Surfant avec malice sur des arrangements scintillants, Corine rend hommage aux années 70 et 80, de Niagara à Umberto Tozzi. Elle prend exemple sur la féminité de Madonna, Brigitte Bardot ou l'impertinence de Mylène Farmer et Cyndi Lauper. Elle se réfère aux pionniers de la disco, de Donna Summers à Earth, Wind & Fire, et à un son français décalé, du groove des Rita Mitsouko au jazz de Cortex.