Avec ce programme d’œuvres éclectiques, la violoncelliste Camille Thomas célèbre le triomphe de la paix et de l’espoir face à l’adversité. D’une lamentation de Purcell à une prière de Bruch en passant par le nostalgique « Chansons que ma mère m’apprenait » de Dvořák, extrait des Chants tziganes, tous les airs choisis par l’artiste transforment la peine en joie et l’obscurité en lumière. Son magnifique instrument, un Stradivarius de 1730, semble verser des larmes de compassion sur Never Give Up, le concerto de Fazil Say composé en réponse aux attaques terroristes de 2016 à Paris et Istanbul.
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