L'essentiel

🇱🇺 «Je n'en reviens pas moi-même». Stéphanie Coutinho, 37 ans, de Wecker, travaille dans la fonction publique, à la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF), à #Luxembourg. Mais son côté créatif a repris le dessus pour nous offrir ce petit livre: «Tom et ses pieds magiques». Pendant les moments de partage le soir avec son fils, le rituel est de lire un livre ou inventer une histoire. «C’est mon fils qui a trouvé l’idée d’un petit garçon avec des pieds magiques». L’histoire de Tom et ses pieds exceptionnellement grands, un petit quelque chose en plus qui lui permet de réaliser de grandes choses, mais source de rejet de la part de ses copains. À travers des situations drôles et des rebondissements inattendus, les jeunes lecteurs sont confrontés à des messages d’acceptation de soi, de tolérance et d’inclusion. «En tant que parent, on a la crainte que nos enfants soient victimes de harcèlement, ou à l’inverse, qu’ils y participent», confie-t-elle. Cette histoire de 25 pages permet de montrer aux enfants ce que ressentent les gens qui sont harcelés ou mis de côté. Une belle histoire engagée qui permettra aussi de soutenir l’association luxembourgeoise Solina qui combat le #harcèlement et la #discrimination. «Je ne fais pas ça pour le succès ou l’argent. J’ai trouvé l’association. Ils ont adoré le livre et ont été emballés par ma démarche», relate la Luxembourgeoise. Stéphanie souhaiterait que ce livre puisse aussi trouver une place dans les bibliothèques des écoles. «Ce serait un outil de sensibilisation formidable dont pourraient se servir les enseignants et éducateurs». Le livre sortira officiellement au #Luxembourg ce vendredi, mais il est déjà possible de le commander en ligne. 🔵 Un article à retrouver sur lessentiel.lu.

🇱🇺 En 2023, 64,7% des Européens ont arrêté de travailler au versement de leur première pension et 22,9% ne travaillaient déjà plus. Quelque 13% ont toutefois continué à exercer une activité professionnelle. Des chiffres qui sont évidemment différents selon les États membres. Plus de la moitié des Estoniens (55%) ont continué de travailler, 44% des Lettons, 43,7% des Lituaniens ou encore 41,7% des Suédois. À l’inverse, seuls 1,7% des Roumains, 4,2% des Grecs et 5% des Croates sont restés sur le marché du travail. Au #Luxembourg, 67,5% ont arrêté leur activité, 22,9% ne travaillaient déjà plus et seulement 9,7% ont continué de travailler au versement de leur première pension vieillesse. Un chiffre proche de nos voisins: 9,8% des Français et 9,4% des Belges bossaient toujours au-delà de l’âge légal, contre 12,8% des Allemands. Au Grand-Duché, les hommes sont nettement plus nombreux (12,3%) à prolonger leur carrière que les femmes (6,4%). Pourquoi certains résidents luxembourgeois jouent-ils les prolongations? Près de la moitié (46,4%) évoque le plaisir de travailler et d’être productifs et près d’un quart avance des arguments financiers: pour 8,6%, travailler est plus intéressant financièrement et 14,4% estiment que cela leur est nécessaire pour vivre correctement. Les résidents luxembourgeois peuvent toucher une pension anticipée à partir de 57 ans et une pension vieillesse à partir de 65 ans. Selon Eurostat, ils reçoivent leur premier versement, en moyenne, à 60,4 ans contre 61,3 ans dans l’UE. 🔵 Un article à retrouver sur lessentiel.lu.

🇱🇺 Ouverte à signature depuis le 22 novembre, la pétition lancée par Ana Pinto a atteint lundi soir le cap des 4 500 paraphes: elle devrait donc être débattue à la Chambre en présence des députés et des ministres concernés par le sujet. La présidente de La Voix des Survivant(e)s Asbl - d'Stëmm vun den Iwwerliewenden appelle à la mise en œuvre des propositions de l'association pour lutter efficacement contre les #violences fondées sur le genre et leur impact sur les enfants co-victimes. 🔵 Notre article à retrouver ici: https://bit.ly/4guNO5c

