Mouvement des Entreprises de France Bourgogne Franche-Comté - MEDEF BFC reposted this
𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! Les entreprises de France ont – à raison – la désagréable impression en suivant les débats budgétaires en cours, d’être dans une fable de La Fontaine : la poule aux œufs d’or. Elles qui se mobilisent pour l’emploi, qui créent de la richesse, la partagent, l’investissent, se retrouvent ciblées par près de 20 milliards d’impôts et de charges supplémentaires ! Or, tuer la poule aux œufs d’or n’a jamais rien rapporté, si ce n’est se priver de sa plus grande richesse. C’est exactement ce qui risque de se produire si ce budget était voté dans les termes actuels : 8 milliards d’euros d’impôts sur les sociétés, 5 milliards d’euros de réduction des allègements de charges, 2,3 milliards transférés de l’Assurance Maladie aux complémentaires santé, 1,2 milliard d’économies sur les aides à l’apprentissage et 800 millions de versement mobilité qui viennent alourdir d’autant le coût du travail. Derrière ces ordres de grandeur qui donnent le tournis, ce ne sont pas moins de 400.000 emplois qui de ce fait ne pourraient être créés. Avant même que le couperet ne tombe, nous connaissons déjà l’issue funeste qu’aurait une telle peine : les entreprises arrêteraient de recruter, ne pourraient plus répondre aux attentes légitimes de leurs salariés en matière d’augmentation, se tourneraient vers l’étranger et feraient bénéficier de leur contribution à l’intérêt général à d’autres pays, bien plus dynamiques, attractifs, ayant compris que leur intérêt et celui des entreprises ne faisait qu’un. Face à ce scénario catastrophe que nous devons collectivement éviter le Mouvement des Entreprises de France, avec la responsabilité et la légitimité que lui confère son statut de première organisation patronale, lance une mobilisation d’ampleur : 𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! C’est pourquoi j’appelle solennellement nos 119 MEDEF territoriaux et régionaux, partout dans l’hexagone et les Outre-mer, à se mobiliser et faire entendre plus encore la voix de nos 200.000 entreprises qui ne demandent qu’une chose : qu’on leur fasse confiance et qu’elles puissent participer à la réussite du pays et l’ensemble de ses territoires ! Ensemble, faisons entendre raison à des débats qui sont saturés de propositions attrayantes sur le papier par leur facilité et leur rapidité d’exécution mais qui seraient tout bonnement catastrophiques pour notre économie, ses entreprises, leurs salariés : les Français ! Ensemble, martelons – je l’ai encore fait jeudi et vendredi en présence du Premier ministre Michel Barnier et des ministres Antoine Armand et Marc Ferracci – que la réussite de la France ne pourra se faire qu’au travers de celle de ses entreprises ! Soyons courageux, ne cédons pas à la facilité en nous trompant de cibles, cela condamnerait notre pays. #BilletDuDimanche
La hausse de la fiscalité est un aveu d'échec sur 2 sujets à prendre avec urgence : 1. la réforme de l'état et la baisse des dépenses publiques 2. la réciprocité européenne face à la concurrence internationale, en particulier sur les normes sociales et environnementales. Ne laissons pas la non-action entraver ceux qui tous les jours créent de l'emploi et investissent pour l'avenir : les entrepreneurs !
On fait dire ce qu'on veut aux projections. Le CICE devait permettre la création de centaines de milliers d'emplois en contrepartie de dizaines de MILLIARDS d'euros de remboursement d'impôts. Résultat des courses : les entreprises s'en sont surtout servies pour augmenter leurs bénéfices (et donc la distribution de dividendes ?). La source ? France Stratégie. Il est temps que tout le monde participe à l'effort de solidarité nationale concernant nos finances.
Peut-on affirmer qu'il existe une corrélation entre hausse de la fiscalité et frein à la création d'emplois ? Cela mériterait d'être analysé secteur par secteur. La fiscalité n'est sans doute pas le seul prisme par lequel un dirigeant d'entreprise opère ses arbitrages. D'autant plus que l'hypothèse inverse semble tout aussi incertaine . Une baisse de la fiscalité pourrait avoir un effet limité, voire nul, sur la création d'emploi. Une augmentation des profits et/ou une distribution de dividendes peuvent en effet s'y substituer.
