Podcast Clarisse donne la parole aux papas. Comment concilier vie pro et vie privée ?

La Ville de Lyon, un employeur très engagé pour l'égalité professionnelle 1) Le score de son dernier index de l'égalité professionnelle est à saluer : 97 sur 100 pour l'année 2023. Cet index est un outil visant à calculer les écarts de rémunération entre les femmes et les hommes employés dans un organisme. Selon l’INSEE, les écarts de salaires entre les hommes et les femmes à la Ville de Lyon s’établissaient à 8% en 2023 contre 10% en 2020. Le chiffre était en moyenne de 14,9% dans le secteur privé en 2022. 2) 𝗨𝗻 𝗰𝗼𝗻𝗴é 𝗽𝗮𝘁𝗲𝗿𝗻𝗶𝘁é 𝗱𝗲 𝟭𝟬 𝘀𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 les 𝗳𝗼𝗻𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 de la Ville, depuis fin 2023 Une durée qui va au-delà du cadre légal de 28 jours de congé paternité. Une première pour une collectivité locale en France. https://lnkd.in/gdu8qxbq « 𝗡𝗼𝘂𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗻𝘀 𝘃𝗼𝘂𝗹𝘂 𝗮𝗴𝗶𝗿 𝗿é𝘀𝗼𝗹𝘂𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗳𝗮𝘃𝗲𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹'é𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁é 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀- 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲𝘀, 𝗲𝗻 𝗽𝗲𝗿𝗺𝗲𝘁𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗮𝘂𝘅 𝗽è𝗿𝗲𝘀 𝗱'𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝗿 𝗽𝗹𝗲𝗶𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮 𝗽é𝗿𝗶𝗼𝗱𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗿𝗻𝗶è𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝗮𝗰𝗰𝘂𝗲𝗶𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁𝘀, durant laquelle bien des choses se jouent en matière d'organisation familiale, de répartition des tâches domestiques et de relations parent- enfant. C'est la raison pour laquelle nous avons porté le congé paternité au même niveau que le congé maternité. » -＞Propos de Laurent BOSETTI, adjoint au Maire de Lyon délégué à la Promotion des services publics. Le M𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗟𝘆𝗼𝗻 𝗿𝗲𝗰𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶̂𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 é𝘃𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮 𝘂𝗻 𝗰𝗼𝘂̂𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝘃𝗶𝘁é, "𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝗰𝗶é𝘁é 𝗱𝗲𝘃𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗽𝗹𝘂𝘀 é𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲, 𝗹𝗮 𝘃𝗶𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗟𝘆𝗼𝗻 𝘃𝗮 𝗮𝘀𝘀𝘂𝗺𝗲𝗿", explique -t-il. 📌 Un père qui s’absente 10 semaines… Le congé maternité post-natal est de10 semaines. Cela induirait qu'il deviendrait presque aussi « risqué » (Ha) de recruter un homme qu’une femme... Qu'en pensez-vous ?

