La Mèche

La Mèche

Business Consulting and Services

Empowering eco-responsible community dedicated to make a positive impact. Network. Magazine. Consulting.

About us

Empowering eco-conscious community dedicated to make a positive impact. Consulting, Magazine, Network. Based in Geneva🇨🇭acting worldwide.

Industry
Business Consulting and Services
Company size
2-10 employees
Type
Privately Held
Founded
2020
Specialties
Agence de conseil, Développement durable, Stratégie, Branding, Création de contenu, Accompagnement à la certification, and Formation

Employees at La Mèche

Updates

  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    𝗟𝗮 𝗦𝘂𝗶𝘀𝘀𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗼𝗱𝗶𝘂𝗺 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗮𝘂𝘃𝗮𝗶𝘀 𝗲́𝗹𝗲̀𝘃𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗹𝗮𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗰𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 👎🏽 Avec ses paysages de cartes postales, la Suisse est aussi celui de l’inaction climatique. Cette année nous chutons de la 𝟮𝟭ᵉ 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝟯𝟯ᵉ place au Climate Change Performance Index (CCPI), un classement qui analyse les efforts climatiques de 64 pays responsables de 90 % des émissions mondiales. Une dégringolade qui reflète un manque criant d’ambition politique. -Énergies renouvelables: résultats jugés "faibles". -Politique climatique: 48ᵉ place sur 64, loin des standards internationaux. -Vision d’avenir: une stratégie inchangée depuis 9 ans alors que l’UE et d’autres pays augmentent leurs ambitions. La Suisse est aussi le seul pays à avoir assoupli ses engagements de la COP26 et reste absente des discussions financières sur les fonds « Pertes et Dommages » à la COP29. Une posture choquante alors que le secteur financier suisse est responsable d’un impact 18 fois supérieur aux émissions nationales : s’il était un pays, il serait le 6ᵉ émetteur mondial. Pourtant la population suisse a envoyé un signal clair en adoptant la loi sur le climat en juin 2023 à 59,1 %. Ce soutien montre une volonté de renforcer les engagements, mais l’écart entre les attentes citoyennes et les actions politiques reste flagrant. Alors pour ne pas attendre que les politiques se réveillent, il existe des moyens pour agir chacun·e à son niveau tout en les poussant à prendre leurs responsabilités. ENTREPRISES: -𝗣𝗹𝗮𝗶𝗱𝗼𝘆𝗲𝗿 𝗮𝗰𝘁𝗶𝗳: participer à des groupes de travail et des associations professionnelles comme la Fédération suisse des entreprises - FSE pour promouvoir des réglementations environnementales renforcées. -𝗘𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰: publier des rapports de durabilité mettant en avant l’importance d’objectifs ambitieux. -𝗖𝗼𝗹𝗹𝗮𝗯𝗼𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝘂𝘁𝗼𝗿𝗶𝘁𝗲́𝘀: travailler avec les gouvernements pour co-développer des cadres favorisant la transition écologique. -𝗦𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗹𝗲́𝗴𝗶𝘀𝗹𝗮𝘁𝗶𝗳: appuyer des projets de loi climatiques et mobiliser vos parties prenantes. -𝗔𝗹𝗹𝗶𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁: rejoindre des coalitions pour peser collectivement. PARTICULIERS: -𝗣𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗶𝘁𝗼𝘆𝗲𝗻𝗻𝗲: s’impliquer dans des consultations publiques, pétitions ou manifestations. -𝗘𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗼𝗹𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲: voter pour des objets en faveur de l’environnement et pour des candidats ou partis aux programmes ambitieux. -𝗦𝗲𝗻𝘀𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗹𝗼𝗰𝗮𝗹𝗲: participer à des discussions pour mobiliser la communauté. -𝗔𝗰𝘁𝗶𝘃𝗶𝘀𝗺𝗲 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲: utiliser les médias sociaux pour partager des informations et inciter à l’action. -𝗦𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗮𝘂𝘅 𝗢𝗡𝗚: collaborer avec des organisations pour amplifier les campagnes de plaidoyer. Chaque vote, chaque choix, chaque initiative peut contribuer à une transition plus ambitieuse!

