Agriculture Stratégies

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Agriculture

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Une expertise engagée

À propos

Agriculture Stratégies est un Think tank, une source privilégiée d’analyses pour la classe politique. Son objectif est de produire des idées et des solutions concrètes favorables au développement des filières. Agriculture Stratégies vise également à apporter de la transparence et des éléments de compréhension à la société civile, et de permettre de renouer le dialoguer entre agriculteurs, citoyens et acteurs du monde agro-alimentaire.

Secteur
Agriculture
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris, Ile-de-France
Type
Partenariat
Fondée en
2018
Domaines
politique agricole

Lieux

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Nouvelles

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    [#Sesame16 #SouverainetéAlimentaire] Tarte à la crème, le sujet de la souveraineté alimentaire ❓ 🤔 Il est vrai que, depuis quatre ans, on ne compte plus les articles, tribunes, rapports parlementaires, et même projet de loi qui lui sont dédiés. Pourtant, à écouter les positions des uns et des autres, on a parfois le sentiment d’un dialogue de sourds, tant les acteurs du débat semblent arc-boutés sur leurs positions. D’un côté, il y aurait les héritiers du #PacteVert, ardents défenseurs d’une transformation agroécologique et d’une décroissance des systèmes agricoles à tout prix ; de l’autre, les promoteurs d’une « ferme France » forte qui n’auraient que les mots productivité agricole et maintien des exportations à la bouche. Vraiment ? 🗣️ Pour sortir des #Stéréotypes, ouvrons le débat avec Alessandra Kirsch, directrice générale d’Agriculture Stratégies, et Pierre-Marie Aubert, directeur du programme politiques agricoles et alimentaires au sein de l’Iddri (Institut du Développement Durable et des Relations Internationales). Deux think tanks aux sensibilités différentes. 🖋️ Un dossier de Lucie GILLOT pour le 16e numéro de la revue Sesame https://lnkd.in/d4FXgZg5

    Souveraineté alimentaire : sortir du règne des débats binaires - Revue SESAME

    Souveraineté alimentaire : sortir du règne des débats binaires - Revue SESAME

    https://revue-sesame-inrae.fr

  • [NOUVEL ARTICLE] : Importations, à qui la faute ? Les débats récents sur l’ouverture du marché européen via la signature de nouveaux accords de libre-échange motivent la crainte de faire augmenter la part des produits d’origine importés, non soumis aux mêmes normes, dans notre alimentation. A l’échelle de la France, les chiffres sont connus et inquiétants pour les filières animales : un quart de la viande bovine, un tiers du lait et la moitié du poulet consommé sont importés, avec des tendances à l’augmentation. Dans cette analyse, nous vous proposons d’étudier l’origine de ces importations au regard des circuits de distribution et de l’organisation économique des filières. https://lnkd.in/eiXQb_ki

    Importations, à qui la faute ?

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  • Newsletter n°63 : les effets cumulés des accords de libre-échange L’Edito d’Alessandra Kirsch, Directrice générale d’Agriculture Stratégies « Le Mercosur, un accord de trop » Les partisans de l’accord avec le Mercosur mettent en avant la faiblesse des volumes négociés pour les secteurs sensibles au regard de la consommation européenne. 1,4% de la consommation pour la viande, 1,5% pour la volaille, et cela parait en effet peu. Mais ces volumes doivent être considérés au regard des dynamiques de production et de consommation interne à l’UE, et ils viennent s’additionner à d’autres concessions existantes et à venir. Ainsi, le ratio importations/consommation, aujourd’hui de 4,7% en UE pour la viande bovine (moyenne 2020/22), atteindrait 7,5% d’ici 10 ans. Pour la volaille, on passerait de 6,5% à 9,2 voire 9,7%. ). Une concurrence déloyale qui amplifiera des problèmes propres à la France, qui importe beaucoup sur ces deux secteurs : ses taux d’importations sont de l’ordre de 25% en viande bovine et 50% en poulet. Si les importations de viande française viennent principalement de nos voisins européens, il faut rappeler que la règlementation en matière d’origine reste floue : un produit agroalimentaire adopte l’origine de son dernier pays de transformation ; une origine UE peut ainsi masquer un approvisionnement bien plus lointain. Mais outre ces considérations relatives à des préoccupations exclusivement commerciales et économiques, c’est le manque de cohérence politique de l’Union Européenne qui inquiète, notamment vis-à-vis de cet accord Mercosur. La suite sur : https://lnkd.in/eyZK_ABv

