Y’a quelqu’un qui a dit … « Aime ton prochain comme toi-même » !
Y’a quelqu’un qui a dit … « Aime ton prochain comme toi-même ».
Deux injonctions sont contenues dans cette phrase : aimer l’autre, mais aussi s’aimer soi-même.
Par où faut-il commencer ? Assurément par soi !
Un article indiquait récemment qu’en cas de dépressurisation d’un avion, il faut en premier lieu mettre son masque avant de s’occuper de celui de ses enfants…
Cela fait écho à un exercice de méditation sur l’amour bienveillant qui explique qu’il faut tout d’abord « accorder son violon » avant d’en jouer en public.
Alors pour participer à la fête de la musique ; aimons-nous nous-même en premier ! On nous l’a peu enseigné mais cela mérite d’être tenté.
Mais comment-faire ?
C’est très simple et ce qui est époustouflant c’est que notre manière d’aimer l’autre, peut s’appliquer avec une parfaite symétrie à soi.
Alors exerçons-nous à nous aimer nous-mêmes comme on peut savoir le faire pour les autres !
La parole juste et tendre : Si j’aime l’autre ; je lui parle gentiment, avec des mots doux et sans agressivité : je fais de même avec moi.
Le regard bienveillant : Si j’aime l’autre ; je pose un regard d’amour avec bienveillance et compassion : pareillement, je conserve une bonne image de moi !
L’absence de jugement : Si j’aime l’autre, je me garde de le juger puisque je ne connais pas ni sa vie, ni sa vision de la vie ; de même, j’évite de me juger avec sévérité !
L’acceptation de ce qui est : Si j’aime l’autre, j’en accepte patiemment les limites, les imperfections, les finitudes ; j’entretiens également de la tolérance envers moi-même.
La gratitude : si j’aime l’autre, je peux être infiniment reconnaissant à la Vie de l’avoir mis sur mon chemin : pourquoi pas cette idée à propos de soi ??
Et si l’on commençait à s’aimer pour de vrai ?
Exécutive Coach-Formatrice
5 ansPlus nous développerons l’estime de soi (sans ego) plus nous pourrons estimer l’autre. Commençons par nous aimer, vraiment, sainement, sans condition de réussite ou de performance. Le plus simplement du monde...mais que c’est parfois difficile. Je crois sincèrement que chacun a le devoir de cultiver ce jardin intérieur.