Sculptures du XVIIIe siècle et antérieures

Figurine de la déesse mère Civilisation de la vallée de l'Indus (vers 3500 - 2800 av. J.-C.) Poterie artisanale, 140 mm x 45 mm, 60 g Provenance : Collection S, 1990-2014 ; Collec...

Artistics inconnus (Italie, début du 17ème siècle) Faune assis Bronze sur socle en marbre (postérieur), hauteur 32 cm Provenance : Collection privée Ce bronze représente un faune, ...

L'argent était le matériau de prédilection pour les récipients ecclésiastiques et domestiques dans le Nouveau Monde, non seulement en raison de son statut de métal précieux, mais aus...

Tête de Marc Aurèle en porphyre du XVIIIe siècle, sculptée à la main et montée sur une base en marbre de Carrare.

GALLO - ROMAN Calcaire 1./2. Siècle après Jésus-Christ Hauteur 74 cm, sans socle 65 cm Ce torse de grande qualité représente une déesse. La déesse debout est représentée en contrap...

Médaillon en marbre blanc de Carrare représentant le profil de l'empereur romain Tibère, atelier romain, XVIIIe siècle. Objets prisés du Grand Tour, ils ont enrichi les cabinets de c...

Sculptée en bois de tilleul Nous tenons à remercier le Dr. Michael Rief pour ses conseils. Cette sculpture représente saint Matthias, l'un des apôtres choisis pour remplacer Judas ...

Provenance : Collectional, Espagne. Connu sous le nom d'albâtre péruvien pour sa translucidité et sa facilité de mise en œuvre, Piedra de Huamanga est un matériau très prisé proven...

RELIEF DE LA GÊTE "L'Adoration des Mages Rhin inférieur Vers 1500 Bois de chêne, sculpté plastiquement Original, version polychrome Hauteur 51 cm, largeur 50 cm

MAÎTRE ANGE Sculpture du musée du maître de Mauer Région autrichienne du Danube Environ 1500/20 Bois de tilleul, sculpté en ronde-bosse Hauteur 55 cm Provenance : Collection ...

PAIRE DE MUSÉE FLYING ANGELS Brabant/Bruxelles Vers 1500 Bois de chêne, entièrement sculpté en rond Hauteur 40/38 cm Ces deux figures sont une paire d'anges volants fabriqués v...

MUSÉE DE CHRISTIE'S Espagne/Catalogne ou Asturies Vers 1250 Corpus bois dur, bras bois tendre Vestiges du décor polychrome d'origine Hauteur 109,5 cm, largeur 98 cm

Provenance : Manuel Ortíz de Zevallos y García, Pérou ; et par descendance dans la famille à : Collection privée, New York. Cet impressionnant plat de baptême est un exemple d'arg...

Volpato ou Cialli, moulée par Lorenzo Weber, bénédiction de Pio VI à cheval lors de la Cavalcata pour la Possession Terre cuite blanche anglaise de 45 x 29 x 17 cm, datable de 1775...

Provenance : Sables de Fontainbleau, Seine-et-Marne, France Les "gogottes" sont des créations naturelles formées à partir de sables déposés dans le nord de la France à l'époque de l...

Provenance : Sables de Fontainbleau, Seine-et-Marne, France les "Gogottes" sont des créations naturelles formées à partir de sables déposés dans le Nord de la France au cours de l'O...

Provenance : Sables de Fontainbleau, Seine-et-Marne, France les "Gogottes" sont des créations naturelles formées à partir de sables déposés dans le Nord de la France au cours de l'O...

Une tête d'Avalokiteshvara en grès gris, Khmer, Cambodge, style Bayon du 13ème siècle. L'œuvre d'art n'est pas signée. Provenance : Charles Craig, collection privée Heather James...

Provenance : James Byrnes, Los Angeles (1917-2011) Giusto Le Court est né Josse ou Justus de Corte dans la ville flamande d'Ypres. Son père Jean était sculpteur et on peut supposer ...

Madonna assise Italie centrale/Toscane ou Marche Vers 1420 Bois de peuplier sculpté Version originale Hauteur 31 cm Charmante sculpture de madone de l'apogée du style doux ou inter...

