Amer et corrosif à la manière d’Eminem, à qui on le compare souvent, OrelSan décortique ici la vie tristement homogène des presque trentenaires dont il fait partie et tacle la société, son cheval de bataille. Parisiens, Sudistes, PDG : le rappeur n’épargne personne sur « Suicide social », sans doute le point d’orgue de ce deuxième album. De ces invectives et autres diatribes rappées, la critique retiendra surtout son talent pour la rime. En 2012, deux Victoires de la Musique lui sont décernées.
Apparaît dans
- Gringe
- Bigflo & Oli
- Roméo Elvis & Le Motel