    Newsletter n°63 : les effets cumulés des accords de libre-échange

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    Directrice générale d'Agriculture Stratégies / Ingénieure agronome - Docteure en économie agricole

    Et si on parlait des impacts cumulés des accords de libre-échange pour les filières sensibles ? Dans une interview récente dans l'Opinion, Jean-Luc Demarty, ancien DG de l’Agriculture et DG du Commerce extérieur de la Commission européenne a énoncé un point intéressant qui m'a titillée : "La France pourrait échanger un peu moins d'excitation sur le [Mercosur] contre un paquet de soutien à la viande bovine d'un milliard d'euros sur sept ans, la limite sérieuse des exportations ukrainiennes sensibles, et la garantie absolue que les quotas de tous les accords de libre-échange pour les produits sensibles ne dépassent jamais 4% de la consommation européenne — un accord informel sur ce chiffre avait été trouvé en juillet 2008 à Genève dans le cadre multilatéral du Doha Round, et validé alors par le Conseil des ministres de l'UE présidé par Michel Barnier." Cette idée de limiter l'ouverture des marchés pour les produits sensibles est fort intéressante, mais concrètement, on en est où ? Si je prends les quotas viande bovine, on peut additionner (EDIT : chiffres sur le détail des quotas modifiés le 12/11/24) : - panel quota sans hormones : 45 000 t soit 58 500 tec - quota hilton beef (post Brexit) : 61 000 t - quota GATT (post brexit, cumul contingents 010 et 011) : 76 500 tec - cumul des ALE déjà validés : 66 000t soit environ 85 800 tec - quota Mercosur : 99 000 tec La conclusion de ce dernier accord aboutira à un quota total d'environ 370 000 tec (chiffre pouvant varier selon la finesse des conversions en tec) environ pour une consommation de 6 661 000 tec en 2022 soit 5,5% de la conso. Aie. Sachant que la European Commission s'attend à une diminution de 9% de la consommation de viande bovine d'ici 2032, ce ratio importation/consommation ne peut qu'augmenter. Et c'est bien ce que montrent les dernières simulations du Joint research centre, le centre de recherche de la Commission Européenne, qui propose une évaluation chiffrée de l'impact cumulé des accords de libre-échange en cours de négociation. Si ces accords sont signés, dans 10 ans, 7,5% de la viande bovine consommée dans l’Union Européenne pourrait être importée, comme 9 à 10% de la viande de volaille et 10% du sucre. Les accords de libre-échange à venir vont renforcer les dépendances aux importations existantes (dans le cas du soja ou des tourteaux) et risquent d’en créer de nouvelles, en faisant émerger une concurrence pour l’heure peu marquée dans des secteurs historiquement protégés car sensibles. Monsieur Demarty, j'ai hâte de pouvoir échanger avec vous à cette table ronde qui aura lieu lors des Les Assises Nationales de l'Agriculture et de l'Alimentation le 14 novembre prochain. Annie Genevard Philippe Gustin Arnaud Rousseau Fédération Nationale Bovine COPA COGECA Jean-Baptiste Boucher Emmanuelle Ducros Jade Grandin de l'Eprevier Euractiv Interprofession ANVOL Yann Nédélec Timothé Masson Lien de l'itw : https://lnkd.in/ewb3SS-X Lien de notre analyse : https://lnkd.in/empYqRYT

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    [Nouvel Article] : Les impacts cumulés des accords de libre-échange sur les filières sensibles Le 22 février 2024, le Centre commun de recherche de l’Union Européenne (Joint research centre ou JRC) a publié la mise à jour de l’étude sur les effets cumulés des accords de libre-échange à venir pour le secteur agricole. Cette étude modélise les effets cumulés des accords à venir avec le #Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay), l’Australie, l’Inde, l’Indonésie, la Malaisie, les Mexique, les Philippines, la Thaïlande, ainsi que le Chili et la Nouvelle Zélande, déjà ratifiés. Nous vous proposons dans cet article une analyse basée sur cette étude de l’ouverture à venir du marché européen pour les filières sensibles et de l’évolution à venir de la part des importations dans la consommation européenne, qui aura un impact sur l’évolution de son auto-suffisance alimentaire. https://lnkd.in/efJ6TCUy