Signé et daté : 'F. Harwood Fecit 1764' Collections : Probablement commandée par Alexander Gordon, 4e duc de Gordon (1743-1827) ; Probablement par descendance au château Gordon, Banffshire vers 1948 ; Probablement acquis par Bert Crowther de Syon Lodge, Middlesex ; Jacques Hollander (1940-2004) ; Christie's, 5 décembre 2013, lot 101 ; Collection privée ; Sotheby's, 2 juillet 2019, lot 106 La littérature : John Preston Neale, Views of the seats of noblemen and gentlemen, in England, Wales and Scotland, Londres, 1822, vol.I, non paginé. Cette copie en marbre d'un buste ancien conservé au Musei Capitolini, généralement identifié comme étant Faustine la Jeune, fille d'Antonin Pius et future épouse de Marc Aurèle, a été réalisée à Florence par Francis Harwood en 1764. Harwood était l'un des fournisseurs les plus prolifiques de marbres décoratifs pour le marché du Grand Tour et cet exemple finement travaillé démontre la qualité des produits de luxe disponibles pour les voyageurs en Italie. Si souvent anonyme, cet exemple exceptionnellement signé et daté soulève des questions sur le statut des copies de marbre de l'époque et des sculpteurs tels que Harwood, connus principalement pour leurs travaux ornementaux. Les origines de Harwood restent obscures. Il est documenté comme vivant au Palazzo Zuccari avec Joshua Reynolds et le sculpteur irlandais Simon Vierpyl à Pâques 1752, il s'était certainement installé de façon permanente à Florence l'année suivante, lorsqu'il est enregistré comme travaillant avec Joseph Wilton. Il a été admis à l'Académie florentine le 12 janvier 1755 (en tant que pittore Inglese, bien qu'il ait été décrit comme scultore dans le compte rendu de l'inscription). Après le retour de Wilson en Angleterre en 1755, Harwood semble avoir travaillé dans un studio près de SS. Annunziata avec Giovanni Battista Piamontini qui avait réalisé des copies grandeur nature des Lutteurs et de L'esclave qui écoute pour Joseph Leeson en 1754. En 1758, les deux sculpteurs sont chargés de réaliser une statue et un trophée pour compléter la décoration de la Porta San Gallo, Harwood achevant une statue de l'Égalité, installée l'année suivante. En 1760, Harwood est à l'aube de sa période la plus productive en tant que sculpteur, produisant des copies d'antiquités célèbres pour le public toujours plus nombreux des voyageurs du Grand Tour et pour le marché intérieur de Londres. En 1761, Harwood a rencontré le jeune architecte James Adam, qui se trouvait en Italie dans le but précis de trouver des fournisseurs pour le cabinet florissant de Robert Adam en Grande-Bretagne. Les Adams ont proposé à leurs clients un ensemble de conception remarquablement cohérent, englobant non seulement l'architecture, mais aussi les installations, les équipements et le mobilier. Harwood a pu fournir aux frères des marbres pour leurs nouveaux intérieurs. À Syon, par exemple, Harwood a produit une copie grandeur nature du Bacchus de Michel-Ange pour la nouvelle salle à manger que les Adams avaient conçue pour Hugh Smythson, 1er duc de Northumberland. Harwood semble s'être également spécialisé dans la production de séries de bustes de bibliothèques. En 1758, Charles Compton, 7e comte de Northampton, un