Comment pouvez-vous vous y retrouver dans la fiscalité internationale et la planification financière ?

1 Connaître sa résidence fiscale

L’une des premières choses que vous devez déterminer est votre statut de résidence fiscale dans votre pays d’origine et dans votre pays d’accueil. Cela aura une incidence sur le montant d’impôt que vous devez payer, sur les revenus que vous devez déclarer et sur les déductions et les crédits que vous pouvez demander. En règle générale, la résidence fiscale est basée sur des facteurs tels que votre présence physique, votre domicile, vos liens et votre intention de rester dans un pays. Cependant, les règles et les définitions varient d’un pays à l’autre, vous devez donc vérifier les critères spécifiques à chaque juridiction. Vous devrez peut-être également produire des déclarations de revenus dans les deux pays, en fonction de vos sources de revenus et des conventions fiscales.

2 Comprendre les conventions fiscales

Les conventions fiscales sont des accords entre pays qui visent à prévenir la double imposition et à promouvoir la coopération en matière fiscale. Ils peuvent avoir une incidence sur la façon dont votre revenu est imposé, sur les exemptions et les allègements que vous pouvez demander et sur la façon dont vous pouvez éviter ou réduire les retenues d’impôt sur les dividendes, les intérêts et les redevances. Vous devez vous familiariser avec la convention fiscale entre votre pays d’origine et votre pays d’accueil et consulter un fiscaliste si vous avez des questions ou des doutes. Vous devrez peut-être également fournir une preuve de votre statut de résident fiscal et de vos sources de revenus pour bénéficier des avantages de la convention.

3 Planifiez vos revenus et vos dépenses

Un autre aspect important de la fiscalité internationale et de la planification financière est de planifier soigneusement vos revenus et vos dépenses. Vous devez tenir compte des taux de change, des taux d’inflation, du coût de la vie et des taux d’imposition dans les deux pays, ainsi que de leur incidence sur votre revenu net et votre pouvoir d’achat. Vous devez également prévoir un budget pour toutes les dépenses supplémentaires qui peuvent découler du travail à l’étranger, telles que les voyages, la réinstallation, l’assurance et les études. Vous voudrez peut-être ouvrir un compte bancaire dans votre pays d’accueil pour faciliter vos transactions et vos paiements, et garder une trace de vos reçus et factures à des fins fiscales.

4 Passez en revue vos placements et vos plans de retraite

Travailler à l’étranger peut également avoir un impact sur vos placements et vos plans de retraite. Selon le type et l’emplacement de vos actifs, vous devrez peut-être les déclarer aux deux autorités fiscales et payer des impôts sur les gains, les dividendes ou les distributions. Vous devez également être conscient des incidences fiscales du transfert ou du retrait d’argent de vos comptes de retraite, tels que 401(k), IRA ou REER. Vous pouvez faire face à des pénalités, des impôts ou des pertes de change si vous ne respectez pas les règles et réglementations de chaque pays. Vous devriez passer en revue votre portefeuille de placements et votre stratégie de retraite avec un planificateur financier qui a de l’expérience dans les questions transfrontalières.

6 Voici ce qu’il faut prendre en compte d’autre

Il s’agit d’un espace pour partager des exemples, des histoires ou des idées qui ne correspondent à aucune des sections précédentes. Que voudriez-vous ajouter d’autre ?