🔵 NOUVEAU NUMÉRO EN KIOSQUE : “Que faire de nos angoisses ?” L’angoisse, nous la connaissons tous, à des fréquences et des doses diverses. Et il est vrai que l’époque nous y invite allègrement : le dérèglement climatique et l’extinction massive des espèces, la guerre en Ukraine ou au Proche-Orient sont des événements anxiogènes. Mais quand l’angoisse est là, on fait quoi ? Peut-on apprivoiser cette expérience négative, voire l’inverser, et lui donner une autre valeur ? Réponses dans le tout nouveau numéro de “Philosophie magazine”, à retrouver dès aujourd’hui chez votre marchand de journaux ! 👉 Avec dans ce dossier : - Solitude, insomnie, “bad trip”… Cinq de nos rédacteurs témoignent de leurs angoisses - Divertissement, création ou changement, trois voies philosophiques pour échapper à l’angoisse - Dans le noir, un dialogue entre Amélie Nothomb et Pierre Zaoui - Peut-on être écolo et libéral ? Un essai inédit de Gaspard Kœnig - Pourquoi les femmes n’ont pas le monopole du “care”, par Carol Gilligan - Le dilemme du tramway, l’expérience folle qui a révolutionné la morale ➕ Mais aussi dans le même numéro : comment prévenir les troubles et leur faire face, par le psychiatre spécialiste de l’anxiété Antoine Pelissolo ; une rencontre avec plusieurs artistes… qui carburent à l’angoisse ; une histoire de la “passion de l’angoisse”, le thème favori des existentialistes ; notre cahier central sur Søren Kierkegaard… CE JEUDI EN KIOSQUE ! 📸 Illustration de couverture : © William Londiche
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La métamorphose des voix rompues https://lnkd.in/eWcfi-pW
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Michel Feher : “L’imaginaire opposant ‘producteurs’ et ‘parasites’ est ce qui explique pourquoi les citoyens se sont massivement tournés vers le RN” https://lnkd.in/eGRUv5_4
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Que faire de nos addictions ? https://lnkd.in/eAv8Qf_a
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Vendée Globe : la vulnérabilité a le vent en poupe https://lnkd.in/eh592Mwc
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(Re)découvrez Johann Martin Chladenius, l'un des fondateurs de l'histoire moderne https://lnkd.in/eWYk6zDj
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Orysya Bila : “Cette guerre est un marathon que nous ne pouvons pas nous permettre d’abandonner” https://lnkd.in/ew7M99Gq
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“Je pense, donc je suis”, écrivait Descartes dans son “Discours de la méthode” (1637). Rarement phrase philosophique ne donnera lieu à plus de formules parodiques. Détournée ironiquement, on la retrouve émise par la tour de Pise (“Je penche, donc je suis”) comme dans la bouche du laveur de vitres (“J’épanche, donc j’essuie”), de l’urgentiste (“Je panse, donc je suis”), de l’intellectuel ou du sportif (“Je pense, donc je sue”), de la fashion victim (“Je dépense, donc je suis”), du fin gourmet (“Je pense, donc je cuis”) ou encore sous la plume d’un Desproges un brin autoritaire (“Je pense, donc tu suis”)… 💡 Mais la phrase la plus célèbre de l’histoire de la philosophie n’a pas inspiré que les facétieux ! Elle a aussi initié de savantes réflexions chez les anticartésiens. Nicolas Tenaillon en explique trois moutures (philosophiques) par des penseurs français du milieu du XXe siècle. Un article web réservé à nos abonné(e)s. Lien en bio pour le lire ➤ https://lnkd.in/e7irVVUs 📸 : Portrait de Descartes par Frans Hals/Domaine public
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Philosophie magazine a republié ceci
Ce matin, j'étais invitée chez France Inter au micro d'Ali Rebeihi pour parler de notre numéro spécial Philonomist consacré à la quête de sens au travail. J'y ai évoqué les principaux enseignements de notre dossier : - S'il est tentant de le réduire à un simple gagne-pain, le travail demeure pour beaucoup ce qui définit notre identité. L'homme n'est "rien d'autre que ce qu'il se fait", disait Sartre : nous avons tendance à nous comporter en "existentialistes du travail", à vouloir y puiser un épanouissement profond - pour le meilleur et pour le pire. - "La vie oscille, comme un pendule, de la souffrance à l'ennui", disait Schopenhauer. Il en va de même pour le travailleur contemporain, qui oscille entre le "bore out" et le "burn out". On a parfois l'impression d'être condamné à dépérir dans un boulot alimentaire ou, à l'inverse, à se brûler les ailes dans un métier passion. La difficulté, c'est de trouver la juste distance par rapport à son travail. - Il existe mille manières de trouver du sens à son activité. En cherchant un métier utile à la société, bien sûr, mais aussi en retrouvant le plaisir du travail bien fait. Ou encore en remettant le travail à sa place : celle d'un simple outil qui nous permet de jouir d'autres dimensions de l'existence. - Un dirigeant ne peut pas "donner du sens" à ses salariés : ce n'est pas en placardant sa raison d'être ou en édictant des "chartes de valeur" que l'on motive les salariés, mais en leur laissant de l'autonomie, en les encourageant à prendre part aux décisions collectives... et surtout : en leur permettant de faire correctement leur travail. Comme le formule le psychologue Yves Clot : il n'y a pas de "bien-être" sans "bien faire". Merci à Coralie Perez et Sylvain Rossignol de Syndex pour leurs interventions précises et informées, à Alexia Rivière et Stéphanie Valois pour l'organisation de cette discussion agréable et constructive, et bien sûr à à Ali Rebeihi pour l'excellente modération ! Philosophie magazine Philonomist
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“Ton corps, mon choix” : comment les masculinistes bafouent les slogans féministes https://lnkd.in/e8y2zh38
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