Cigref

Découvrez l’édition 2024 de notre Rapport d’Orientation Stratégique, « 5 ambitions : que faire d’ici 2040 ? ». « Nous avons pris un angle radicalement différent des précédentes années : nous nous sommes attachés à décrire un avenir numérique que nous souhaitons voir advenir à l’horizon 2030-2040, mettant notre capacité de vision et d’imagination au centre, et nous avons voulu baliser des chemins pour y parvenir. » Extrait de l’édito de Jean-Claude LAROCHE, ancien Président du Cigref. Avec cette nouvelle édition, nous avons souhaité aller un pas plus loin dans notre engagement prospectif, commencé depuis maintenant cinq ans. Comme chaque année, nous avons cherché à comprendre et anticiper le cours des événements pour apporter des éléments de réponse aux décideurs face à un monde de plus en plus incertain sur le plan politique, environnemental et économique. Cependant, cette année, en plus de ce travail d’anticipation, nous avons également cherché à dessiner les « orientations stratégiques » que l’association et ses membres devraient prendre pour atteindre des futurs apparaissant comme les plus souhaitables pour les organisations européennes et pour la société dans son ensemble. Au-delà du « Que peut-il advenir ? », ce rapport explore donc le « Qu’allons-nous faire ? ». Cette question suppose évidemment de déterminer les objectifs à atteindre et d’identifier les leviers d’actions à mobiliser pour y parvenir. Le rapport est ainsi structuré autour de cinq questions stratégiques, représentant les cinq enjeux principaux pour les membres du Cigref à l’horizon 2040 :  ➡️ Que faire pour que le numérique contribue efficacement à la transition environnementale ? ➡️ Que faire pour renforcer la sécurité dans l’espace numérique ? ➡️ Que faire pour que le numérique soit facteur de cohésion sociale ? ➡️ Que faire pour développer une véritable autonomie stratégique européenne dans le domaine du numérique ? ➡️ Que faire pour que le numérique participe à améliorer la qualité de vie au travail et la qualité de l’emploi ? 👉 Consultez le rapport en ligne : https://lnkd.in/e8wa6_qe

📢 Le Cigref aux Assises Nationales des Données de la Recherche Nous sommes très heureux d’avoir partagé nos travaux aux Assises Nationales des Données de la Recherche, organisées par le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et Aix-Marseille Université. Cet événement s’est tenu au Mucem - Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille. Ces Assises offrent une occasion unique d’échanger sur des sujets essentiels. Les interventions se sont articulées autour de la gestion, du partage, de l’ouverture et de la réutilisation des données de la recherche afin de stimuler l'innovation en permettant à des chercheurs, des entreprises et d'autres acteurs d'utiliser ces données pour créer de nouveaux produits, services ou applications. Nos interventions : 👉 Frédéric LAU : présentation des métiers et compétences du numérique, et présentation de la Nomenclature des métiers SI 2024. 📖 Consulter la Nomenclature RH du Cigref : https://lnkd.in/deyA2Zfv 👉 Marine de Sury : focus sur la confiance dans le numérique, indispensable pour libérer la circulation des données entre différentes parties prenantes. 📖 Consulter le rapport du Cigref "Pilotage de l’entreprise par la donnée : extraire la valeur de la donnée à l’échelle de l’entreprise" : https://lnkd.in/eiteS4cZ Ce symposium s’adressait aux chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs et doctorants des secteurs public et privé. Il a permis de partager les bonnes pratiques de gestion des données et de réfléchir collectivement à toutes les questions associées à la production et la gestion de données nativement partageables et réutilisables. Henri d'AGRAIN

Trois ans après, le cloud a-t-il tenu ses promesses ? En 2021, le Cigref publiait le rapport «Stratégies de migration dans le cloud» (https://lnkd.in/ebRTAfw5 ), la migration vers le cloud était présentée comme une étape incontournable dans la transformation numérique des entreprises et des administrations. Trois ans plus tard, alors que nombre d'organisations ont progressé dans leurs projets de migration, l’heure est au bilan : le cloud a-t-il tenu toutes ses promesses ? L’adoption du cloud était au départ, motivée par de grandes attentes, tels que des gains considérables en matière de scalabilité, de réduction des coûts et de flexibilité. Sa promesse se résumait ainsi : « cheaper, faster, better ». Mais c’était sans compter la nature même du cloud. En tant que transformation technologique, le cloud pose en effet de grands défis techniques, opérationnels et stratégiques. C’est pourquoi les entreprises qui se sont engagées sur cette voie ont dû repenser leurs architectures techniques, ajuster leurs modèles économiques, et adapter leurs politiques de gouvernance des données pour atteindre les bénéfices escomptés. Ces transformations ont également impacté les métiers, les compétences et les méthodes de travail au sein des organisations. C'est l'objet de ce nouveau rapport. 👉 https://lnkd.in/ebhJzCK7