voyageur distingué, a commandé une série de bustes qui se trouvent toujours à Castle Ashby, dans le Northamptonshire. Ce n'est peut-être pas une coïncidence si les frères Adam produisent des dessins pour de nouveaux intérieurs à Castle Ashby à cette date. L'ensemble comprenait des représentations de : Cicéron, Jules César, Marc Aurèle, Faustine la Jeune, Sappho, Sénèque et Homère. Chacun de ces bustes semble avoir été reproduit par Harwood pour de multiples mécènes, un autre mécène d'Adam, Thomas Dundas, par exemple, qui était à Florence en 1762, a commandé des bustes de Marc Aurèle, Faustine la Jeune, Sénèque et une Vestale en payant 50 zecchini chacun pour les bustes en 1767. Le présent exemplaire, magnifiquement modelé et exceptionnellement bien conservé, a très certainement été commandé par un voyageur britannique. Il fait partie d'un très petit nombre de bustes de Harwood qui sont à la fois signés et datés. Les bustes de Faustine la Jeune étaient remarquablement populaires au milieu du XVIIIe siècle. Le buste romain avait été découvert à Tivoli en 1748 et offert par Benoît XIV au musée du Capitole. Il avait été restauré par Bartolomeo Cavaceppi, qui a ensuite produit une série de copies en marbre, dont une version pour James Adam en 1762, qu'il a vendue au duc de Northumberland et qui se trouve maintenant au Philadelphia Museum of Art. D'autres copies ont été faites pour Gustav III de Suède, pour Henry Temple, 2e comte de Palmerston et Henry Blundell. Il est moins facile de justifier sa popularité. Faustine la Jeune n'était pas une figure historique majeure, sa biographie n'était pas suffisamment engageante pour justifier sa présence dans tant de collections de sculptures distinguées. La réponse pourrait bien résider dans l'apparence du buste ; la forme ovale du visage, son expression douce, sa texture biscuitée et sa linéarité sont autant de caractéristiques de la sculpture hadrianique très admirée par des personnalités de premier plan comme le cardinal Alessandro Albani et Johann Joachim Winckelmann. Ce sont également des caractéristiques communes au néo-classicisme naissant. Dans cette sculpture au modelé net, Harwood a placé le buste blanc sur un socle en marbre gris, une caractéristique commune à une paire de bustes représentant Homère et Sénèque, également signés et datés par Harwood en 1764 et conservés dans la collection du Victoria and Albert Museum de Londres. Ils avaient été commandés à Florence par Alexander Gordon, 4e duc de Gordon en 1763 et sont restés au château de Gordon, dans le Banffshire, jusqu'au milieu du XXe siècle. Le buste actuel pourrait bien avoir fait partie de la même commande. Le premier volume de John Preston Neale, Views of the seats of noblemen and gentlemen (Vues des sièges des nobles et des gentilshommes), est paru en 1822 et contenait une description du château de Gordon, où l'on pouvait lire dans le hall une : une "copie de l'Apollon du Belvédère et de la Vénus de Médicis, magnifiquement exécutée en marbre statuaire par Harwood. Ici aussi, par le même statuaire ingénieux, se trouvent les bustes d'Homère, de Caracalla, de M. Aurelius, de Faustine et d'une Vestale... chacun élevé sur un beau piédestal de marbre...

