📢 𝗟𝗲𝘀 𝘃𝗼𝗶𝘅 𝗼𝗳𝗳 𝗱’𝗔𝗺é𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮𝘁𝗶𝗻𝗲 𝗲𝗻 𝗰𝗿𝗼𝗶𝘀𝗮𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗹’𝗜𝗔 ! 🧠 L’#intelligenceartificielle (IA) a suscité de nombreux débats ces derniers mois sur le risque qu'elle représente pour certains métiers, notamment pour celui des #voixoff. 🎞 Dans une vidéo postée sur Youtube, l’@OVU – La Organización de Voces Unidas (Organisation des voix unies), un groupe de #comédiens d’amérique latine qui prêtent leur #voix pour des marques, des publicités, des doublages, des jeux vidéo, des radios, des médias sociaux, des films, des applications… met en garde sur les voix produites par l’#ia, qui pourraient devenir des substituts aux voix humaines dans le domaine du divertissement. 👉 https://lnkd.in/exj4mp-J Daniel Söler de la Prada, Rona Fletcher Locutora en Ingles-Voice Over in Spanish-, Daniela Sierra Voice Artist Studio, Memo Sauceda (AKA Guillermo Sauceda)), Dessiree Hernández, Ruben Raffo® Corrales, JAIME ROCA, Marly Figueroa, Facundo Reyes, Amy Selma I Latina Voice Actor, Marcelo Liapiz, Roxana Belda, ... #artist
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Jul, Aya Nakamura, Slimane…de quoi sont-ils le nom ? Une flamme allumée par Jul, Piaf revisitée par Aya Nakamura, Slimane sur la scène d'un Eurovision grotesque... Chacun de ces événements suscite son lot de polémiques, divisant les "conservateurs" attachés à une Culture plus classique et les "progressistes" acclamant ces choix audacieux. Mais derrière ces débats, un facteur crucial demeure dans l'ombre : le succès commercial. Ces trois artistes ne sont pas simplement des figures de la musique contemporaine, ce sont les poids lourds de l'industrie musicale en France. Et c'est là que le bât blesse : -La focalisation sur le profit et la facilité occulte la profondeur artistique véritable que chacun est en droit d'exiger sur de tels évènements à portée mondiale. Un autre aspect à considérer est leur origine sociologique, enracinée dans les quartiers populaires et la mal nommée « diversité française ». Ils incarnent une certaine réalité de la jeunesse , avec ses codes vestimentaires, son langage, ses attitudes. Mais : -Cette représentation se limite à elle-même, ne permettant pas une identification plus large au champ citoyen ou une aspiration à une ascension sociale de la part des autres jeunes (l'effet miroir des "Yéyés"). Enfin, il y a la question de la modernité. Être moderne, c'est être jeune, être dans l'air du temps. Et ce choix, qu'on le veuille ou non, reflète aussi la vision des décideurs, jusqu'à l'exécutif lui-même, qui se veut en phase avec les tendances du moment. Mais : -Cette quête de modernité se révèle démagogique, laissant planer des doutes quant à ses véritables motivations. En tant qu’ancien responsable des divertissements et de la musique à France Ô, j'ai longtemps œuvré pour mettre en avant la création artistique des quartiers, de cette diversité dont je suis moi-même issu. J'ai promu des artistes talentueux, méconnus du grand public mais qui méritaient toute leur place sous les projecteurs ou simplement relayé le succès d’artistes qui remplissaient des Zéniths sans un seul mot des médias mainstream. C’était il y a dix ans. Alors oui, je me réjouis désormais de voir des artistes issus de ces milieux en haut de l'affiche, prenant enfin part à la liesse nationale. Mais je ne peux m'empêcher de déplorer que le choix se porte en l'espèce sur la médiocrité, laissant dans l'ombre tant d'autres talents, bien plus dignes de reconnaissance. Je trouve l'effet pervers. Alors, oui, je le confesse, entre « conservatisme » et « progressisme », mon cœur balance. Selon moi, la Culture se doit d’être exigeante et la création artistique accessible au plus grand nombre; là réside le véritable but de sa fonction universelle : -Elever l'individu et faire du bien à la tête comme au corps. #Paris2024 #Jul #AyaNakamura #Slimane #Eurovision
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Lundi 13 mai, deux jours après la finale de l’Eurovision, «Reporterter» (diffusé dans le magazine d'info de la rédaction de Mouv') proposait un épisode titré: «Eurovision: après la victoire de Nemo, les espoirs de la communauté non-binaire». Alors que l’artiste originaire de Bienne a permis de donner une visibilité accrue à toutes les personnes qui ne s’identifient ni comme homme ni comme femme, force est de constater qu’une majorité de médias francophones semble éprouver des difficultés à ne pas genrer l’interprète de «The Code» au masculin. À peine le succès de Nemo était-il connu que les sites de news, reprenant généralement des dépêches d’agences, publiaient des articles évoquant «l’artiste biennois», «le postulant suisse», «le jeune chanteur» ou encore «le rappeur suisse». Ces mêmes sites précisant dès le premier paragraphe que Nemo revendique sa non-binarité et que sa chanson a pour thème la découverte de son identité. Certes, le français - contrairement à l’anglais - reste une langue très genrée, comme l’a précisé la sociolinguiste Maria Candea à «Reporterter»: «Le pronom «iel», qui est nouveau, combine le masculin et le féminin, mais ne règle pas en français le problème des accords. On n'a pas de forme qui soit neutre ou médiane pour les adjectifs.» Cela ne doit néanmoins pas empêcher tout un chacun de trouver une manière de parler de la communauté non-binaire sans genrer ses membres, comme l’a fait Le Parisien dans un article mis en ligne le 12 mai sans que cela ne complique la lecture. Plus qu’une question de style, il s’agit d’une question de respect de la personne. Il est temps de casser les codes, comme l'a chanté Nemo à Malmö. Il est temps de faire évoluer la langue afin qu'elle représente l'entier de la société.
