Parti Québécois

Nous sommes très fiers d’être le parti préféré des Québécois!  Nous continuons le travail assidu pour défendre les intérêts de notre nation!

Si vous habitez à Victoriaville ou dans la circonscription d'Arthabaska, on vous invite à une rencontre avec Paul St-Pierre Plamondon et toute l'équipe du Parti Québécois ce samedi à 13 h à l'Hôtel Le Victorin.

Aujourd’hui, c’est jour de remise de notre plan pour une immigration viable, résultat d’un effort collectif et d’une persévérance sans faille. Encore une fois, chaque étape a été une occasion d’apprendre et de nous surpasser. ⚜️

Dernier sondage marquant la mi-mandat du Gouvernement du Québec.

Présentations sur les finances d’un Québec indépendant à Montréal les 28 et 29 septembre, dans les circonscriptions de Gouin et Verdun⚜️ Au Parti Québécois, l’indépendance est au cœur de notre action politique, et nous travaillons à additionner toutes les personnes qui souhaitent adhérer à ce projet de société, qu’elles soient de gauche⬅️, de droite➡️, ou d’extrême-centre↔️😉⚜️ #PaysQc #PolQc #AssNat Liens vers les événements: Gouin - https://lnkd.in/egmNSxvm Verdun - https://lnkd.in/ePNWeDEu

Andrew Mulé nous explique ici sur LinkedIn comment les politiciens qui défendent la langue française, à titre de langue officielle et commune au Québec, manquent de leadership, suivent aveuglément leur équipe de PR et font du bruit divisif. Puisque je suis l’un de ces politiciens, je me permets de lui répondre spontanément. Selon M. Mulé, il y a les vrais Montréalais, soit ceux qui méprisent certains chroniqueurs et qui utilisent indistinctement n’importe quelle langue pour signaler leur ouverture sur le monde. Et ensuite il y aurait les autres, les faux Montréalais je présume, ceux qui manquent d’ouverture. Toujours selon lui, c’est notre connaissance des langues qu’il faut célébrer et cette connaissance individuelle devrait nous amener à utiliser l’anglais et le français indistinctement. Ça tombe bien, car des provinces comme le Nouveau-Brunswick, ou encore des institutions comme la fonction publique canadienne, ont précisément cela comme politique en vigueur, ce qui nous permet d’évaluer ce que ça vaut pour l’avenir du français. Dans son texte, M. Mulé confond sciemment la connaissance individuelle des langues avec la langue du fonctionnement de l’État et des institutions. Il met délibérément de côté le fait qu’il n’y a que 2% de francophones en Amérique du Nord, que toutes les institutions qui ont choisi de fonctionner indistinctement en français ou en anglais (le bilinguisme institutionnel) ont cheminé graduellement vers un fonctionnement entièrement en anglais (ce qui a mené notamment à l’effacement du français dans les autres provinces canadiennes), donc vers des environnements où le « bilinguisme » c’est essentiellement des francophones qui parlent anglais à des anglophones qui ne voient pas l’intérêt d’apprendre le français. Il met sciemment de côté le recul important du français à Montréal au cours des dernières années. Il fait abstraction de la volonté démocratique des Québécois de fonctionner en une seule langue commune pour donner une chance à cette diversité linguistique et culturelle de survivre en Amérique à moyen et long terme. Il met de côté nos lois québécoises, et aussi la Charte de la ville de Montréal qui déclare une seule langue officielle. Lorsqu’il dévalorise les choix démocratiques et la volonté d’exister en français des Québécois, lorsqu’il dévalorise des médias, des chroniqueurs et des politiciens, tout ça au nom de l’ouverture, ce n’est certes pas de l’ouverture d’esprit qu’il exhibe, mais bien son mépris. Son mépris pour la différence linguistique, historique et culturelle du Québec. Son mépris pour notre volonté de faire perdurer notre différence dans le temps, malgré toute les embûches et les sabotages que le régime fédéral a pu mettre dans notre chemin à travers les décennies et les siècles. Heureusement, la Chambre de commerce de St-Laurent-Mont-Royal se dissocie des écrits de son directeur général qui ne représente pas le point de vue de l'organisation. [suite et fin de la publication en commentaire]

CDPQ Infra confirme la vision claire et solide présentée en 2022 par le Parti Québécois pour le transport collectif à Québec et son lien interrives entre les centre-villes de Québec et Lévis. Maintenant assez perdu de temps pour les gens de Québec et de la Rive-Sud qui méritent un réseau de transport à la hauteur d’une capitale internationale.

Bilan d’une session fort chargée, très active et fructueuse, aujourd’hui à l’Assemblée nationale. C’est aussi la dernière fois que nous siégons au Salon Bleu avant de grandes rénovations qui s’étaleront sur deux ans.

Notre chef, Paul St-Pierre Plamondon, était en Estrie ce matin pour rencontrer les gens d'affaires de la région suite à sa présentation des finances d’un Québec indépendant. Plusieurs questions pertinentes ont été soulevées, incluant sur les liens du Québec indépendant avec les États-Unis, une chose importante pour la région qui partage la frontière directement. Merci à la Chambre de commerce de Sherbrooke pour l’accueil!

La semaine passée, j’ai eu le plaisir de sentir la fibre entrepreneuriale des jeunes du Québec lors d'une table ronde à l'aimable invitation du RJCCQ | Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec. L'événement avait lieu dans un endroit qui s'y prêtait fort bien: LE CAMP, un accélérateur-incubateur dédié à l’accompagnement et à l’épanouissement des entrepreneurs dans la #CapitaleNationale. Une période d'échanges très porteuse. J’ai évoqué mes années comme avocat d'affaires qui accompagnait les entrepreneurs dans leurs projets, et bien sûr ma propre expérience d’entrepreneur : une organisation démarrée dans mon appartement qui, 20 ans plus tard, comptait 150 employés et des opérations pour plus de 15M$/an dans une douzaine de pays. Une organisation que j’ai d’ailleurs quittée après avoir développé pendant près de trois ans un plan de repreneuriat. Le repreneuriat est justement un sujet que le RJCCQ juge prioritaire, alors on a parlé de mesures pour le favoriser. Parmi les autres sujets abordés : - L’appui aux petites et moyennes entreprises; - La transmission des savoirs entre entrepreneurs en devenir et entrepreneurs expérimentés; - Les façons d’encourager l’entrepreneuriat innovant dans les secteurs d’avenir; - Les propositions du Parti Québécois visant à faire émerger des « gazelles », des entreprises à haut potentiel qui recevraient une offre de services intégrée; - La mise sur pied d’un fond de transition juste pour aider les entreprises à aborder les nouveaux défis dans le nouveau contexte économique et environnemental; - Le développement régional; - La conciliation travail et famille et le bien-être des entrepreneurs. L’histoire nous a offert des exemples inspirants du génie québécois en matière d’entrepreneuriat. Beaucoup de nos fleurons ont commencé petits, portés par le dynamisme de familles ou de quelques partenaires qui avaient la conviction de pouvoir apporter beaucoup à la communauté par l’économie. À ceux-là, il n’a souvent fallu qu’un coup de pouce pour devenir les géants qu’on connait aujourd’hui. Un modèle à perpétuer plutôt que d’investir dans des entreprises étrangères?