L'essence même du mouvement neo soul que Maxwell a contribué à façonner puise sa source chez les légendes des années 60 et 70 et au-delà. On retrouve chez lui le romantisme d'Al Green ou Otis Redding ainsi que la fougue de Prince. Au-delà des orchestrations délicates de Stevie Wonder, son timbre fait écho aux inflexions suaves de Sade croisées au groove assuré et engagé de Marvin Gaye.