Post di Samuela Vercelli

L’eau est notre plus précieuse resource ! Elle décide de notre destin collectif. Alors n’oublions pas : 👉 Pour chaque nouveau degré de réchauffement climatique, l’atmosphère emmagasine 7% d’eau en plus (et donc 7% d’eau en moins dans nos rivières, lac, nappes...). 👉 L'eau douce représente moins de 2,5 % de la totalité de l'eau sur terre, dont moins d' 1 % est sous forme liquide et peut donc être utilisé par l'homme. 👉 La consommation énergétique de la désalination de l’eau de mer avoisine 15 kWh par m3 d'eau dessalée. Une énergie considérable. Alors préservons l’eau, et pour cela, préservons notamment le climat ! Pour nous aider en ce sens, rejoignez l’aventure TFTP sur team-planet.com ! Les petites ruisseaux font les grandes rivières 💚

[Sortir du paradigme de la peur 🚪] Dans la conclusion de mon nouveau livre Agir pour l'eau, j'invite mes lecteur•rices à sortir du paradigme de la peur qui nous fige dans l'inaction et des réactions d'hypercontrôle. J'en parle dans une interview avec le média indépendant Reporterre 🌍 | Le média de l'écologie ici 👉 https://lnkd.in/eTfUqzpm A l'heure où l'on déplore des dizaines de morts frappés par la tempête Boris, dont l'intensité sera probablement corrélée au changement climatique, j'ose renouveler cette invitation : "Puisqu’on l’a trop longtemps considérée comme une ressource infinie, constamment disponible, une chose à contrôler, l’eau se fait de plus en plus remarquer par son absence ou son débordement. Plutôt que de s’en méfier, d’en avoir peur, ne pourrait-on pas chercher à comprendre ce qu’elle nous dit ?" En vivant sur un bassin versant, nous sommes toutes et tous dépendant d'un hydrosystème, d'un cours d'eau, d'un lac, d'une nappe. Nous devrions dès lors apprendre à vivre avec les cycles de l'eau, comprendre à quel point on en est dépendant, comprendre ses maux et lui rendre son espace de liberté. Qu'elle puisse être en capacité d'absorber ces pluies intenses. Pour absorber le choc (robustesse) et s'en remettre rapidement (résilience), des solutions fondées sur la nature, dans laquelle s'inscrit la vision d'hydrologie régénérative, ne demandent qu'à être déployées sur les territoires. Ces solutions répondent à des enjeux de protection contre les inondations, de stockage d'eau en temps de sécheresse, de biodiversité et de stockage de carbone. 🌊Mais il faut être lucide : cela ne suffira sans doute pas, et il faudra se préparer collectivement aux évènements extrêmes par la gestion de crise. Et cela peut commencer par répondre à cette question individuelle : à quel type de risque suis-je exposé•e et à quel niveau ? De là, comment faire système, comment transformer nos organisations pour intégrer tous ces enjeux liés à l'eau ?  Nous en parlerons pendant la soirée de lancement Agir pour l'eau, lundi 23/09 à la Maison Les Canaux avec des invité•es d'exception : Dan Lert, Isabelle Delannoy, Florent Courau, Audrey Charluet, Marine Calmet, Bastien Debras, Yannick Servant et Pierre Gilbert Il reste encore quelques places, inscrivez-vous ici 👉 https://lnkd.in/e2przAcU 👩🎨 Illustration : Laura Acquaviva

Dépollution des sols : au-delà du plastique, l'invisible menace Si l'on comprend aisément les méfaits du plastique et autres déchets qui jonchent nos sols, la pollution par les métaux lourds, elle, est invisible à l'œil nu. Pourtant, ses effets sur l'environnement et la santé peuvent être dévastateurs. Heureusement, des solutions existent ! Parmi elles, la phytoremédiation, présentée dans cette vidéo, attire notre attention. Cette technique utilise les plantes pour extraire les contaminants du sol. Naturelle et durable, elle propose une alternative prometteuse aux méthodes d'extraction / excavation plus invasives. Manon Poncato - Biomede

Les oiseaux prennent la parole dans notre nouvelle campagne... et ils sont plein de bon sens. Découvrez avec "Monsieur" Maurice comment lutter contre la pollution lumineuse 🦉 Enedis #NouvelleFranceElectrique Marianne Laigneau Nicolas Marchand Olivier Duhagon Michaële GUEGAN Buchel Christian Hervé Champenois Marie-Christine Aulagnon Dominique Lagarde Patrice Valadeau Jean-Francois VAQUIERI Sébastien Jumel Daguzan Philippe Nicolas Sorel Claire Sulpice Jean Patrick Chiquiar jean-françois Sacco Sacha Lacroix Théophile TEURCQ