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#société #média #techweb #réseauxsociaux #perception #ia #art Un refus délibéré ou non conscient de l'#expérience #perceptive ? Un article qui pose clairement le problème de l'utilisation du #téléphoneportable en permanence et partout pour garder la trace d'un lieu, d'un fait, d'une expérience, ... Ce que les utilisateurs ne voient pas/plus c'est que leur portable ne peur permet plus de percevoir, de vivre un expérience ici musicale ou face aux oeuvres d'art ou face à un paysage une expérience esthétique, bref plus aucune #expérience possible, un report de celle-ci mais le report est impossible, ce qui n'a pas été vécu ne le sera pas, moins de vie donc. ".../...Le spectateur a probablement la sensation d'être doublement là, à la fois pendant le spectacle et chaque fois qu'il pourra revisionner ou attester de sa présence au concert", pointe Vincent Timsit. À l'inverse, l'artiste peut avoir la sensation que le public est "doublement absent". Là où le public cherche à montrer une proximité avec un artiste en partageant des vidéos sur ses réseaux sociaux, il engendre donc en réalité un éloignement..../..." https://lnkd.in/emHYAf9t
Les téléphones en concert, un malaise toujours plus grand
radiofrance.fr
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« Dis-moi ce que tu regardes, je te dirai qui te vas devenir ! « Ce que nous vivons est régi par des images. Elles s’incorporent à nous comme une sorte de bien-fonds. Selon les images qui vous composent, votre existence prendra un tour tout différent », écrivait l’un des plus grands penseurs européens du XXe siècle, Elias Canetti. Cette idée est vertigineuse et elle devrait nous interpeller, chacun d’entre nous, individuellement, dans le choix des images que nous regardons ou non sur nos écrans. Aucune image n’est anodine ; toutes peuvent orienter nos destins. En choisissant ce que nous regardons, nous redevenons maître de ce que nous pouvons devenir. Cette idée a également des implications immenses pour le rôle de ceux qui produisent, financent, conçoivent, créent, donnent à voir des images, c’est-à-dire tous les professionnels de l’audiovisuel. Aucune image n’est anodine et cela est aussi vrai à l’échelle d’un pays. Selon les images qui composent une société, selon les images qui composent un pays, son existence prendra un tour tout différent. L’audiovisuel joue donc un rôle civique dans la manière dont la France existera demain… » Retrouvez le discours de la philosophe Gabrielle Halpern à l’occasion de la Cérémonie des Lauriers de l’audiovisuel #Audiovisuel #Philosophie #Civisme #LauriersAudiovisuel
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« Dis-moi ce que tu regardes, je te dirai qui te vas devenir ! « Ce que nous vivons est régi par des images. Elles s’incorporent à nous comme une sorte de bien-fonds. Selon les images qui vous composent, votre existence prendra un tour tout différent », écrivait l’un des plus grands penseurs européens du XXe siècle, Elias Canetti. Cette idée est vertigineuse et elle devrait nous interpeller, chacun d’entre nous, individuellement, dans le choix des images que nous regardons ou non sur nos écrans. Aucune image n’est anodine ; toutes peuvent orienter nos destins. En choisissant ce que nous regardons, nous redevenons maître de ce que nous pouvons devenir. Cette idée a également des implications immenses pour le rôle de ceux qui produisent, financent, conçoivent, créent, donnent à voir des images, c’est-à-dire tous les professionnels de l’audiovisuel. Aucune image n’est anodine et cela est aussi vrai à l’échelle d’un pays. Selon les images qui composent une société, selon les images qui composent un pays, son existence prendra un tour tout différent. L’audiovisuel joue donc un rôle civique dans la manière dont la France existera demain… » Retrouvez mon discours à l’occasion de la Cérémonie des Lauriers de l’audiovisuel #Audiovisuel #Philosophie #Civisme #LauriersAudiovisuel
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Comme tous ceux qui ont une vie artistique, je me sens concerné. Le débat doit effectivement être engagé, mais pourquoi attendre le problème pour le faire ? Pourquoi ne faire, sans cesse, que du palliatif ? Le problème artistique existe dès aujourd’hui, et à court terme, il existera pour tous les métiers : l’architecture d’intérieur, l’ingénierie... Comment pouvons-nous, dès à présent, travailler sur le partage des données avec l’IA ? Ne nous mentons pas, la guerre est probablement perdue d’avance. Organisons notre défaite plutôt que de la subir : nos métiers doivent évoluer ! Décidons de l’évolution qu’on veut leur donner.