    • No alternative text description for this image
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    𝗕𝗼𝗿𝗻 𝗶𝗻 𝗣𝗣𝗠, 𝗹’𝗲́𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮𝘂 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻. J’ai toujours du mal à me représenter les très gros chiffres, en particulier quand il s’agit du climat. Par exemple, l’humanité émet environ 2’000 tonnes de CO₂ dans l’atmosphère chaque seconde! On se doute que c’est énorme, mais concrètement? Mary-Lou Mauricio fait partie des artistes qui ont l’immense talent de traduire des données abstraites en oeuvres artistiques qui suscitent l’émotion et parlent à tout le monde.  Ses « modèles » sont photographié·e·s avec le taux de CO₂ (en particules par million, PPM) correspondant à leur année de naissance inscrit sur leur corps. Ce chiffre symbolise leur relation personnelle au changement climatique. Vous êtes né·e en 1980? Alors vous êtes « 𝗕𝗼𝗿𝗻 𝗶𝗻 𝟯𝟯𝟴 𝗣𝗣𝗠 ». En 2000? Vous êtes « 𝗕𝗼𝗿𝗻 𝗶𝗻 𝟯𝟲𝟵 𝗣𝗣𝗠 ». Aujourd’hui on dépasse les 420 PPM... 𝗕𝗼𝗿𝗻 𝗶𝗻 𝗣𝗣𝗠 transforme ces chiffres en une prise de conscience visuelle et personnelle, sans moraliser. Elle pose une question directe : quel est notre rôle et notre rapport au réchauffement en cours ? 𝙋𝙤𝙪𝙧𝙦𝙪𝙤𝙞 𝙘'𝙚𝙨𝙩 𝙨𝙞 𝙥𝙚𝙧𝙘𝙪𝙩𝙖𝙣𝙩 ? 𝗨𝗻 𝗶𝗺𝗽𝗮𝗰𝘁 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹: chaque œuvre est ancrée dans une année qui résonne pour vous. C’est à la fois intime et universel. 𝗨𝗻𝗲 𝗲𝘀𝘁𝗵𝗲́𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲́𝗲: loin des rapports ou des graphiques, ces images touchent par leur humanité et leur sens. Elles suscitent l’émotion pour provoquer l’engagement. 𝗨𝗻 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗹'𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻: l’art n’est pas une fin, c’est un point de départ. Chaque PPM en dit long sur la trajectoire que nous choisissons aujourd’hui. Ce projet nous prouve que l’art a le pouvoir de rendre visible l’invisible. Là où les chiffres peinent à éveiller les consciences, une œuvre, un tableau, une émotion peuvent provoquer un déclic.  𝗣𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗲𝗻 𝘃𝗲́𝗿𝗶𝘁𝗲́ 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗲́𝗴𝗲𝗿 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗻𝗲̀𝘁𝗲 𝗶𝗹 𝗳𝗮𝘂𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗽𝗮𝗿 𝗰𝗿𝗲́𝗲𝗿 𝗼𝘂 𝗿𝗲𝗰𝗿𝗲́𝗲𝗿 𝘂𝗻 𝗹𝗶𝗲𝗻 𝗲́𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗲𝗹𝗹𝗲. Et vous c’est quoi votre PPM ? 👉 https://lnkd.in/eQUMqm8W 𝘊𝘳𝘦́𝘥𝘪𝘵 𝘱𝘩𝘰𝘵𝘰 "𝘉𝘰𝘳𝘯 𝘪𝘯 𝘗𝘗𝘔"