Ce bozetto en terre cuite d'une remarquable fluidité a été réalisé en vue de la plus importante commande publique de Pietro Pacilli, une grande statue en marbre de San Camillo de Lellis pour la nef de la basilique Saint-Pierre de Rome. Avec son modelé expressif, cette sculpture en terre cuite est une œuvre rare et importante réalisée par un sculpteur romain majeur à un moment de transformation de la sculpture européenne. Pacilli a commencé sa vie professionnelle en participant aux grands projets décoratifs baroques lancés au XVIIe siècle, mais il a trouvé le succès en tant que restaurateur de sculptures anciennes, travaillant à la finition d'antiquités pour un marché touristique, devenant ainsi une figure importante dans l'émergence d'un néoclassicisme soucieux de l'archéologie. Pacilli a formé Vincenzo Pacetti et a fourni d'importants travaux décoratifs pour le Museo Pio-Clementino, en même temps qu'il est enregistré comme restaurateur de certaines des plus célèbres antiquités excavées et exportées pendant la période. Pacilli est né dans une famille d'artisans romains, son père Carlo était sculpteur sur bois, et l'on sait que Pacilli a travaillé avec lui sur la chapelle Corsini à San Giovanni Laternao dès 1735. En 1738, son modèle en terre cuite de Joseph et la femme de Potiphar remporte le premier prix de la deuxième classe du concorso de sculpture de l'Accademia di San Luca, ce qui est particulièrement remarquable car Bartolomeo Cavaceppi est arrivé troisième. Il a travaillé comme sculpteur et stucateur, réalisant des travaux pour les églises de San Marco et SS. Trinita dei Domeniciani Spagnoli. Pacilli opérait en tant que sculpteur et restaurateur d'antiquités depuis son atelier situé en haut de la Place d'Espagne, près de Santa Trinita dei Monti, où il est répertorié comme un vendeur potentiel du Museo Pio-Clementino en 1770. En 1763, Pacilli réalisa une figure en argent de San Venanzio pour le trésor de San Venanzio. Il est enregistré comme le premier maître de Pacetti et c'est évidemment grâce à Pacilli qu'il a commencé à acquérir ses compétences en tant que restaurateur de sculptures anciennes. Pacilli, dans son atelier "poco prima dell'Arco della Regina alla Trinita dei Monti", exerçait, ce que l'érudit du XIXe siècle, Adolf Michaelis, appelait "l'art de l'art" les "arts rajeunissants" sur plusieurs pièces importantes de la sculpture classique, dont en 1760 le groupe d'un Satyre avec une flûte pour le frère naturel de George III, le général Wallmoden, ministre hanovrien à Vienne. En 1765, Dallaway et Michaelis indiquent que Pacilli était responsable des restaurations, y compris l'ajout d'une nouvelle tête, à la Vénus Barberini qu'il avait acquise de Gavin Hamilton. La Venus a ensuite été vendue à Thomas Jenkins, qui l'a à son tour transmise à William Weddell à Newby Hall. En 1767, Pacilli a exporté une série de bustes antiques "al naturale" comprenant les portraits d'Antinoüs, de Jules César et de Marus Aurelius, ainsi qu'une statue de Muse et de Vénus. Dès 1756, Pacilli semble avoir opéré en tant qu'antiquaire, en aidant à disperser la collection de la Villa Borrioni. Pacilli a fourni des sculptures à de grands collectionneurs britanniques, dont Charles Townley, qui, lors de son premier voyage en Italie, a acheté à Pacilli la statue d'Hécate du Palazzo Giustiniani. Pacilli a été impliqué dans le Museo Pio Clementino dès sa conception, fournissant des bustes de Jules César et d'une femme romaine, et réalisant des putti en stuc surmontant les armes du pape Bendedict XIV pour signaler l'entrée du nouveau Museo Critiano. En 1750, Il Diario Ordinario del Chracas annonce que Pacilli a commencé à travailler sur une sculpture de San Camillo de Lellis pour Saint-Pierre. En 1591, Camillo de Lellis a fondé sa congrégation, les Camilliens, avec leurs croix de feutre rouges distinctives cousues sur des habits noirs. Après avoir servi comme soldat dans l'armée vénitienne, Camillo de Lellis devient novice chez les frères capucins, il s'installe à Rome et fonde une communauté religieuse dans le but de soigner les malades. En 1586, le pape Sixte V a reconnu les Camilliens et les a affectés à l'église de Santa Maria Maddalena à Rome. Camillo de Lellis est mort en 1614 et a été enterré à Santa Maria Maddalena, il a été canonisé par Benoît XIV le 26 juin 1746. Cette occasion a incité les Camilliens à passer plusieurs commandes artistiques importantes, dont deux toiles de Pierre Subleyras...