    Les impacts cumulés des accords de libre-échange sur les filières sensibles

    Les impacts cumulés des accords de libre-échange sur les filières sensibles

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  • [Nouvel Article] : Les impacts cumulés des accords de libre-échange sur les filières sensibles Le 22 février 2024, le Centre commun de recherche de l’Union Européenne (Joint research centre ou JRC) a publié la mise à jour de l’étude sur les effets cumulés des accords de libre-échange à venir pour le secteur agricole. Cette étude modélise les effets cumulés des accords à venir avec le #Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay, Uruguay), l’Australie, l’Inde, l’Indonésie, la Malaisie, les Mexique, les Philippines, la Thaïlande, ainsi que le Chili et la Nouvelle Zélande, déjà ratifiés. Nous vous proposons dans cet article une analyse basée sur cette étude de l’ouverture à venir du marché européen pour les filières sensibles et de l’évolution à venir de la part des importations dans la consommation européenne, qui aura un impact sur l’évolution de son auto-suffisance alimentaire. https://lnkd.in/efJ6TCUy

    Les impacts cumulés des accords de libre-échange sur les filières sensibles

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    Directrice générale d'Agriculture Stratégies / Ingénieure agronome - Docteure en économie agricole

    Hier, j'ai participé au Grand rendez-vous de l'alimentation organisé par la FDSEA DU MORBIHAN qui avait concocté un super programme avec la participation de Julien Denormandie Hervé Pillaud Gabrielle DUFOUR Eric Birlouez Patrick EYCHENIÉ 💛💙 et bien d'autres encore. Un grand bravo à Marie Andrée Luherne, Marjolaine Mitaut et leurs équipes ! Pour ma part, j'ai fait le bilan de ce qu'on pouvait attendre (ou pas !) des clauses et des mesures miroir dans le cadres des échanges commerciaux, une question particulièrement d'actualité au vu des discussions en cours de finalisation avec le #Mercosur. Bilan des courses : - les clauses et les mesures miroir ce n'est pas gratuit. Les imposer implique des concessions en retour ! - avant de s'interroger sur leur OMC compatibilité, il faut avant tout pouvoir les CONTROLER ! 1/3 des substances qui font l'objet de limites maximales de résidus ne sont pas contrôlées, et toute mesure ou clause qui porte sur une pratique qui ne génère pas de résidu dans le produit fini (enrobage de semence, bien être animal, hormones/antibiotiques de croissance) nécessite une #traçabilité dans les filières exportatrices. On pourrait croire que c'est acquis d'avance car nous sommes habitués à notre système très performant, mais ce n'est pas le cas pour tous les autres pays. Ce point est particulièrement important alors qu'on vient d'avoir un rapport de la Commission (du 23 octobre dernier) qui indique qu'aujourd'hui nous ne sommes pas en mesure de savoir si la viande actuellement importée du Brésil n'a pas été dopée aux #hormones de croissance (et même combat pour la viande qui vient du Canada d'après un rapport de 2020). Si vous avez lu l'excellent "Nourrir sans dévaster" de Julien Denormandie et Erik Orsenna, vous vous rappellerez de cette anecdote où la nounou conseillait à Julien, alors basé au Caire, d'aller au supermarché acheter du poulet (élevé à grand coup d'antibiotiques) pour guérir sa fille malade. Peut-être que demain on réduira le budget de la sécu française en achetant du poulet brésilien chez nous, puisque la règlementation européenne qui vise à interdire les viandes issues d'animaux traités aux antibiotiques de croissance n'est toujours pas appliquée.