🇱🇺 Depuis 2022, les déclarations fiscales peuvent être remplies grâce à un assistant en ligne, qui guide le contribuable pas à pas, en fonction de ses réponses. L'outil de #MyGuichet «connaît un franc succès» selon le ministère des #Finances. Si l'on analyse les chiffres, il n'a toutefois pas encore modifié en profondeur les habitudes des contribuables. 19 222 déclarations fiscales ont été déposées via l'assistant la première année (revenus de 2021), soit 5,9% des 327 823 dossiers déposés cette année-là. Le ratio a légèrement augmenté l'année suivante (7,8%), avec 26 279 déclarations remplies via l'assistant sur un total de 337 974 dossiers. «De nombreux contribuables continuent de privilégier les déclarations papier, notamment ceux qui font appel aux services de fiduciaires, agents d'assurance, syndicats ou autres intermédiaires qui soumettent généralement leur déclaration fiscale sous format papier», analyse l'Administration des contributions directes. Selon l'administration, ces professionnels transmettent souvent les déclarations aux contribuables sous forme de fichiers PDF qu’ils impriment avant de les déposer dans les bureaux d'imposition. D'autres contribuables remplissent leurs déclarations sous format PDF à imprimer ou directement dans le formulaire modèle 100 papier, avant de les transmettre aux impôts. Alors que l'administration fiscale se dit globalement satisfaite de ce nouvel outil, le son de cloche est un peu différent chez les professionnels. «Il reste compliqué à utiliser, surtout pour un non-initié. La difficulté est liée au fait que la démarche est annuelle et n'est donc pas habituelle», indique Séverine Bergé, de NEOFISC S.a r.l. Le cabinet ne l'utilise d'ailleurs pas pour remplir les déclarations de ses clients: «Nous devons obligatoirement renseigner le matricule du contribuable et de son conjoint lorsque l’imposition est collective. Or, cela est très compliqué si le conjoint n’est pas salarié au #Luxembourg». De plus, certaines démarches seraient impossibles. 🔵 Notre article à retrouver sur lessentiel.lu.

🇱🇺 Un quart des résidents (24 %) indique avoir été victime d’une discrimination au moins une fois au cours des trois dernières années, selon le sondage publié par le CET (Centre pour l'egalité de traitement) ce jeudi. Un chiffre en hausse. Lors du dernier Observatoire des discriminations publié en 2020, ils étaient 20%. Le premier facteur de #discrimination, en revanche, reste la nationalité, citée par 70% des victimes. Les Portugais sont particulièrement touchés. En seconde place, à 67%, vient l’apparence physique qui n'était pas citée dans le précédent rapport. Suivi, à 58%, par le statut social. Les deuxième et troisième places en 2020 étaient occupées par le sexe/genre et les compétences linguistiques. Après avoir été victimes de discrimination, la moitié des résidents en ont parlé à leur entourage. Un quart n’a rien fait. Seul 18% ont porté plainte, les autres 82% estimant que c'était une perte de temps ou que leur cas n’était pas assez grave. La moitié des victimes dit avoir souffert de conséquences émotionnelles. Le nombre de témoins de discriminations a, lui aussi, augmenté, passant de 27% en 2020, à 33% en 2024. Le pourcentage de témoins à avoir réagi, en revanche, a baissé, avec 57% à avoir aidé la personne discriminée, en 2020, contre 52 % en 2024. 🔵 Un article à retrouver sur lessentiel.lu.

🇱🇺 Où la qualité de vie est-elle la plus élevée? En #Suisse certainement, puisque quatre villes helvétiques sont classées dans le top 10. #Zurich d’abord qui chipe la première place à #Vienne (2e) et #Genève qui complète le podium. La capitale, #Berne, et la ville de #Bâle pointent respectivement aux 9e et 10e places. Aux 20 premières places, on retrouve seulement six villes en dehors de l’#Europe, les néo-zélandaises #Auckland et #Wellington (4e et 7e), les canadiennes #Vancouver, #Toronto, #Ottawa (7e, 13e et 20e) et l’australienne #Sydney (12e). Dans ce top 20 figure également #Luxembourg (17e) qui perd une place par rapport à l'édition 2023, désormais talonnée par #Stockholm qui gagne huit places par rapport à l’an dernier. La première ville allemande, #Francfort, est 7e, #Munich est 11e, #Düsseldorf, 16e. La capitale, #Berlin, ne pointe qu’au 19e rang. En #France, la ville la plus agréable est #Toulouse (32e) devant #Paris (34e) et #Lyon (36e). #Bruxelles dégringole à la 40e place, à égalité avec #Londres. Pour établir ce classement, Mercer a compilé des données concernant la stabilité politique, le logement, les loisirs, les soins de santé, l'environnement socioculturel, les déplacements, la circulation, la qualité de l'air ou encore l'accès à l'éducation. 🔵 Notre article à retrouver sur lessentiel.lu.