Corpus Christi environ 1150/70 Sud de la France ou Catalogne bois de chêne sculpté

 hauteur 109 cm, largeur 96 cm Des restes de polychromie

MADONNA ROMAN "Sedes Sapientiae" Auvergne Vers 1175/80 Bois de pin Vestiges polychromes Hauteur 40 cm Cette représentation de la Madone est une figure très ancienne, sculptée de main de maître, en pin ou en bois de pin de pierre, dans un état de conservation exceptionnel. Il a été fabriqué en Auvergne vers 1175. La taille compacte (40 cm) ainsi que la haute qualité indiquent sa production pour la précieuse châsse d'autel d'une église romane. La Vierge correspond au type Sedes Sapientiae : Marie comme trône de la sagesse divine. Elle est assise sur un trône surélevé à deux niveaux, magnifiquement sculpté, et au centre trône l'enfant Jésus sur ses genoux, de face comme sa mère. Dans la main gauche, il tient un livre, tandis qu'il a levé la main droite dans un geste de proclamation. La figure est construite de manière symétrique ; la frontalité méticuleuse montre clairement la période précoce de cette représentation impressionnante. Les visages sont sculptés de manière très expressive, avec de grands yeux largement ouverts et des paupières supérieures profondément entaillées. L'expression sévère est accentuée par le nez proéminent, qui se fond harmonieusement dans les arêtes vives des sourcils. Les lèvres pleines de Marie sont légèrement ouvertes, tandis que celles de l'enfant sont pincées. Une référence au rôle de Marie en tant que médiatrice, communiquant avec les gens et, par conséquent, transmettant leurs intercessions à Jésus ? Les surfaces soigneusement travaillées suggèrent que les plis de la draperie n'apparaissent qu'en faible relief, ce qui est typique de la période du XIIe siècle. Le voile de Marie est posé en douceur sur sa tête, avec des échancrures sur le dessous. A ces endroits se trouvaient probablement des appliques - peut-être des pierres précieuses. Les plis sont bombés autour de ses avant-bras ; sur le haut du corps, des marques incisées arrondies indiquent une tentative de représentation d'une robe fine. Celle-ci tombe dans des configurations idiosyncratiques autour des rotules lisses pour frapper le sol de manière parallèle. Ici, le textile apparaît épais comme un luxueux tissu de brocart ; une bordure supposée dense tombe entre les pieds de Marie comme le seul élément asymétrique dans les plis en zigzag suggérés. Les plis doux comme de la pâte qui recouvrent les formes arrondies semblent être le transfert d'une technique de peinture bidimensionnelle à l'objet sculpté tridimensionnel. La technique chrysographique byzantine et le travail de l'émail sont rappelés ici, en particulier pour les représentations d'icônes. Des traces de polychromie ont subsisté dans les rainures, indiquant que la robe de la Vierge était teinte en vert et son manteau en bleu. Les traces de couleur rouge clair sur la robe de l'enfant renvoient à sa coloration rouge et, dans la tradition du symbolisme chrétien des couleurs, à l'imminence de la Passion du Christ. Cependant, il pourrait également s'agir de Bolus - un silicate d'alumine - qui sert de support à une dorure ultérieure à la feuille d'or. Le trône est recouvert de restes d'une couche sombre et oxydée, indiquant un placage d'argent antérieur. Celui-ci est également structuré de manière symétrique : Un groupe de trois colonnes étroites, chacune se terminant par un arc, flanque la représentation de la Majestic de manière majestueuse. Ces arcades supportent chacune un panneau avec un ornement décoratif elliptique inscrit dans un épais cadre rectangulaire. La référence au mobilier luxueux contemporain se retrouve également dans un plus grand nombre de ces premières représentations de la Madone. Par exemple, la Vierge en Majesté...

Ce bol précolombien présente des marques rouges sur un fond orange clair. Il mesure 9 pouces de diamètre et a déjà été réparé.

Buste d'une dame, probablement Elisabeth Petrowna, également connue sous le nom d'Elisabeth de Russie Représentée avant son couronnement Buste en terre cuite Élisabeth Petrovna (rus...

Ce bol Chinesco provient d'une société précolombienne d'environ 300 avant notre ère. Il présente des motifs abstraits et géométriques en rouge et noir. Le diamètre est de 8".

Carreau médiéval coulé en plâtre, inspiré de l'Europe centrale. Ajusté dans un cadre, prêt à être accroché ou installé.

Tête d'apôtre ou de Christ en pierre calcaire sculptée. Visage allongé avec un grand front et des cheveux longs avec d'épaisses mèches ondulées sur les côtés. Les yeux en amande sont...

Bellissima e imponente testa neoclassica in marmo di Alessandro Magno, Italia, Roma, XVII secolo. Alessandro Magno (356-323 aC), qui jouit d'une grande postérité dans le domaine de ...

Médaillon en marbre blanc de Carrare représentant le profil de l'empereur romain Galba, atelier romain, XVIIIe siècle.  Objets prisés lors du Grand Tour, ils ont enrichi le "cabinet ...

Grand groupe en terre cuite représentant une scène d'intérieur, Nord de la France, seconde moitié du XVIIe siècle. L'exécution raffinée de ce charmant intérieur familial nous ramène...

le viol des Sabines, albâtre veiné, grand groupe sculptural à sujet classique, atelier de Volterra, XVIIIe siècle. Le "viol des Sabines" est un groupe sculptural de Giambologna qui...

Sculpture en bois sculpté et peint - Figure de saint - Italie, XVIIe-XVIIIe siècle. 36 x 25 x h 74 cm. Entièrement en bois sculpté, laqué et peint. Quelques pièces manquantes et pe...

Sculpture en bois sculpté et peint - Vierge en prière - Italie, XVIIe-XVIIIe siècle. 35 x 20 x h 65 cm. Entièrement en bois sculpté, laqué et peint. Quelques pièces manquantes et p...

Rare tête anatomique en stuc et en cire, fabriquée en Allemagne au 18e siècle. Fascinant modèle d'étude utilisé à l'époque dans le milieu universitaire, une œuvre d'art scientifique ...