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    Newsletter n°62 : EGALIM, Mercosur L’Edito de Jean Baptiste MOREAU, Porte-parole d’Agriculture Stratégies  « EGALIM : et si on faisait un pas de côté ?» Le premier grand chantier lancé par Agriculture Stratégies était extrêmement ambitieux : faire le bilan des lois EGALIM et élaborer des propositions pour améliorer la répartition de la valeur au sein des filières agro-alimentaire. La première partie des travaux est achevée. Bien sûr les lois EGALIM ont eu des apports indéniables pour les filières agro-alimentaires. Elles ont notamment permis de parler concrètement des couts de production en agriculture et de les intégrer dans la construction des prix, et de renforcer le pouvoir de négociation des agriculteurs. Force est de constater cependant que nous ne sommes pas au bout de la route. Si EGALIM a eu des effets pour certaines filières, la construction du prix en marche avant et la sacralisation de la matière première agricoles n’ont pas permis d’améliorer suffisamment significativement le revenu des agriculteurs. La suite sur : https://lnkd.in/ga_3ge-7

    Newsletter n°62 : dialogue stratégique, enquêtes chinoises et avenir de la PAC

    Newsletter n°62 : dialogue stratégique, enquêtes chinoises et avenir de la PAC

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    [Nouvel article] : Libre-échange ou hypocrisie ? Les dangers cachés de l’accord UE-Mercosur Alors que l’éventualité de la conclusion d’un accord commercial avec les pays du Mercosur se profile d’ici fin novembre et ravive la colère agricole, nous vous proposons dans cette analyse une vision à 360° des problématiques soulevées, qui sont à la fois économiques, environnementales, sociétales et politiques. En bref : - La balance commerciale entre UE et Mercosur est basée sur un échange de services et de biens industriels contre biens agricoles. L'accord de libre échange renforcera cette tendance, permettant aux industriels européens de continuer à produire les véhicules à moteur thermiques que l'UE interdira sur son sol pour les exporter, tandis qu'elle s'assurera en retour un approvisionnement en métaux critiques pour ses batteries. - En contrepartie, elle s’engage à abaisser ses barrières tarifaires sur les secteurs agricoles qui intéressent les pays du Mercosur : viande bovine, volaille, sucre et éthanol. Les contingents additionnels sont peu élevés en apparence mais portent sur des marchés agricoles fragiles et viennent s’ajouter aux concessions déjà existantes ou en cours de négociation. - Cette décision d’ouverture du marché de la viande bovine est à placer par ailleurs dans un contexte européen de décapitalisation (diminution du cheptel) et d’ambition de réduction des émissions de GES. Les accords de Paris que les pays de l’UE se sont engagés à respecter portent sur la réduction des émissions nationales et ne tiennent pas compte des émissions importées. L’UE accepte cyniquement d’importer de la viande qui aura émis davantage de GES pour sa consommation, mais ces émissions ne seront pas inscrites sur le compteur européen. - La mise en place de clause miroir dans cet accord apparait compromise compte tenu du peu de traçabilité existant dans ces filières. Un problème majeur alors qu'au Brésil, la part des animaux engraissés en feedlot est de 25% et cette part est en augmentation, le maïs produit est OGM et les antibiotiques utilisés comme activateurs de croissance sont autorisés. - Aujourd'hui, l'accord est mixte et doit être ratifié à l'unanimité. La FRance pourra-t-elle continuer à bloquer sa ratification ? Bonne lecture ! https://lnkd.in/gt-iv_Mw