🇱🇺 Selon une étude, le Grand-Duché serait mieux préparé que ses voisins pour abandonner pièces et billets, mais reste moins prêt que les pays nordiques. 🔵 Notre article à lire ici: https://bit.ly/4f3QUM6

🥳✈️ Julie, Luxembourgeoise de 25 ans, a remporté le concours organisé par L'essentiel  à l’occasion de ses 17 ans. Étudiante en kinésithérapie à Berlin, elle ne s’attendait pas à vivre une telle aventure, surtout pendant ses vacances au #Luxembourg. Pour espérer pouvoir l'emporter, il fallait reconstituer un puzzle à partir de pièces à découper dans les éditions du journal tout au long d’une semaine. «C’est maman qui a découvert le concours, elle lit L’essentiel tous les matins. On a tout de suite décidé de participer ensemble», raconte Julie, sourire aux lèvres. La mobilisation a été totale. «Papa allait chercher le journal au Cactus, maman en changeant de bus à la Belle Etoile, et moi, comme j’étais rentrée au #Luxembourg pour les vacances, j’ai aidé aussi. Avec ma sœur Claire, on s’est attelées à découper les pièces. Finalement, on a toutes les trois envoyé un puzzle complet ». Près de 1 000 participants ont tenté leur chance, mais c’est Julie qui a décroché le gros lot. «J’étais en réunion avec mes collègues, mais quand mon téléphone a vibré, j’ai couru m’enfermer aux toilettes pour décrocher. Là, on m’a dit que j’avais gagné le voyage à New York et que j’allais être en direct à la radio dans une minute. Je tremblais tellement que mes chefs m’ont demandé si tout allait bien». Passionnée de voyages, Julie n’en est pas à son premier périple. Un style de vie qui est d’ailleurs à l’origine de sa rencontre avec son compagnon, qu'elle a décidé d'emmener avec elle. « Nous nous sommes rencontrés à Kuala Lumpur et, par un incroyable hasard, nous nous sommes retrouvés à Berlin, où nous faisons tous les deux nos études». Le 16 février, ils s’envoleront donc pour la Grosse Pomme, avec les vols et l’hôtel offerts par L'essentiel , Meliá Hotels International et KLM.

🇱🇺 LIBERTY Steel Group à Dudelange, c'est fini. La #faillite du site industriel de Dudelange a été officiellement prononcée ce vendredi matin, indique l'OGBL à L'essentiel , confirmant une information de RTL. «L'entreprise a fait aveu de faillite, ce qui signifie que la direction locale a constaté qu'elle ne pouvait plus payer les salaires et les factures», précise @Stefano Araujo, de l'OGBL. Un curateur a été nommé. Un événement qui pourrait représenter un soulagement pour les quelque 150 salariés restant sur le site sans activité depuis des mois, qui n'ont pas touché leur dernier salaire et se trouvent dans «une situation intenable». Dans le contexte de la faillite, «au moins, ils auront droit aux aides prévues, aux indemnités», souffle Stefano Araujo. Ces aides devraient couvrir les salaires non versés et celui du mois de décembre, puis quelques mois supplémentaires en fonction de l'ancienneté. 🔵 L'article complet ici: https://bit.ly/3OuI5jB

🗞️😍 4 000 numéros, la même volonté, le même objectif, la même rigueur. La #rédaction a certes évolué durant ses 17 années d’existence, mais l’ADN ne change pas. Informer et divertir, c’est la mission que s’est fixée L'essentiel . Depuis l’installation de nos premières boîtes au #Luxembourg et le premier numéro le 10 octobre 2007, le monde des médias a beaucoup changé. Les équipes ont grandi et se sont adaptées, la marque aussi avec le développement continu de nos rubriques, du site lessentiel.lu ainsi que la réussite de L’essentiel Radio. Des supports complémentaires qui ont contribué à une success story sans équivalent au pays, grâce aussi à des annonceurs et des partenaires fidèles. L’aventure n’a pas été un long fleuve tranquille... Le #journal a dû faire face à certaines crises, dont celle historique liée à la pandémie de #Covid19. Pourtant, L'essentiel n’a jamais cessé de paraître, pour vous accompagner dans ces moments difficiles et d’isolement, où le besoin d’#information et de #divertissement devenait encore plus vital. Dépasser cette crise ensemble a sans aucun doute créé des liens encore plus forts avec vous, chers lecteurs. Alors, oui, parfois, vous n’hésitez pas à marquer votre frustration, à souligner votre incompréhension ou vos désaccords avec certains articles. Mais c’est l’essence même d’une relation saine entre un #média crédible et son lectorat avisé. Malgré les aléas d’une société en perpétuel mouvement, L'essentiel vous attend dans vos boîtes. Un rendez-vous, un repère, une pause, une ouverture sur le #Luxembourg et sur le monde... À chacun son #essentiel.