NINSEI NONOMURA, actif dans la deuxième partie du XVIIe siècle Presse-papier en céramique Kyo-Yaki, Presse-papier Kyo-Yaki, 1646. Céramique polychrome à décor de boules et de feuil...

Mortier en marbre italien inhabituel du 14e siècle avec des animaux représentés sur les côtés

le viol de Sabine", grand groupe en bronze à patine brune, atelier romain de la seconde moitié du XVIIIe siècle, cercle de Francesco Righetti (Rome 1749-1819). La qualité exception...

Plâtre coulé - tuile médiévale, provenant d'Europe centrale. Ajusté dans un cadre, prêt à être accroché ou installé.

Groupe de Bacchantes en bronze de Claude Michel (Clodion) ( 1738- 1814). Le bronze représente un couple de bacchantes, les femmes qui suivaient Bacchus, le dieu romain du vin et de l...

Sculpture en bois sculpté et peint - Pietà - Italie, XVIIIe siècle. 13 x 7 x h 22,5 cm. Entièrement en bois sculpté et peint en polychromie. État de conservation : Bon état de con...

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BUSTE EN MARBRE ITALIEN DE MELPOMÈNE, A.MUSE DE LA TRAGÉDIE Fin du 18e siècle inscrite à la base Melpomen marbre hauteur 66 cm hauteur 26 pouces

PORTRAIT TÊTE D'HOMME BARBU Italie centrale, 16e/17e siècle marbre avec traces de polychromie hauteur 39 cm hauteur 15 1/4 in

RELIEFS ARCHITECTURAUX AVEC CHIMÈRES Italie centrale, XVIe siècle marbre vert 26 x 25 cm 10 1/4 x 9 3/4 in

FIGURE DE MARS EN BRONZE, XVIIIe siècle bronze doré sur base en marbre 35.6 x 8.9 x 7.6 cm 14 x 3 1/2 x 3 in

(SUR COMMANDE) (Sabbat, Kiddush, Unique, Lustre d'or) *Le délai de livraison peut varier de 1 à 3 semaines. Melanie Sherman "Juste un peu d'ivresse" Année : 2021 Porcelaine, glaçure...

FRONTON double face en bois doré et sculpté finement ajouré d'animaux fantastiques ailés au milieu de feuillages et d'éléments fleuris. Au centre, un portrait de moine. Travail grec ...

FRAGMENT DE RELIEF EN MARbre ROMAN ANCIENT Rome, 1er siècle A.I.C. marbre 23 x 15 x 5 cm sans socle 9 x 6 x 2 in

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Quatre sculptures en bois - Les quatre saisons - Venise, XVIIIe siècle 10 x 8 x h 20 cm. Entièrement en bois sculpté. État de conservation : Bon état de conservation de l'œuvre sc...

MASQUE GROTESQUE Italie, 15ème siècle pierre 30 x 31 x 20 cm 11 3/4 x 12 1/4 x 7 3/4 in

Quatre sculptures de table en bois sculpté et peint - Concert de musiciens - Venise, XVIIIe siècle. 9 x 7 x h 20 cm chacun. Entièrement en bois sculpté et peint. - Cet article es...

Vierge à l'Enfant, relief en stuc polychrome, atelier de Luca della Robbia. Seconde moitié du XVe siècle. Modélisé en demi-longueur, l'Enfant tient le voile de sa mère d'une main, l'...

D'après Jean Goujon (français, 1510-1568) Buste de Diane de Poitiers, 18e/19e siècle Bronze 14 x 7 x 5 pouces 22 x 8 x 7 pouces, avec base Diane de Poitiers était une femme de la n...

Carpi, milieu du XVIIe siècle, panneau à scagliola. Le panneau, en bichromie noir et blanc, présente des insertions d'éléments marbrés polychromes et une scène centrale représentant...

Grande Vierge à l'Enfant en chêne de la fin du 13e siècle ou du début du 14e siècle. La plasticité des visages et du Christ évoque le XIIIe siècle (le visage de la Vierge évoque celui du Sedes Sapientiae...

Bougeoir à une flamme en bois doré. Ce type d'objets était présent dans les églises ou les villas nobles, en particulier à l'époque baroque. La base n'est pas coevalente.

Ce jeune saint ou ange a souffert au cours des siècles, mais son esprit n'a pas été brisé et, miraculeusement, son beau visage est resté intact. Avec un visage doux et un quasi-souri...