    • No alternative text description for this image
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    𝟱 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗲𝘀𝘀𝗲𝘀 “𝗲́𝗰𝗼𝗹𝗼” 𝗮̀ 𝘀𝘂𝗿𝗯𝗹𝗶𝗻𝗱𝗲𝗿 𝗼𝘂 𝗮̀ 𝗻𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗲́𝘃𝗶𝘁𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗴𝗿𝗲𝗲𝗻𝘄𝗮𝘀𝗵𝗶𝗻𝗴. On adore voir les entreprises s’engager pour la planète! Mais la frontière entre durabilité et greewashing est fine. Avec La Mèche nous aidons les entreprises à transformer leurs engagements durables en actions concrètes, mesurables et pérennes. Et s’il y a bien une chose que j’observe c’est que les bonnes intentions ne manquent pas… mais que les pièges du greenwashing peuvent ralentir les meilleures initiatives. Voici 5 promesses que je vous conseille de regarder de près… histoire de ne pas vendre du vert là où ça manque de fond. Pourquoi? à part l'efficacité... -Une loi anti-greenwashing finira par arriver en Suisse. -La vigilance des consommateur·rice·s est de plus en plus affûtée. "𝗙𝗮𝗯𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲́ 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗮𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗮𝘂𝘅 𝗿𝗲𝗰𝘆𝗰𝗹𝗲́𝘀" ♻️ C’est LA promesse “feel good” pour les client·e·s… sauf quand ce mot cache une proportion microscopique. Comme commander une salade et recevoir une feuille de laitue... Il faut donner des chiffres, la proportion précise de matériaux recyclés. Exactitude et transparence! "𝗘𝗺𝗯𝗮𝗹𝗹𝗮𝗴𝗲 𝗯𝗶𝗼𝗱𝗲́𝗴𝗿𝗮𝗱𝗮𝗯𝗹𝗲" 🍃 On nous fait souvent croire que “biodégradable” = “disparition miracle”. Mais sans conditions de compostage idéales le “biodégradable” finit souvent en déco de décharge pendant des décennies. Pour que la promesse tienne, précisez à vos client·e·s les bonnes conditions de décomposition. "𝗣𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗰𝗼-𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲" 🌱 Ah, l’éco-responsabilité… un beau mot fourre-tout. Énergies renouvelables, réduction de l’eau? Ou juste tri des déchets? Clarifiez ce que ça recouvre vraiment! Un bon storytelling repose sur des actions tangibles et de l’honnêteté. Des allégations claires, sans ambiguïté et compréhensibles. "𝗩𝗲𝗴𝗮𝗻 𝗲𝘁 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗰𝗿𝘂𝗮𝘂𝘁𝗲́" 🐰 Le vegan, c’est éthique… mais parfois loin d’être écologique. Le simili cuir en plastique épargne les vaches mais pollue la planète. Parfois les solutions qui tentent de résoudre un problème en génère un autre. Mieux vaut valoriser les matériaux qui allient éthique et durabilité. "𝗡𝗲𝘂𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗻 𝗰𝗮𝗿𝗯𝗼𝗻𝗲" 🌍 🚫 Là on n'y va pas. La neutralité carbone ne peut pas être envisagée à l'échelle d'une entreprise mais doit l'être au niveau global. On parlera tout au plus de contribution à la neutralité carbone (https://lnkd.in/eD4uRWwi). Souvent il s’agit avant tout de compensation avant la réduction. Un peu comme commander un café sans sucre avec son banana split et dire qu’on est au régime. Réduire avant de compenser, c’est essentiel ! 2 conseils pour conclure: -Chaque allégation doit être étayée par des preuves solides, crédibles et actualisées. -En matière de durabilité, la transparence et l’humilité sont toujours plus crédibles que l’opacité et la perfection.