Un fléau sans frontières Résoudre le fléau des violences faites aux femmes commence bien sûr par le dénoncer Tant qu'il n'est pas dénoncé, tout le monde trouve ça normal, banal Et il n’y a pas de prise de conscience C’est l’objectif principal de notre association Ligue de défense des Femmes du Cameroun Les violences ayant plusieurs visages, notre association : - Dénonce et apporte un soutien psychologique et juridique aux femmes battues ou violées - Lutte contre les mariages forcés, une réalité du Grand Nord Cameroun (zone Sahélienne) Sur cette photo, une adolescente de 14 ans - Déjà mariée, mère, donc déscolarisée - Déjà victime de violences psychologiques La responsable de notre pôle Grand Nord l'écoute. Si son époux le valide, elle pourra suivre une formation pour devenir couturière. Un métier, un peu plus de liberté. La parole se libère lentement, tant la pression sociale est forte pour que les femmes et jeunes filles "supportent" ("supporte, c'est ton mari", cela a toujours été comme ça...). Malgré l'indifférence, les insultes que nous recevons, malgré le culte de l'impunité, nous avançons grâce à l'aide de bénévoles très engagés (oui il y a des hommes, heureusement). Notre bilan est humble au regard de l'ampleur du phénomène des violences, mais nous faisons notre part du colibri Parce que le colibri agit quand il y a déjà le feu et que le feu des violences et des féminicides brûle chaque jour dans les foyers au Cameroun Chaque jet d’eau compte. - Nous avons accompagné 11 femmes : soutien psychologique et juridique. - 3 jeunes filles ont été formées au métier de la couture. Cela a un coût : acquisition de matériels, rémunération de la couturière. - 1 jeune fille passionnée par le digital suit une formation dans ce secteur. Cela aussi a un coût. Pour 2025, notre objectif : 10 nouvelles jeunes filles à former. Car il n'y a rien de pire que de rester sous l'emprise d'un homme violent parce qu'on n'aucune perspective et qu'on a faim. Et oui, nous attendons toujours cette baguette magique qui pourrait : - Donner aux femmes, aux filles et familles camerounaises une loi- cadre pour les protéger des violences - Créer dans chaque région du pays des refuges pour les femmes victimes de violences - Organiser des campagnes de sensibilisation coups de poing avec les médias pour dire Stop ça suffit ! En attendant, en rêvant, nous agissons à notre humble niveau mais avec ambition. Merci de m'avoir lue jusqu'au bout. A l'occasion de la campagne ONU de novembre, notre association adresse une pensée à toutes les femmes victimes de violences sous toutes ses formes à travers le monde Ce fléau est sans frontières ! Cette adolescente - mère à 14 ans est très courageuse, elle veut une vie différente de celle de sa mère. Pour en savoir plus sur notre association https://lnkd.in/eFahYR6j

Je suis arrivée en France à l’âge de 17 ans En 1989 Au lycée Jean Lurçat dans 13eme arrondissement à Paris, le « ils se ressemblent tous », je l’ai pensé Je n’avais jamais vu autant de Blancs J’ai appris à m’aider de l’apparence (qui est fou ?) : tel -le a les cheveux courts, tel-le a les cheveux blonds, tel-le est grand … J’ai commis des impairs : « euh non ce n’est pas moi qui t’ai prêté le bouquin… » Ce que je retiens de cette année en classe de Terminale : - La différence rend parfois nos yeux paresseux - Des camarades de classe super chouettes - Des parents qui m’ont invitée à des fêtes familiales Ce qui m’a aussi marquée, ce sont toutes ces bibliothèques dans les coins et recoins des arrondissements parisiens La bibliothèque Beaubourg devint ma 2eme maison, elle me donnait le tournis Beaucoup de boulimie en lecture Jamais d’overdose Moi qui n’avais connu que le centre culturel français de Douala comme espace de Savoir diversifié, comme pont entre les cultures … C’était vraiment trop pour mes sens ✨ L’interview de RFI - Radio France Internationale autour mon roman « Une saison des pluies à Douala » m’a fait revivre toute cette période avec beaucoup d’émotions J’aime la jeune femme de 17 ans dont les yeux paresseux se sont au fil du temps aiguisés Avec plaisir, je partage avec vous cette courte interview sur mon parcours. Un grand merci à RFI pour ce moment ! https://lnkd.in/e3RX-Vpa