« Qui a hacké Garoutzia ?» Cette semaine s’est tenu le premier événement de notre nouveau cercle “Matières à penser, matières à décider”. Derrière ce nom se cache le Cercle Philosophie et Numérique qui a fait peau neuve ! Cette nouvelle identité retranscrit l'évolution des thèmes que nous aborderons en introduisant plus de diversité et la mobilisation d'autres disciplines des sciences humaines, des arts et de la culture. Pour inaugurer cette nouvelle formule, nous avons convié la communauté du Cigref à assister à la représentation de la pièce de théâtre « Qui a hacké Garoutzia ? » Cette comédie policière d’anticipation a été co-écrite par trois chercheurs en informatique, Serge Abiteboul directeur de recherche à l’INRIA, Laurence Devillers professeure en intelligence artificielle à Sorbonne Université, et Gilles Dowek, chercheur à l'Inria et professeur attaché à l'ENS Paris-Saclay, avec une mise en scène orchestrée par Lisa Bretzner « Qui a hacké Garoutzia ? » applique les codes du burlesque et de la dérision pour traiter avec sérieux des questions philosophiques liées à l'irruption des machines conversationnelles. ➡️ Comment les bots apprennent-ils à imiter les émotions humaines sans jamais les ressentir ? ➡️ Leur empathie factice peut-elle influencer les actions des humains ? ➡️ Et quel est le rôle de l'entreprise qui fabrique ces robots ? Un moment hors du temps, dans un monde où nous ne cessons d’en manquer, qui nous laisse l’occasion de nous interroger sur nos identités technologiques. Merci et bravo aux comédiens pour ce bon moment ! Merci également à Jean-Claude LAROCHE, ancien Président du Cigref, d’avoir présidé cette soirée. « Qui a hacké Garoutzia ? » est jouée jusqu'à la fin du mois de décembre, tous les mardi soir à 19h00, au théâtre La Scène Parisienne, au coeur du 9ème arrondissement de Paris. A voir absolument ! Henri d'AGRAIN

À l’aube d’une nouvelle ère technologique, le rôle de directeur des systèmes d’information (DSI) connaît une mutation profonde. Né dans une logique essentiellement technique, le DSI a vu sa fonction évoluer pour répondre aux besoins stratégiques, technologiques et environnementaux au service du business. Aujourd'hui, cette transformation pousse la fonction vers une posture nouvelle, incarnée par le Chief Information and Technology Officer (CITO), reflet des enjeux de compétitivité et innovation responsable. Retour sur une évolution clé : ➡️ Années 70-80 : gestion des infrastructures avec un focus sur l’exploitation des systèmes. ➡️ Années 90-2000 : rôle stratégique avec l’essor de l’Internet et des ERP, en faveur de la performance globale. ➡️ Années 2010 : l'ère de la transformation numérique, le DSI devient business partner, acteur de l’agilité et de l’innovation. ➡️ 2024 : avec l’intelligence artificielle, la cybersécurité, et la durabilité au cœur de sa mission, le CITO est bien plus qu’un gestionnaire de technologies. Le CITO est désormais un chef d’orchestre de l’innovation technologique, garantissant non seulement la résilience et l’efficacité des systèmes mais aussi leur faible empreinte écologique. Il incarne une vision éthique et rigoureuse, où la sobriété numérique se conjugue avec la performance, l'excellence opérationnelle avec les enjeux business. Les entreprises qui sauront intégrer cette fonction stratégique au plus haut niveau tireront de ce positionnement un avantage compétitif déterminant.

Quelle est la mission d'un Data Architect ? L’apparition de ce profil dans la Nomenclature des métiers SI 2024 résulte de l’évolution grandissante de la maturité data des entreprises. Le Data Architect est en quelque sorte un Architecte d’Entreprise mais avec une très forte « coloration » en Data. Sa mission est essentiellement de définir l’architecture Data, en fonction des besoins métier, en tenant compte de l’architecture du SI, des règles de gouvernance Data et plus globalement des standards et des communs définis au niveau de son organisation. Il pilote sa mise en œuvre et garantit sa conformité, sa performance, sa pérennité, son adéquation aux besoins métier ainsi que l’optimisation du cycle de vie de la donnée. Consultez la fiche métier complète dans la nouvelle version de la Nomenclature : https://lnkd.in/e46FxzqH #rh #emploi