    • Conseils anti-greenwashing
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    𝗧𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗹𝗮𝗻𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗴𝗮𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝗿 𝗹'𝗮𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲. En 2009 Johan Rockström mène un groupe de 28 scientifique internationaux afin d’identifier les processus qui régulent la stabilité et la résilience du système Terre. Ils proposent une mesure quantitative des frontières planétaires dans lesquelles l’humanité peut continuer à se développer et à prospérer. Et cela concerne directement notre économie. Aujourd’hui 6 de ces limites sont déjà dépassées, et une 7ème est en passe de l’être. Cela ne correspond pas à des points de bascule mais ce sont des alertes pour nous signifier qu’il est plus que temps d’agir. 𝗟𝗲𝘀 𝟵 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗹𝗮𝗻𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀, 𝘂𝗻𝗲 𝘀𝗼𝗿𝘁𝗲 𝗱𝗲 "𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲𝗮𝘂 𝗱𝗲 𝗯𝗼𝗿𝗱" 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗧𝗲𝗿𝗿𝗲 🌍 En termes simples : 1. Climat : stabiliser les gaz à effet de serre pour éviter des dérèglements climatiques majeurs. 2. Biodiversité : protéger la diversité des espèces qui soutient tous nos écosystèmes. 3. Cycle de l’azote et du phosphore : empêcher la surutilisation de ces nutriments qui perturbent les sols et les eaux. 4. Utilisation des sols : limiter la déforestation et préserver les terres agricoles. 5. Cycle de l’eau douce : assurer un usage durable de l’eau pour éviter pénuries et pollutions. 6. Pollution chimique et plastique : réduire l'introduction de substances toxiques dans l’environnement. 7. Aérosols dans l’atmosphère : limiter les particules fines qui affectent la qualité de l’air et le climat. 8. Intégrité de la biosphère : préserver les écosystèmes, notamment les forêts, qui sont essentiels pour la vie. 9. Acidification des océans : réduire l'absorption de CO2 par les océans pour protéger la vie marine. 𝗟𝗼𝗿𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗹𝗮𝗻𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗳𝗿𝗮𝗻𝗰𝗵𝗶𝗲𝘀, 𝗰𝗲𝗹𝗮 𝗲𝗻𝗴𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀: - Prix des matières premières : la raréfaction des ressources augmente les coûts. - Risque climatique pour les infrastructures : une météo extrême perturbe la production et renchérit les assurances. - Réglementations renforcées : des règles environnementales plus strictes qui augmentent les coûts de conformité. - Pression des consommateur·rice·s et investisseur·euse·s : demande accrue pour des pratiques durables. - Réputation : ignorer l’impact environnemental nuit à la marque. - Conflit pour l'eau : les pénuries d’eau perturbent les industries dépendantes. ... La théorie des limites planétaires nous encourage à repenser nos modèles vers une économie régénérative qui préserve et restaure ces ressources essentielles. 𝗣𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲𝘀, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗴𝗮𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝗿 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗰𝗮𝗽𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝗮̀ 𝗽𝗿𝗼𝘀𝗽𝗲́𝗿𝗲𝗿 𝗮̀ 𝗹𝗼𝗻𝗴 𝘁𝗲𝗿𝗺𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗿𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲𝘀 𝗹𝗶𝗺𝗶𝘁𝗲́𝗲𝘀.

    • No alternative text description for this image
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    𝗟𝗮 𝗯𝗶𝗼𝗱𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́, 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲𝘀𝘀𝗼𝘂𝗿𝗰𝗲 𝗶𝗻𝗲́𝗽𝘂𝗶𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀... L’air, l’eau, les sols… tout semble gratuit et inépuisable, mais c’est loin d’être la réalité. Alors que la COP16 Biodiversité se tient en ce moment en Colombie, il y a un message que doivent comprendre les entreprises: la préservation des écosystèmes ne concerne pas seulement les écologistes ou les ONG. La biodiversité est le système de support vital de toute entreprise. Chaque secteur, qu’il soit agricole, manufacturier ou même technologique, est directement lié à la santé de nos écosystèmes. Le lien? 🪸 40 % de l’économie mondiale repose directement sur des services fournis par la nature : pollinisation, filtration de l’eau, régulation du climat, fertilité des sols, etc. Sans eux, pas d’approvisionnement, pas de production, pas d’entreprise. 💸 44’000 milliards de dollars, soit plus de la moitié du PIB mondial, sont directement ou indirectement liés à la nature. Crises économiques en vue. 🐝 75 % des cultures agricoles dépendent de la pollinisation. Si ces écosystèmes s’effondrent, ce n’est pas seulement la sécurité alimentaire qui est menacée, mais d’autres secteurs entiers (pharmacie, cosmétique, textile…). 📡 Même les industries de la tech ou de la finance en dépendent pour fournir les ressources brutes, garantir l’accès à l’eau, et même prévenir des catastrophes climatiques qui coûtent des milliards. Toujours pas concerné·e·s? En réalité, ignorer la biodiversité coûte cher. Non seulement en ressources futures, mais en opportunités manquées de s’adapter, d’innover et d’assurer la résilience de votre entreprise face aux crises écologiques. Reconnectez-vous au vivant! Nous avons perdu le lien avec ce qui fait fonctionner nos sociétés. Il est urgent de comprendre que la santé des écosystèmes est indissociable de celle des entreprises. L’intérêt? 💧 Protéger et régénérer les ressources naturelles, c’est investir dans la résilience de votre chaîne d’approvisionnement. Sans écosystèmes en bonne santé vos coûts grimpent, et vos options se réduisent. 💡 S’inspirer de la nature pour mieux la protéger: la nature n’est pas une ressource à exploiter mais une source d’innovation et de solutions. Biomimétisme, économie circulaire, agriculture régénérative… la régénération des écosystèmes ouvre des voies nouvelles pour trouver des moyens de prospérer en harmonie avec elle. 🏛️ Répondre à la réglementation et aux pressions sociales: consommateur·rice·s, investisseur·euse·s, législateur…. exigent que les entreprises prennent des mesures concrètes pour protéger les écosystèmes. C’est aussi un moyen d’éviter des sanctions coûteuses. Et parce que la perte de biodiversité atteint un point de non-retour, il ne faut pas juste ralentir la destruction, il faut réparer, restaurer, et régénérer. La biodiversité est notre meilleur partenaire pour assurer un avenir prospère et sain. Agir aujourd'hui c’est investir dans votre propre futur.