𝗟𝗲𝘀 𝗲𝘀𝗽𝗲̀𝗰𝗲𝘀 𝗻𝗲 "𝗱𝗶𝘀𝗽𝗮𝗿𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁" 𝗽𝗮𝘀 : 𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗰𝘂𝗹𝗲𝘂𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲́𝗹𝗶𝗺𝗶𝗻𝗲́𝗲𝘀. Il faut le dire franchement 👇 Ce n'est pas pour rien que nous parlons de 𝗯𝗶𝗼𝗱𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́. Et malgré l'organisation de la #COP16 je n'ai pas l'impression que nous prennions vraiment conscience de ce que ça signifie. 𝗟𝗘 𝗩𝗜𝗩𝗔𝗡𝗧 𝗖'𝗘𝗦𝗧 𝗟𝗔 𝗗𝗜𝗩𝗘𝗥𝗦𝗜𝗧𝗘 🌿 Chaque espèce, aussi minuscule soit-elle, joue un rôle essentiel dans l'équilibre de son écosystème. En détruisant leur habitat, nous rompons les liens subtils qui unissent toutes les formes de vie. Les conséquences sont désastreuses : 1️⃣ 𝗘𝗳𝗳𝗼𝗻𝗱𝗿𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝗮𝗹𝗶𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 : La disparition d'une espèce peut entraîner une cascade d'extinctions, mettant en péril l'ensemble de la biodiversité. Et même si nous connaissons plein de choses sur le vivant, nous savons surtout que nous sommes ignorants. Qui peut réellement prévoir ce que deviendra la France si les insectes disparaissent ? 2️⃣ 𝗣𝗲𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲𝘀 𝗲́𝗰𝗼𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲́𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 : Les écosystèmes fournissent de nombreux services essentiels à l'humanité : régulation du climat, pollinisation, purification de l'eau... La liste est longue. ⛰️ Forêts, océans, prairies... ces écosystèmes complexes, fruit de millions d'années d'évolution, sont sacrifiés au profit de l'agriculture intensive, de l'urbanisation galopante et de l'exploitation des ressources naturelles. 𝗔𝗟𝗢𝗥𝗦 𝗤𝗨𝗘 𝗙𝗔𝗜𝗥𝗘 ? 🐛 Eh bien, faire revenir la variété. Un paysage « qui fait propre » est un paysage qui meurt. 𝗜𝗹 𝘆 𝗮 𝟭𝟬𝟬𝟬 𝗳𝗼𝗶𝘀 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗿𝗼𝗻𝗰𝗶𝗲𝗿 𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗰𝗵𝗮𝗺𝗽 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝗶̈𝘀. Il faut intégrer les non-humains à notre façon de penser nos infrastructures. Au point de parfois avoir à ne pas en construire de nouvelles pour préserver le vivant. Il existe 1000 choses à faire et à penser, et tout ceci est bien dur à résumer en un post sur LinkedIn. 𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀 𝘀𝗶 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝘂𝗹𝗲𝘇 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗮̀ 𝗿𝗲́-𝗲𝗻𝘀𝗮𝘂𝘃𝗮𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲, 𝗲𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝗰̧𝗮𝗻𝘁 𝗽𝗮𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗮𝗿𝗱𝗶𝗻𝘀 : 𝗩𝗼𝗶𝗰𝗶 𝗺𝗮 𝗻𝗲𝘄𝘀𝗹𝗲𝘁𝘁𝗲𝗿 « 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗿𝗲́-𝗲𝗻𝘀𝗮𝘂𝘃𝗮𝗴𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗮𝗿𝗱𝗶𝗻𝘀 » 👉 https://lnkd.in/egkNnqrF 👈 #biodiversite #biodiversity #biodiversité

Quels arbres planter en ville pour résister au changement climatique ?   C'est LA question que toutes les communes européennes se posent.   Enfin, presque toutes.   Pas étonnant, l'Europe se réchauffe plus vite que d'autres régions du monde (https://lnkd.in/dNUsEvxu).   Du coup, on commence progressivement à s'intéresser aux essences exotiques qui sont résistantes au stress hydrique et au calcaire. NB : les sols urbains sont très riches en calcaire total. C'est presque une systématique.   Mais qui dit espèces exotiques dit incertitudes quant à notre capacité à anticiper leur impact négatif sur la faune et la flore locale.   D'un autre côté, sommes-nous contraints à planter 100% d'espèces indigènes ?   Pour nous aider à y voir plus clair, voici un article très intéressant sur la migration assistée : https://lnkd.in/d6kD3by9   Car au final, que l'on souhaite produire du bois ou rafraîchir les villes, le besoin reste globalement le même : garantir un bon développement des arbres sur le moyen - long terme.   Plutôt que d'importer de nouvelles espèces, les auteurs proposent de porter la réflexion sur la diversité intraspécifique.   En d'autres mots, l'idée est de sélectionner au sein d'une même espèce les génotypes adaptés aux conditions plus chaudes et sèches.   Donc en définitive, cela revient en gros à prôner l'indigénat mais en creusant plus loin la question des populations et génotypes.   A mon sens, cela rend le sujet encore plus passionnant.   A tous les spécialistes de l'arbre qui tomberaient sur ce poste, votre avis est le bienvenu ! #plantation #arbre #changementclimatique