Le Cigref est heureux de vous annoncer la nomination de son nouveau président Emmanuel Sardet. Le passage de relais avec Jean-Claude LAROCHE s’est effectué lors de notre Assemblée générale ce mercredi 16 octobre. Nous tenons à le remercier une fois de plus pour son engagement depuis trois ans à la présidence de notre association. Lors de notre Assemblée générale ordinaire, les représentants des organismes adhérent ont procédé à l’élection de nouveaux membres de notre Conseil d’administration afin de renouveler son instance de gouvernance. Ont été nouvellement élus : - Christine Robinne (Danone) - David Krieff (Groupe ADP) - Sandrine RACOUCHOT (Abeille Assurances) Pendant cette même séance, Alice GUEHENNEC (Sodexo) a été renouvelée dans son mandat. « Une nouvelle fois, le Cigref a fait la démonstration de la force de son collectif, ses entreprises adhérentes et son écosystème. Nous allons saisir ensemble les opportunités que dessinent ces nouveaux défis, avec confiance, dans l’intérêt général et de nos adhérents. » Emmanuel Sardet, Président du Cigref.

Quelle est la mission d'un Product Manager ? L’apparition de ce profil dans la Nomenclature des métiers SI 2024 résulte de l’évolution des projets agiles, et particulièrement de l’augmentation des activités dévolues au Product Owner qui ont pour partie migré vers le Product Manager. Ce nouveau profil a donc la responsabilité de la définition et du pilotage d’un produit/service, ou d’un ensemble de produits/services (pouvant être rassemblés en lignes produits), en ligne avec le SI et les objectifs stratégiques de l’entreprise. Agissant essentiellement dans le monde agile, le Product Manager peut néanmoins gérer et piloter des projets classiques. Consultez la fiche métier complète dans la nouvelle version de la Nomenclature : https://lnkd.in/e46FxzqH #rh #emploi

L'édition de la Nomenclature des profils métiers du SI 2024 est disponible ! Cet outil ne présente pas ce que « doivent » être ou ce que « seront » les métiers des SI mais ce qu’ils sont aujourd’hui dans ces organisations. Il propose donc des descriptions consensuelles de profils métiers basées sur les référentiels présents dans les entreprises. La Nomenclature du Cigref 2024 rassemble 52 descriptions de profils métiers, chacun présenté sous la forme d’une fiche comprenant un intitulé, une mission, les activités nécessaires pour réaliser cette mission, quelques KPI et livrables liés à ce profil métier, le parcours professionnel, et les tendances et facteurs d’évolution. Comme les précédentes, elle intègre aussi les compétences numériques de la norme européenne NF EN 16234-1-FR dans l’ensemble des profils métiers. Pour cette nouvelle version 2024 le Groupe de travail du Cigref a créé deux nouveaux profils métiers qui viennent compléter les familles « Management de projets » et « Data ». Le Groupe de travail a aussi réfléchi sur la définition d’un éventuel profil « DevOps » qui commence à apparaitre dans les organisations IT. Mais ce profil a posé problème et suscité de nombreuses discussions. En effet, tout le monde s’accorde à dire que le DevOps implique, lors du développement d’un produit, de prendre en compte et d’intégrer dès les phases de design et de conception, les problématiques liées à sa mise en production et à son exploitation. Mais pour certains les compétences du DevOps viennent compléter des métiers existants ; pour d’autres, c’est un nouveau métier en tant que tel ; enfin certaines entreprises considèrent que cette fonction peut être couverte en adaptant les processus et activités des métiers IT. Le concept même étant en train de chercher à se formaliser et sa traduction RH faisant dissensus, le DevOps n’a pas donné lieu à la création d’une nouvelle fiche. Consultez l'édition 2024 : https://lnkd.in/e46FxzqH #rh #emploi

Quel futur pour la virtualisation ? Depuis son acquisition par Broadcom le 22 novembre 2023, des clients de VMware du monde entier sont obligés de mettre en question leur relation à l’éditeur, et d'envisager des alternatives. Alliancy - numérique et business a enquêté sur ce séisme qui a secoué toutes les organisations. L’équipe a présenté le 2 octobre dernier un guide hors-série destiné à appréhender les impacts financiers, technologiques et stratégiques consécutifs à cette acquisition. Parmi les points abordés pendant les échanges et sur lesquels les acteurs du numérique sont appelés à porter une attention particulière :  - Quels sont les impacts du changement de modèle de VMware sur les organisations françaises ? - Quels sont les enjeux relatifs aux maintiens ou non des contrats de maintenance ? - Comment bien comprendre les différents niveaux de portabilité ? - Quelles sont les stratégies envisagées ? - Quelle alternative technologique ou de transformation ? - Quels sont désormais les défis de l'écosystème Tech sur la virtualisation ? Le guide complet est accessible gratuitement en ligne : https://lnkd.in/ggzCBK7r