    • No alternative text description for this image
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐜𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐢 𝐜𝐫𝐨𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒐𝒖𝒔 𝒒𝒖𝒊𝒕𝒕𝒊𝒏𝒈 𝐞𝐬𝐭 𝐦𝐚𝐫𝐠𝐢𝐧𝐚𝐥 : 𝟒 𝐜𝐡𝐢𝐟𝐟𝐫𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝟑 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐞𝐢𝐥𝐬 𝐚̀ 𝐬𝐮𝐢𝐯𝐫𝐞. Le 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒄𝒊𝒐𝒖𝒔 𝒒𝒖𝒊𝒕𝒕𝒊𝒏𝒈, ou démission consciente, ce sont des démissions de collaborateur·rice·s en raison d’un “désalignement” avec les valeurs de l'entreprise et/ou son engagement insuffisant pour le bien-être de l’environnement et de la société. D’après des études récentes menées en Suisse: 🙉 𝟏𝟓% des salarié·e·s envisagent de quitter leur emploi, principalement en raison de stress et d’épuisement professionnel. 🙈 𝟒𝟓% des salarié·e·s chez les milléniaux et genZ pourraient envisager de démissionner si les valeurs de leur entreprise ne sont pas alignées avec leurs attentes en matière de durabilité et de responsabilité sociale. 🐵 𝟖𝟎% des candidat·e·s préfèrent travailler pour une entreprise ayant une politique ESG bien définie.  🐵 𝟔𝟖 % des salarié·e·s souhaitent être formés aux enjeux de la transition écologique sur leur lieu de travail. Le risque pour les entreprises qui ne tiennent pas compte de cette évolution? Elles sont moins attrayantes et en finalité seront moins prospères, avec des employé·e·s moins engagé·e·s et donc moins productif·ve·s. A contrario, vous engager dans la voie de la responsabilité c’est: 💥 𝑆𝑎𝑡𝑖𝑠𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑣𝑜𝑠 𝑒𝑚𝑝𝑙𝑜𝑦𝑒́·𝑒·𝑠.  💥 𝑆’𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑚𝑜𝑡𝑖𝑣𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑜𝑦𝑎𝑢𝑡𝑒́. 💥 𝑃𝑜𝑢𝑟 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒, 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑒𝑠𝑝𝑜𝑛𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑟𝑜𝑏𝑢𝑠𝑡𝑒.  💥 𝑄𝑢𝑖 𝑝𝑟𝑜𝑠𝑝𝑒̀𝑟𝑒 𝑒𝑡 𝑐𝑟𝑒́𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑎̀ 𝑙𝑜𝑛𝑔 𝑡𝑒𝑟𝑚𝑒 𝑒𝑛 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑎𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑞𝑢’𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑟𝑒𝑛𝑑. Pour attirer et fidéliser les talents il faut: 𝟏. 𝐔𝐧𝐞 𝐟𝐞𝐮𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐫𝐨𝐮𝐭𝐞 𝐚𝐦𝐛𝐢𝐭𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞 : qui définit des valeurs et des objectifs dont le monde a vraiment besoin au niveau environnemental et social. 𝟐. 𝐄́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞𝐫 : les salarié·e·s veulent jouer un rôle actif dans le changement, donnez-leur la possibilité d’y contribuer. 𝟑. 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞𝐫 𝐞𝐟𝐟𝐢𝐜𝐚𝐜𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 : les équipes ont besoin de comprendre comment leurs actions s’intègrent dans une vision plus large de durabilité. Pour approfondir le sujet 👇 https://lnkd.in/e76DDwai