    Libre-échange ou hypocrisie ? Les dangers cachés de l’accord UE-Mercosur

    Libre-échange ou hypocrisie ? Les dangers cachés de l’accord UE-Mercosur

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    [ 𝗔𝗔𝗔* 🗣 𝗟𝗘𝗦 𝗘𝗫𝗣𝗘𝗥𝗧𝗦 𝗜𝗡𝗧𝗘𝗥𝗩𝗘𝗡𝗔𝗡𝗧𝗦 ] Quand certains plaident pour une Politique Agricole Commune plus axée sur la durabilité environnementale, avec des incitations à l'adoption de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement, d’autres insistent sur le maintien des soutiens forts aux agriculteurs pour assurer la sécurité alimentaire. L’Europe saura-t-elle trouver une stratégie d’équilibre entre ces deux enjeux ?    3️⃣ séquences pour en débattre avec : 1️⃣ [ 💬 🎤 TABLE RONDE ] 🟢 Alessandra Kirsch : Directrice générale du Think tank Agriculture Stratégies. 𝘐𝘯𝘨𝘦́𝘯𝘪𝘦𝘶𝘳𝘦 𝘢𝘨𝘳𝘰𝘯𝘰𝘮𝘦, 𝘥𝘰𝘤𝘵𝘦𝘶𝘳𝘦 𝘦𝘯 𝘦́𝘤𝘰𝘯𝘰𝘮𝘪𝘦 𝘦𝘵 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘢𝘨𝘳𝘪𝘤𝘰𝘭𝘦, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘥𝘪𝘳𝘪𝘨𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘦́𝘵𝘶𝘥𝘦𝘴 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘶𝘯𝘦 𝘢𝘱𝘱𝘳𝘰𝘤𝘩𝘦 𝘵𝘦𝘤𝘩𝘯𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘢𝘨𝘳𝘰𝘯𝘰𝘮𝘪𝘲𝘶𝘦, 𝘦́𝘤𝘰𝘯𝘰𝘮𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘦𝘵 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘦́𝘳𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘴𝘶𝘫𝘦𝘵𝘴 𝘥’𝘦𝘹𝘱𝘦𝘳𝘵𝘪𝘴𝘦, 𝘥𝘰𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘧𝘰𝘯𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘦́𝘳𝘦𝘯𝘵𝘦𝘴 𝘧𝘪𝘭𝘪𝘦̀𝘳𝘦𝘴, 𝘭𝘦𝘴 𝘦́𝘤𝘩𝘢𝘯𝘨𝘦𝘴 𝘪𝘯𝘵𝘦𝘳𝘯𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘢𝘶𝘹 𝘦𝘵 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘴𝘶𝘫𝘦𝘵 𝘢𝘺𝘢𝘯𝘵 𝘵𝘳𝘢𝘪𝘵 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘴𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳𝘢𝘪𝘯𝘦𝘵𝘦́ 𝘢𝘭𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘢𝘶𝘹 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘢𝘨𝘳𝘪𝘤𝘰𝘭𝘦𝘴. 🟢 Christian Griner : Directeur général du Groupe Even  𝘌𝘯𝘨𝘢𝘨𝘦́ 𝘤𝘰𝘰𝘱𝘦́𝘳𝘢𝘵𝘪𝘧 𝘥𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 1992, 𝘊𝘩𝘳𝘪𝘴𝘵𝘪𝘢𝘯 𝘎𝘳𝘪𝘯𝘦𝘳 𝘥𝘪𝘳𝘪𝘨𝘦 𝘭𝘦 𝘨𝘳𝘰𝘶𝘱𝘦 𝘯𝘶𝘮𝘦́𝘳𝘰 1 𝘥𝘶 𝘭𝘢𝘪𝘵 𝘦𝘯 𝘉𝘳𝘦𝘵𝘢𝘨𝘯𝘦, 𝘥𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 2020 𝘢𝘱𝘳𝘦̀𝘴 𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘢𝘴𝘴𝘶𝘳𝘦́ 𝘭𝘢 𝘥𝘪𝘳𝘦𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘴𝘢 𝘧𝘪𝘭𝘪𝘢𝘭𝘦 𝘓𝘢𝘪̈𝘵𝘢. 🟢 𝗟𝗮𝘂𝗿𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗠𝗮𝗿𝗮𝗻𝗱𝗼𝗹𝗮 : Porte-parole nationale de la Confédération paysanne. 𝘗𝘢𝘺𝘴𝘢𝘯𝘯𝘦 𝘦𝘯 𝘈𝘳𝘪𝘦̀𝘨𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘶𝘯𝘦 𝘧𝘦𝘳𝘮𝘦 𝘥𝘪𝘷𝘦𝘳𝘴𝘪𝘧𝘪𝘦́𝘦. 𝘗𝘳𝘦́𝘤𝘦́𝘥𝘦𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘮𝘦𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘥𝘶 𝘴𝘦𝘤𝘳𝘦́𝘵𝘢𝘳𝘪𝘢𝘵 𝘯𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘢𝘭 𝘦𝘯 𝘤𝘩𝘢𝘳𝘨𝘦 𝘯𝘰𝘵𝘢𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘶 𝘥𝘰𝘴𝘴𝘪𝘦𝘳 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘗𝘢𝘤, 𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘦𝘴𝘵 𝘦́𝘭𝘶𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘊𝘰𝘯𝘧𝘦́𝘥𝘦́𝘳𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘢𝘺𝘴𝘢𝘯𝘯𝘦 𝘦𝘯 2023 𝘦𝘵 𝘴𝘪𝘦̀𝘨𝘦 𝘢̀ 𝘭𝘢 𝘤𝘩𝘢𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘥'𝘢𝘨𝘳𝘪𝘤𝘶𝘭𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘥'𝘈𝘳𝘪𝘦̀𝘨𝘦. 2️⃣ [ 🤔 ANALYSE ] 🟢 Jean-Luc Demarty : Ancien directeur général du Commerce extérieur de la Commission Européenne (2011-2019), ancien directeur général adjoint et directeur général de l'Agriculture de la Commission Européenne (2000-2010) et ancien conseiller au cabinet de Jacques Delors. 3️⃣ [ 👩🌾 TÉMOIGNAGE ] 🟢 Clément Coussens : Agriculteur en Ukraine. 𝐼𝘭 𝘥𝑖𝘳𝑖𝘨𝑒 𝑢𝘯𝑒 𝑒𝘹𝑝𝘭𝑜𝘪𝑡𝘢𝑡𝘪𝑜𝘯 𝘥𝑒 21 000 𝘩𝑒𝘤𝑡𝘢𝑟𝘦𝑠 𝑎̀ 𝑇𝘳𝑜𝘪𝑡𝘴𝑘𝘦, 𝑑𝘢𝑛𝘴 𝘭𝑒 𝑐𝘦𝑛𝘵𝑟𝘦-𝘦𝑠𝘵 𝘥𝑒 𝑙’𝑈𝘬𝑟𝘢𝑖𝘯𝑒, 𝘢𝑣𝘦𝑐 𝑡𝘳𝑜𝘪𝑠 𝑐𝘶𝑙𝘵𝑢𝘳𝑒𝘴 𝘱𝑟𝘪𝑛𝘤𝑖𝘱𝑎𝘭𝑒𝘴 : 𝘣𝑙𝘦́, 𝑐𝘰𝑙𝘻𝑎 𝑒𝘵 𝘵𝑜𝘶𝑟𝘯𝑒𝘴𝑜𝘭. ——— 📅 Ne manquez pas ce rendez-vous le 𝟭𝟰 𝗻𝗼𝘃𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟰 réservant votre billet 👉 : https://bit.ly/3RDNvsp #AAA2024 #agriculture #alimentation #agrifood #bretagne #pac #europe #confederationpaysanne

