur quel timing, et avec quels risques… ?
Les seconds perçoivent ces projets comme ayant beaucoup (trop) de contraintes : temps passé, car forte personnalisation dû à l’existant, en site occupé, souvent urbain, exigences des clients à calquer sur le budget et sur les possibilités, la procédure d’urbanisme, et aussi ses exigences, occupation en voirie, les « surprises » sur l’existant, etc…
Il y a pourtant un marché considérable à prendre. Avec des marges préservées. Dans une démarche d’ « a-construire » : agrandir et/ou (ré)agencer/(re)affecter et/ou suréléver et/ou adaptater bioclim et/ou rénovation thermique modulaire. Globale donc.
Tout cela avec le même process, le même format, les mêmes matériaux (sauf finitions inter/exter au choix), les mêmes outils (assemblage et mise-en-œuvre), la même démarche commerciale, par le même configurateur BIM « on-ligne » (entièrement auto, dont chiffrages et débits).
En s'affranchissant des contraintes de timing (car extrèmement réduit), d'accès (urbain), d'urbanisme (toiture végétalisée innoposable), voire, de budget (les couts de revient sont fortement optimisé).
Acheter une voiture ou une cuisine est une expérience-client au top. Agrandir sa maison et son espace de vie doit devenir le même plaisir.
La digitalisation permet de lever les contraintes. Ultérieurement, de le dupliquer sur moults déclinaisons (dont l’Afrique : l’objectif est très différent, pourtant, mais la démarche est identique, même format, etc… Avec la suply-chain ad-hoc !) .
Je serais très heureux de vous en dire plus.