𝐎𝐧 𝐚 𝐭𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐜𝐞 à 𝐠𝐥𝐨𝐫𝐢𝐟𝐢𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥 𝐝'é𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞... 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭, il 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐚𝐮𝐬𝐬𝐢 𝐞𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞 As-tu déjà remarqué dans ton équipe ces collaborateurs qui font le strict minimum ou se mettent en retrait lors des travaux de groupe alors qu'ils sont plutôt performants lorsqu’ils travaillent en solo ? Moi je l'ai remarqué en près de 20 ans de carrière. Ma pratique de coach me permet aussi de constater qu'il s'agit d'un vrai défi pour les managers. Ce phénomène s'appelle la paresse sociale. Il a été découvert pour la première fois en 1913 par l'ingénieur français, Maximilien Ringlemann. Constat : plus le groupe est important, moins certaines personnes donnent le meilleur d'elles-mêmes individuellement. -＞ En résumé En solo : je travaille dur, je donne le meilleur de moi En travail d'équipe : je réduis mon effort P𝐨𝐮𝐫 𝐩𝐫é𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫, 𝐥𝐮𝐭𝐭𝐞𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐚𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐭𝐨𝐧 é𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞, tu peux : 🌟 Demander bien sûr en amont leur avis aux collaborateurs sur le projet concerné 🌟 Prévoir des objectifs vraiment challengeants pour éviter le "tout ce monde réuni juste pour ça? " ou le "encore une perte de temps..." 🌟 Préciser la responsabilité de chacun dans la conduite du projet 🌟 Sensibiliser à l'impact de la contribution individuelle sur l'atteinte du résultat collectif 🌟 Reconnaître la contribution de chacun au résultat final 🌟 Célébrer aussi la réussite collective Sans oublier les séances de coaching qui permettent de : * Développer la prise de conscience de l'enjeu du travail d'équipe * Développer la cohésion de l'équipe * Fédérer les collaborateurs aUtour d'objectifs communs La puissance de l'intelligence collective est très liée à la prise de conscience par chacun de tes collaborateurs de sa responsabilité individuelle, de sa capacité à apporter au collectif ...⚡ Qu'en pensez-vous ; des témoignages à partager ?

La peur n'est pas une fatalité et tu peux l'apprivoiser

L'égalité se construit chaque jour, car elle n'est pas encore sortie de l'auberge

Le syndrome de l'imposteur peut être un moteur dans notre vie professionnelle tant qu'il est maîtrisé

Avec Leïla Slimani, à l’occasion de la soirée de solidarité en faveur de l’éducation des filles et femmes afghanes Événement organisé par Radio Begum, média fondé en 2021 par l'entrepreneuse et journaliste afghane Hamida Aman Média entièrement géré par les Afghanes et pour les Afghanes. Lancée quelques mois avant la reprise de Kaboul par les talibans en août 2021, cette radio diffuse chaque jour des programmes scolaires qui soutiennent le réseau des écoles clandestines dans le pays (environ 15 000) L'école est interdite aux filles après 12 ans «L'Afghanistan reste le seul pays où l'enseignement secondaire est strictement fermé aux filles et aux femmes» selon Unesco. 🌟 « En gardant notre radio allumée, en gardant nos voix fortes, nous résistons », souligne Hamida Aman. Radio Begum reste étroitement surveillée par les talibans et sa survie est précaire... Mais elle reste une véritable lumière dans la nuit🌟 Force à ces femmes emmurées, aux droits fondamentaux bafoués ... Vive la sororité face à la terreur ! Begum signifie "reines" en persan http://www.begum.fm/

"Pendant le COVID, j'ai pris conscience de la fatigue de mon épouse, de sa charge mentale... Le travail sur moi m'a aidé à prendre ma place de père. Cela a également eu des retombées sur le plan professionnel. Mes équipes sont devenues plus performantes..." -＞ Témoignage de Pascal Bouche https://lnkd.in/eHPJWbSz dans mon podcast qui donne la parole aux pères entrepreneurs ou salariés : comment concilient- ils la vie pro et la vie privée ? Pascal est papa de 5 enfants. Ses fonctions : vice-président régional (Europe du Sud) d’un grand groupe. Pour écouter Pascal, par ici, merci : https://lnkd.in/eetRakUj

Le sens de l'écoute du manager est souvent questionné