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  • Quel bilan d’Egalim ? Une note de cadrage pour repenser la création et le partage de la valeur   Cette note de cadrage s’inscrit dans le cadre du projet de réflexion collective d’Agriculture Stratégies sur la thématique de la création et du partage de la valeur. Elle vise à permettre à tous d’acquérir un niveau de connaissance préalable commun sur le sujet et à faire émerger de premiers questionnements, que nous traitons en groupe de travail et qui doivent être pris en compte dans les décisions politiques à venir. La première partie de cette note présente les mécanismes mobilisés par les lois Egalim pour atteindre leurs objectifs, leurs limites en matière de prise en compte de coûts de production, la notion de prix abusivement bas et la difficulté de définir le coût de la matière première agricole. Elle présente ensuite des éléments sur la part de la valeur agricole dans le produit fini, l’encadrement des marges, le cas des grossistes et le fonctionnement des appels d’offre en marque distributeur. Elle fait également le point sur les initiatives existant hors périmètre Egalim dans différentes filières sur le partage de la valeur. Nous vous proposons ci-dessous la lecture d’une synthèse sous format article qui reprend les principales limites constatées dans l’application de ces lois. https://lnkd.in/eN9MnmST

    Note de cadrage – Bilan Egalim, repenser la création et le partage de la valeur

    Note de cadrage – Bilan Egalim, repenser la création et le partage de la valeur

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