What do you do if your colleagues resist the development of emotional intelligence in the workplace?

Understand and appreciate their world. Before jumping in with tactics and strategies - seek to understand and be curious about the way in which they see emotional intelligence. Questions are the best tool here to elicit how they view it. This will be huge to be able to approach then step with the right approach. It may be a simple mis understanding or a fear, perhaps education or understanding gap.

La résistance est le fait de la crainte de perdre les avantages liés à son prétendu confort. Quand on ne sait pas ce qui nous attend de l’autre côté, il faut évaluer la situation en mettant en avant ce qu’on perdrait en restant campé sur ses positions. Les temps ont changé et les jeunes générations ont des codes bien à eux. C’est une démarche nécessaire à tous les niveaux pour rester dans l’air du temps.

When colleagues resist emotional openness at work, the best way is to start acknowledging their perspective. Next is to create a safe space for open dialogue, emphasizing empathy and understanding. Encouragement of active listening and validating their feelings helps. Support and resources for managing emotions constructively should be encouraged. Lastly a culture of trust and psychological safety to promote genuine connection and collaboration should be inculcated.

Rien ne valent les exemples concrets quand on se lance dans cette démarche. Réagir de manière assertive quand un collègue s’adresse à vous de manière assertive. C’est mon arme favorite : garder mon calme même quand en face la personne est dans tous ses états. Ça permet de « cadrer » les discussions sans se laisser submerger.

Sur le réseau et à travers mon activité, je partage régulièrement le fruit de mes lectures. C’est une dynamique qui est très appréciée et ça a été repris par beaucoup d’autres créateurs pour mon plus grand plaisir. Rien de tel que le partage pour créer une dynamique vertueuse.

Il faut toujours encourager le feed-back parce que les gens ne disent pas toujours ce qu’ils pensent et c’est « ok ». Cela dit, il y a un outil puissant qu’on appelle « communication non verbale ». Quand on est suffisamment curieux et attentif on arrive à lire et comprendre l’état d’esprit d’une personne rien qu’en l’observant. Par exemple, la contrariété se manifeste assez souvent par de l’auto-contact (se gratter la tête, se toucher le bout du nez…) ou un simple « rictus ». C’est très expressif de l’état d’esprit.

Être à l’écoute de ses collègues et les aider à résoudre un tant soi peu leurs problématiques, c’est un rôle dévolu à tous les collègues.