    • No alternative text description for this image
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    𝐋𝐞 𝐥𝐮𝐱𝐞, 𝐮𝐧 𝐬𝐞𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐚̀ 𝐥’𝐚𝐯𝐚𝐧𝐭-𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ Ca ne serait pas si surprenant de lire ça dans les médias… après tout, c’est exactement ce que les marques veulent nous faire croire même si c’est loin d’être le cas. 𝐀𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐝𝐞𝐯𝐫𝐚𝐢𝐭-𝐢𝐥 𝐥’𝐞̂𝐭𝐫𝐞? 💪 𝐺𝑟𝑎̂𝑐𝑒 𝑎̀ 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑟𝑔𝑒𝑠 𝑓𝑖𝑛𝑎𝑛𝑐𝑖𝑒̀𝑟𝑒𝑠 𝑒́𝑙𝑒𝑣𝑒́𝑒𝑠.  💪 𝐴 𝑠𝑜𝑛 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑’𝑖𝑛𝑓𝑙𝑢𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑖𝑎𝑙. 💪 𝐸𝑡 𝑎̀ 𝑠𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡𝑒́ 𝑎̀ 𝑖𝑛𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑛𝑜𝑣𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑡𝑒𝑐ℎ𝑛𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑎𝑢𝑥 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠. Pourtant les initiatives restent souvent limitées à quelques pionniers ou à des actions ponctuelles de marques qui explorent les modèles d’affaires fondés sur la réparation et le recyclage. Et ces transformations sont freinées par la frilosité des marques à 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒂𝒓𝒊𝒆𝒓 𝒅𝒆𝒔 𝒄𝒍𝒊𝒆𝒏𝒕·𝒆·𝒔 𝒒𝒖𝒊 𝒓𝒆𝒔𝒕𝒆𝒓𝒂𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒂𝒕𝒕𝒂𝒄𝒉𝒆́·𝒆·𝒔 𝒂̀ 𝒅𝒆𝒔 𝒔𝒚𝒎𝒃𝒐𝒍𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒔𝒕𝒊𝒈𝒆. Souvenons-nous d’un temps où les marques de luxe ne se préoccupaient pas vraiment des attentes de leurs client·e·s. Ayons le courage de devancer et même de créer ces attentes, à l’image d’une marque come Stella McCartney qui milite contre l’usage des peaux de crocodile! 𝐔𝐧 𝐥𝐮𝐱𝐞 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐨𝐬𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐢𝐥 𝐝𝐨𝐢𝐭 𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐞𝐫 𝐮𝐧 𝐯𝐢𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐫𝐚𝐝𝐢𝐜𝐚𝐥. 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭? 💡 𝑅𝑒́𝑖𝑛𝑣𝑒𝑛𝑡𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 "𝑙𝑢𝑥𝑒". 💡 𝐹𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑢𝑛 𝑛𝑜𝑢𝑣𝑒𝑎𝑢 𝑝𝑖𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑑𝑒́𝑠𝑖𝑟𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́. 💡 𝐷𝑒́𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑚𝑝𝑙𝑒 𝑔𝑟𝑒𝑒𝑛𝑤𝑎𝑠ℎ𝑖𝑛𝑔. 💡 𝐼𝑛𝑡𝑒́𝑔𝑟𝑒𝑟 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑟𝑐𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠. 💡 𝐼𝑛𝑣𝑒𝑠𝑡𝑖𝑟 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙𝑒 𝑑𝑒́𝑣𝑒𝑙𝑜𝑝𝑝𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑎𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑎𝑢𝑥 𝑖𝑛𝑛𝑜𝑣𝑎𝑛𝑡𝑠. 💡 𝑉𝑎𝑙𝑜𝑟𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟-𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑎𝑟𝑡𝑖𝑠𝑎𝑛𝑎𝑢𝑥. 💡 𝐴𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑜ℎ𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑐𝑒. 💡 𝑃𝑟𝑖𝑜𝑟𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑙’𝑒́𝑡ℎ𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑝𝑟𝑜𝑓𝑖𝑡. 🔥 Et surtout 𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐠𝐫𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐚̀ 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐧𝐢𝐯𝐞𝐚𝐮𝐱, de la chaîne d’approvisionnement à la gouvernance. 𝐋𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭·𝐞·𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐠𝐮𝐥𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐨𝐧𝐭 𝐞𝐮𝐱 𝐚𝐮𝐬𝐬𝐢 𝐮𝐧 𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐜𝐥𝐞́ 𝐚̀ 𝐣𝐨𝐮𝐞𝐫: 📢 𝐸𝑛 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑠𝑎𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑡𝑟𝑎𝑡𝑒́𝑔𝑖𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑔𝑟𝑒𝑒𝑛𝑤𝑎𝑠ℎ𝑖𝑛𝑔. 📢 𝐸𝑛 𝑒𝑥𝑖𝑔𝑒𝑎𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑐𝑜𝑛𝑐𝑟𝑒̀𝑡𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑒𝑓𝑓𝑖𝑐𝑎𝑐𝑒𝑠. Car la vraie valeur du luxe de demain ne sera pas définie par la rareté matérielle, mais par son impact positif sur l’environnement et les sociétés. 𝐋𝐞 𝐥𝐮𝐱𝐞 𝐚 𝐮𝐧 𝐩𝐨𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥 𝐞́𝐧𝐨𝐫𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐭𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭… 𝐬’𝐢𝐥 𝐚𝐜𝐜𝐞𝐩𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐝𝐞́𝐟𝐢𝐧𝐢𝐫 𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐫𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐝𝐞𝐬. It's about F* Time...

