Le cœur ouvert et la guitare à la main, Jonathan Painchaud invoque avec audace Bob Dylan, Bruce Springsteen et Van Morrison dans la douce chanson d’amour « La tête haute », un hommage à la femme parfaite. Avec Montréal comme muse, ses langoureuses méditations sur les blessures du passé dans « Me laisser porter par les vents » donnent lieu au rock bilingue et déchaîné de « Rat Race ». D’un ton franc et introspectif, ses rêveries lucides sur les aléas de la vie frappent immanquablement dans le mille.
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