Les artistes se mobilisent contre l'utilisation de leurs œuvres pour l'entraînement de modèles d'IA
usine-digitale.fr
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𝐋𝐞𝐬 𝐑𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐒𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱 : 𝐔𝐧𝐞 𝐀𝐫𝐦𝐞 𝐚̀ 𝐝𝐨𝐮𝐛𝐥𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐜𝐡𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 🌐 Les réseaux sociaux ont révolutionné la façon dont les artistes, en particulier dans le rap français, interagissent avec leur public. Mais cette médaille numérique a son revers. 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐥𝐢𝐛𝐫𝐞𝐧𝐭-𝐢𝐥𝐬 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́𝐞 𝐚𝐜𝐜𝐫𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐢𝐦𝐚𝐠𝐞 ? 🤳💡 Dans l'univers du rap, où l'authenticité et la proximité avec le public sont des piliers, les plateformes comme Instagram, TikTok, et Twitter sont devenues 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐮𝐭𝐢𝐥𝐬 𝐢𝐧𝐝𝐢𝐬𝐩𝐞𝐧𝐬𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬. Elles permettent non seulement de partager sa musique mais aussi de construire 𝐮𝐧𝐞 "𝐢𝐦𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞" puissante. Cependant, cette visibilité peut aussi se transformer en épée de Damoclès. La gestion de l'image, la pression des attentes et le risque de dérapages sont des défis constants. 𝐏𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐜𝐥𝐞́𝐬 : - 𝐋'𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐜𝐫𝐮𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐬𝐭𝐨𝐫𝐲𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢𝐧𝐠 📚✨: Les rappeurs français utilisent le storytelling pour enrichir leur art, allant au-delà de la simple diffusion de musique. En tissant des récits autour de leur personnalité et de leur parcours, ils invitent les auditeurs dans un univers qui dépasse la musique, créant une expérience immersive et émotionnellement riche. Cette démarche rend leur présence sur les réseaux sociaux non seulement plus authentique mais aussi plus captivante, renforçant le lien avec leur audience. - 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐞𝐱𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐦𝐞́𝐝𝐢𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 🛡️🕒: Les artistes doivent trouver le juste milieu entre la qualité et la régularité de leurs publications, cibler les plateformes préférées par leur public, et maintenir une interaction sincère. - 𝐂𝐨𝐡𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱 🌐🎵: Sur les réseaux sociaux, l'alignement entre l'image et la musique est crucial pour les artistes de rap français, créant une identité unique et engageante. La cohérence visuelle et sonore, essentielle pour se démarquer, doit être maintenue à travers toutes les plateformes pour renforcer la confiance et l'engagement des fans. L'apport d'un directeur artistique peut être la clé pour harmoniser l'expression artistique avec les stratégies numériques ! 𝐀𝐥𝐨𝐫𝐬, 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐧𝐭-𝐢𝐥𝐬 𝐮𝐧 𝐜𝐚𝐭𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐬𝐮𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐨𝐮 𝐮𝐧 𝐩𝐢𝐞̀𝐠𝐞 𝐚̀ 𝐠𝐞́𝐫𝐞𝐫 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐚𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 ? 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐮𝐯𝐞𝐧𝐭-𝐢𝐥𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐢𝐭𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐦𝐚𝐱𝐢𝐦𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐜𝐜𝐫𝐮𝐞 𝐨𝐟𝐟𝐞𝐫𝐭𝐞 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐞𝐧 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐫𝐯𝐚𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐚𝐮𝐭𝐡𝐞𝐧𝐭𝐢𝐜𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐝'𝐢𝐦𝐚𝐠𝐞 ? #RéseauxSociaux #RapFrançais #InteractionFan #AvenirNumérique
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Voir aussi les explications de Thomas Joly. Principe de base de la communication : lorsque je ne comprends pas, je demande au lieu de supposer. Recul et esprit critique.
la Musique en partage C’est génial, me suis-je dit quand la garde républicaine est allée à la rencontre d’Aya Nakamura. Voilà comment faire fi de la polémique de la plus belle façon. Et le ton était donné : la cérémonie allait mêler les genres, les styles, les musiques pour une France unie de toutes les couleurs. « Faire taire les mauvaises langues et démontrer que l’on peut tous se retrouver sur l’essentiel, autour d’un art, la Musique. » Capitaine Frédéric Foulquier Chef de la Musique de la Garde républicaine ——— Cliquez sur « Suivre » sur mon profil pour rester informé·e Et cliquez sur la 🔔 sur mon profil pour être prévenu·e de mon prochain post ! Suivez aussi le hashtag #PostsDeFrancoisMeyer Je publie à titre personnel, mes posts n’engagent aucun organisme ni entreprise.
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Comédienne et voix off
1yQuel travail incroyable! Ce clip est formidable!👏👏👏