    • No alternative text description for this image
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    L'exploitation minière des fonds marins, la solution miracle pour les énergies renouvelables. "Nous devons exploiter les minéraux critiques des fonds marins pour soutenir la transition énergétique mondiale". Phrase tirée des communications des entreprises minières sur les bienfaits de l'exploitation en haute mer. Alors, c’est quoi cette brillante idée ? 🌊 Extraction de minéraux critiques comme le nickel, le cobalt, le lithium. 🌊 Promesses de soutenir les technologies propres et renouvelables. 🌊 Argument d'abondance de ressources pour une nouvelle ère d'énergie verte. Oui sauf que le tableau est très loin d’être aussi idyllique! L’exploitation minière des grands fonds menace de détruire des écosystèmes marins encore largement inexplorés, comme nous l’apprend un rapport récent de US PIRG (Environment America Policy Center et Frontier Group): 🙈 Une catastrophe écologique imminente menaçant des milliers d'espèces marines. 🙈 Une extraction minière qui pourrait anéantir des écosystèmes uniques et non récupérables. 🙈 Des impacts irréversibles sur des zones marines comme la Clarion-Clipperton Zone (riche en nodules de manganèse) où 5000 nouvelles espèces ont été découvertes en 2023. 🙈 Et en face des entreprises comme Tesla qui refusent de soutenir un moratoire sur l'utilisation de ces minéraux. Les deux camps s’opposent, est-ce que c’est mieux de détruire les forêts que les fonds marins, on en est là… Nous reproduisons le même schéma en épuisant les minéraux nécessaires aux technologies renouvelables de la même manière que vous avons épuisé les combustibles fossiles. Ce sont des ressources qui paraissent abondantes à un temps donné mais qui sont en réalité limitées. Au lieu de tergiverser pour savoir si c’est mieux d’extraire dans la forêt amazonienne ou dans les abysses on devrait plutôt réfléchir à une économie circulaire et plus sobre. La véritable solution : ♻️ Prioriser le recyclage et la réparation des appareils électroniques pour récupérer les minéraux critiques. ♻️ Établir des lois sur le droit à la réparation et améliorer les capacités de recyclage. ♻️ Réduire, réutiliser, recycler, réparer et réimaginer nos produits technologiques pour créer une économie circulaire. Les auteurs du rapport insistent sur le fait que nous n'avons pas besoin de miner les profondeurs océaniques pour répondre à nos besoins en minéraux critiques. Nous devons nous concentrer sur les ressources que nous avons déjà et investir dans des infrastructures de recyclage robustes. Il est temps d'arrêter de creuser toujours plus profondément et de commencer à penser plus intelligemment. Photo: Greenpeace

