Comment intégrez-vous l’autonomie et la non-malfaisance dans vos méthodes de rétroaction et d’évaluation?

1 Définir l’autonomie et la non-malfaisance

L’autonomie est la capacité et le droit des individus de prendre leurs propres décisions et d’agir selon leurs propres valeurs, sans influence ou coercition indue. La non-malfaisance est le principe d’éviter ou de minimiser les préjudices ou les blessures causés à autrui, en particulier lorsqu’ils sont vulnérables ou dépendants. Ces deux principes éthiques sont souvent liés aux concepts de bienfaisance et de justice, qui sont les obligations de promouvoir le bien-être et l’équité d’autrui.

2 Appliquer le test à quatre voies

Une façon d’intégrer l’autonomie et la non-malfaisance dans vos méthodes de feedback et d’évaluation est d’appliquer le test quadripartite, un outil développé par le Rotary International pour guider la prise de décision éthique. Le test à quatre voies pose quatre questions: est-ce la vérité? Est-ce juste pour toutes les parties concernées? Cela va-t-il créer de la bonne volonté et de meilleures amitiés? Sera-t-il bénéfique pour toutes les parties concernées? En répondant à ces questions, vous pouvez vérifier si vos méthodes de rétroaction et d’évaluation sont honnêtes, impartiales, respectueuses et utiles.

3 Utiliser les critères SMART

Une autre façon d’intégrer l’autonomie et la non-malfaisance dans vos méthodes de rétroaction et d’évaluation est d’utiliser les critères SMART, un cadre pour définir et évaluer les buts et objectifs. Les critères SMART signifient Spécifique, Mesurable, Réalisable, Pertinent et Limité dans le temps. En utilisant ces critères, vous pouvez vous assurer que vos méthodes de rétroaction et d’évaluation sont claires, objectives, réalistes, significatives et opportunes.

4 Obtenir le consentement et la rétroaction

Une troisième façon d’intégrer l’autonomie et la non-malfaisance dans vos méthodes de rétroaction et d’évaluation est d’obtenir le consentement et la rétroaction des destinataires de vos commentaires et de votre évaluation. Le consentement signifie que vous les informez de l’objectif, du processus et des résultats de vos commentaires et évaluations, et que vous respectez leur droit d’accepter ou de refuser. La rétroaction signifie que vous leur demandez leurs opinions, leurs sentiments et leurs suggestions sur vos méthodes de rétroaction et d’évaluation, et que vous les écoutez et y répondez.

5 Adoptez un état d’esprit de croissance

Une quatrième façon d’intégrer l’autonomie et la non-malfaisance dans vos méthodes de rétroaction et d’évaluation est d’adopter un état d’esprit de croissance, une conviction que les capacités et les compétences peuvent être développées par l’effort et l’apprentissage. Un état d’esprit de croissance vous encourage à considérer la rétroaction et l’évaluation comme des opportunités d’amélioration, plutôt que comme des jugements ou des critiques. Un état d’esprit de croissance vous motive également à donner des commentaires et des évaluations qui sont favorables, constructifs et spécifiques, plutôt que généraux, négatifs ou vagues.

6 Suivez la règle d’or

Une cinquième façon d’intégrer l’autonomie et la non-malfaisance dans vos méthodes de rétroaction et d’évaluation est de suivre la règle d’or, un principe éthique universel qui stipule : Faites aux autres ce que vous voudriez qu’ils vous fassent. La règle d’or vous rappelle de traiter les autres avec dignité, respect et gentillesse, et d’éviter de leur faire du mal ou de les offenser. La règle d’or vous incite également à réfléchir à ce que vous ressentiriez et réagiriez si vous étiez à leur place, et à agir en conséquence.

7 Voici ce qu’il faut prendre en compte

Il s’agit d’un espace pour partager des exemples, des histoires ou des idées qui ne correspondent à aucune des sections précédentes. Que voudriez-vous ajouter d’autre?