En 2010, Jamey Johnson dévoile un double album country aux ambiances distinctes et complémentaires. Dans ces ballades sobres ancrées à Nashville et inspirées par l’imaginaire outlaw, notamment « California Riots », l’auteur-compositeur américain dépeint des atmosphères solitaires imprégnées de blues et de gospel, contrastant avec un rock sudiste plus entraînant, comme sur « Heartache ». Souvent vulnérable, parfois inflexible, il incarne la figure nuancée du cowboy moderne.