    • No alternative text description for this image
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    Si les SUV formaient un pays il serait placé au 5ème rang des plus gros émetteurs de CO2 du monde, devant le Japon et l’Allemagne (selon l’estimation de l’AIE, l’Agence internationale de l’énergie). Il faut dire que les chiffres sont vertigineux. En 2023, 50% des ventes de nouvelles voitures étaient des SUV ce qui participe activement à la hausse mondiale d’émissions de CO2. On peut se demander pourquoi les constructeurs préfèrent produire des SUV toujours plus grands et plus lourds ? 🤑 Parce que les marges bénéficiaires sont plus élevées. Mais le résultat c’est que la taille moyenne des nouvelles voitures augmente chaque année. Et qu’elles annulent les améliorations énergétiques accomplies ces dernières décennies parce qu’elles sont moins efficaces. Alors on fait quoi ? 1. On arrête de construire des véhicules toujours plus lourds en légiférant 2. Et on passe aux véhicules électriques MAIS ⛔️ pas des SUV ⛔️ pas en espérant substituer le parc de véhicules thermiques par des véhicules électriques Parce que ça mettrait beaucoup trop de pression sur l'approvisionnement en minéraux critiques pour la fabrication des batteries. Et en attendant de nouvelles règles, note à nous-mêmes: A-t-on vraiment besoin d'un SUV pour arpenter les villes, les autoroutes et les stations de vacances?

    • No alternative text description for this image
  • La Mèche reposted this

    View profile for Marie Chassot, graphic

    Transformer les organisations avec des modèles d’affaires responsables et durables - Créer des marques engageantes et engagées - Stratégie de marque & Développement durable

    “ La durabilité c’est bien mais franchement c’est complexe à mettre en place” 90 % des dirigeant·e·s qui me contactent ont cette pensée. Franchement je les comprends. Parce que c’est vrai que s’attaquer à la durabilité c’est se confronter à des problématiques profondes voire tentaculaires. Surtout avec des normes et des directives en constante évolution sur tous les sujets. Alors quand on veut passer à des pratiques plus durables pour son entreprise on se pose 1000 questions 🤯 Et il n’y a pas UNE méthode unique pour passer à l’action. Ce qu’il faut surtout c’est démarrer et entreprendre une démarche structurée et progressive.  -Analyser les enjeux et définir les priorités essentielles. -Identifier les tendances et problématiques émergentes pour comprendre les enjeux stratégiques et matériels de demain. -Co-construire une feuille de route avec les équipes et développer un système d'indicateurs de performance. -Former les équipes pour une meilleure intégration des pratiques de durabilité. -Dialoguer avec les parties prenantes. -Suivre le déploiement de la feuille de route et mesurer. En adoptant une démarche structurée, pas à pas, au rythme de l’entreprise, les leviers d’actions sont rapidement compris et maîtrisés. Il faut bien sûr que le plan d’action soit adapté à la structure, sa réalité, ses problématiques et ses enjeux. C’est ma mission quotidienne pour accompagner les dirigeant·e·s qui veulent agir. Et parce que je sais à quel point passer à l’action est un challenge je vous propose un rendez-vous diagnostic pour faire le point sur vos besoins et vos enjeux : https://lnkd.in/eZj_KRTt

    • No alternative text description for this image

Similar pages

Browse jobs