Wahou, le prix de la vie a grimpé en flèche !!!
Cher réseau,
Aujourd'hui, j'ai décidé de vous partager mes reflexions à travers une série de posts ; dans un premier temps, celles conséquentes à ces quelques mois si particuliers que nous venons de vivre.
L'idée de départ : en décidant le confinement et en sacrifiant drastiquement les intérets économiques, les énormes efforts pour sauvegarder les vies humaines leurs ont donné une forte valeur.
Les premiers posts questionneront alors cette décision inédite et radicale d'avoir confiné les peuples avant que d'autres n'envisagent les enjeux que supposent une telle décision.
Pour commencer, j'observe cette décision dans un contexte plus général, celui des stratégies et visions pour lutter contre la mortalité chez l'Homme.
Historiquement, ce n'est pas la première épidémie et rares dans l'Histoire ont été les mesures de quarantaines aussi radicales ; si l'on considère le nombre de personnes concernées en même temps, c'est même inédit.
Par ailleurs, nous pouvons comparer la lutte contre le covid avec d'autres causes de mortalité et pour éclairer le sujet, avec les causes des décès « évitables ». Parmi elles, et de manière non exhaustive : les accidents de la route, la consommation de tabac, la consommation d'alcool . Et au passage, notons que même si nous sommes très peu touchés en France, la malnutrition provoque plus de 9 millions de morts chaque année dans le monde.
Ainsi, entre alcool et tabac, 115 000 décès par an (75 000 pour le tabac et 40 000 pour l'alcool) que l'on pourrait empêcher; et des mesures de contraintes tout à fait modestes (loi Evin, augmentation progressive du prix des paquets de cigarettes) ! 3 500 morts d'accidents de la route et pas de bride sur les véhicules pour atténuer la principale cause de décès, la vitesse !
Alors, peut on se demander ce qui a motivé la paralysie du pays pour économiser des vies quand peu de mesures de contrainte ne sont posées jusqu'alors pour éviter de nombreux décès pourtant évitables.
Y aurait-il un calcul utilitariste plus ou moins conscient pour arbitrer ces enjeux , la négociation entre les différents intérêts étant « compromis » ?
S'agirait-il plutôt d'une pure "éthique de conviction" plaçant certains actes, certaines valeurs, certains éléments au dessus des autres, quelles que soient les conséquences de leur préservation ; la négociation avec d'autres intérêts étant alors « compromission ».
Ou/et enfin, s'agit-il d'autre chose, notamment de menaces dont nous n'avons pas conscience / connaissance ? (comme un nombre gigantesque de décès projetés, d'effets délétaires majeurs à long terme des contaminations ?
J'approfondirai dans les prochains posts ces quelques questionnements.
D'ici là, quelles réflexions la décision de "confiner vous inspirent-elles?
Bonne journée cher réseau et au prochain post!