Il faudra un jour que l'on comprenne que: 1. pour augmenter les recettes fiscales il faut baisser le taux d'imposition. 2. Les impôts sont un mal nécessaire. Nécessaire mais un mal. 3. L'intervention de l'état est un mal nécessaire. Nécessaire mais un mal. 4. Les 2 problèmes de la France sont l'intervention étatiste (les dépenses publiques en sont un corollaire) et l'approche idéologique. Approche idéologique : considérer les choses non pas en qu'elles marchent ou ne marchent pas mais en ce qu'elles relèvent du "bien" ou du "mal. Efficacité contre pseudo-moralité.
En appelant les parlementaires à la responsabilité, Patrick Martin, président du MEDEF joue pleinement son rôle de défenseur des entreprises et de l'emploi. Il est essentiel de rappeler que les entreprises sont le moteur de notre économie, créatrices de richesse et d'emplois. Les fragiliser, c'est mettre en péril le bien-être de tous. Il est temps de reconnaître que les allègements de charges ne sont pas des cadeaux, mais un investissement pour l'avenir. En permettant aux entreprises de recruter, de former et d'innover, ces allègements contribuent à renforcer notre compétitivité et à créer de la valeur ajoutée. Le choix est clair : voulons-nous une France où les entreprises peuvent prospérer et créer de l'emploi, ou une France où la peur de l'impôt paralyse l'activité économique ? Le MEDEF a raison de nous alerter sur ce risque. Il est de notre devoir de soutenir les entreprises et de créer un environnement favorable à leur développement.
Ce projet de budget c’est l’assurance de la fermeture ou de la délocalisation de nombreuses entreprises Encore une preuve que l’état n’a jamais su gérer un budget C’est exactement comme si pour motiver nos salariés ont leur demandait de baisser leurs salaires Si ce budget est voté, c’est la désindustrialisation assurée alors qu’on ne cesse de parler d’industrialisation et notre souveraineté en serait compromise Protégeons nos entreprises et les emplois en réduisant le train de vie des administrations. Arrêtons de financer certaines associations qui nuisent à notre pays Seul le travail paye alors mettons nous TOUS au travail Supprimer les 35h en laissant le soin à chacun de choisir son temps de rémunération serait déjà un premier pas
et donc à part la campagne de presse du dimanche il se passe quoi ? va falloir accélèrer dans les solutions les gars vous avez des responsabilités dans l’exécution. Supression de la folie des normes, suppression du teletravail 3j/semaine dans l’administration, banques au support de l’économie, millefeuilles administratif à détricoter, IA, …. des SOLUTIONS !!! Elles sont toutes là et déjà largement utilisées au quotidien par la plupart d’entre nous, votons la généralisation courageusement.
Merci Patrick Martin, merci Mouvement des Entreprises de France de sonner le tocsin ! La France, nos entreprises, nos emplois sont en danger ! La création de richesse est impossible sans les #entreprises. Sans emplois, pas de salaires, pas de consommation, pas de croissance ! Alourdir aujourd'hui le coût du travail, c'est augmenter la dette publique de demain avec plus de chômeurs à indemniser ; c’est appauvrir la Nation avec moins de redistribution possible pour lutter contre les inégalités. Accroître la pression fiscale, c'est limiter la capacité d'investissements des entreprises et précipiter encore un peu plus le décrochage de la France au détriment de nos enfants. Ayons le courage politique de faire les réformes structurelles dont la France a besoin pour développer le travail et préserver son modèle social. GPS - Groupement des Professions de Services #Services
Business Owner - JM Digital
1wEt la hausse record des dividendes versés en France au 4 ème trimestre 2024...? Soit un peu plus de 54 Milliards... https://www.latribune.fr/economie/france/la-france-est-championne-d-europe-des-dividendes-au-deuxieme-trimestre-1006053.html Les entreprises pourraient aussi en faire un peu plus bénéficier l'état.. Car l'état c'est nous ! Nous salariés. Nous agriculteurs.. Nous TPE (sans dividendes). Nous contribuables... Etc... Piocher dans les dividendes c'est aussi du pouvoir d'achat pour nous tous...