La prise de conscience écologique gagne du terrain et s'invite comme paramètre non négociable dans les nouvelles constructions.
En témoigne ces extraits d'un article du magazine municipal de Pessac de Novembre 2022 concernant la nouvelle piscine. J'ai sélectionné ci-après les passages mettant en avant la démarche écologique de la Ville.
« La nouvelle piscine Cazalet, moderne et écologique :
Destinée à remplacer la piscine Caneton vieillissante, la future piscine Cazalet sera une piscine du 21ème siècle, moderne, écologique et accessible à tous les publics.
La piscine Caneton, qui a favorisé pendant plus de 40 ans l’apprentissage de la natation, ne répond plus aux attentes sportives, fonctionnelles et énergétiques actuelles. En 2019, la Ville a donc acté son remplacement par la construction d’un nouvel équipement. Afin d’assurer la continuité de l’offre de service public, la Ville a choisi d’implanter ce dernier au sein du parc Cazalet, sur l’espace actuellement occupé par les anciens bâtiments
du service des sports de la Ville. Situé en extra-rocade, ce nouvel équipement sera facilement accessible en transports en commun ».
Dès le premier paragraphe, les préoccupations environnementales sont présentes, d'une part par les attentes énergétiques, d'autre part par la prise en compte des déplacements des utilisateurs.
L'article aborde ensuite l'aspect concret de la réalisation du point de vue énergétique et laa prise en compte de la loi ZAN.
« Un cahier des charges exigeant :
La construction de la future piscine Cazalet s’inscrira dans une démarche de très haute qualité environnementale, garantie par un marché public global de performance. Le groupement GTM Bâtiment Aquitaine, qui a été choisi par la commission d’appel d’offres, s’est en effet engagé à fournir et à tenir les performances annoncées. L’implantation de la piscine Cazalet sur des sols déjà construits n’engendrera pas d’artificialisation de sols supplémentaires. (…) Le recours à la géothermie et au photovoltaïque permettra de couvrir 97 % des besoins en chauffage. 65 % des besoins globaux seront couverts par des énergies renouvelables. »