"Pendant le COVID, j'ai pris conscience de la fatigue de mon épouse, de sa charge mentale... Le travail sur moi m'a aidé à prendre ma place de père. Cela a également eu des retombées sur le plan professionnel. Mes équipes sont devenues plus performantes..." -> Témoignage de Pascal Bouche https://lnkd.in/eHPJWbSz dans mon podcast qui donne la parole aux pères entrepreneurs ou salariés : comment concilient- ils la vie pro et la vie privée ? Pascal est papa de 5 enfants. Ses fonctions : vice-président régional (Europe du Sud) d’un grand groupe. Pour écouter Pascal, par ici, merci : https://lnkd.in/eetRakUj
Post de Podcast Clarisse donne la parole aux papas. Comment concilier vie pro et vie privée ?
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Nadia Daam présidente ! 👑 (et Lauren Bastide présidente parce qu'elle a un réseau de dingue pour faire un gouvernement incroyable) J'ai adoré écouter l'interview de Nadia Daam dans le podcast Folie Douce avec Lauren Bastide. Une phrase forte : "Quand on est mère, on passe plus de temps à faire qu’à être". Cette réflexion résonne tellement avec ce que vivent de nombreux parents. Et ce qui m'a vraiment interpellée (wow effect), c'est son attention à ne pas rajouter une injonction supplémentaire en conseillant aux parents de "prendre soin d'eux". Elle place le curseur sur le co-llec-tif, et ça, je trouve que c'est génial de le rappeler. On entend partout ce qu'il faudrait faire en tant que mère pour penser à soi : méditer 🧘, faire du sport 🏃, prendre du temps pour soi ☕… Mais on n'a pas toujours le temps, l'argent, la disponibilité mentale, ou même la santé mentale pour le faire. C'est hyper difficile, voire impossible, lorsqu'on est la tête dans le guidon. C'est là que le collectif devient précieux. Lorsque j'ai entendu Nadia Daam en parler, j'ai immédiatement pensé à ces entreprises qui ont envie de prendre leurs responsabilités en prenant soin de leurs salarié·es-parents (ou futurs parents) et à leur faciliter la vie. J'aime l'idée qu'en tant que société, nous pouvons veiller à ce que le bien-être des parents ne repose pas uniquement sur leurs épaules, mais sur un soutien collectif où chacun·e a sa part à jouer 🤝. (✨Emilie Sissoko✨promis j'invite N. Daam à une conf dès que possible et je te fais participer 😆) #Parentalité #SoutienCollectif #NadiaDaam #EntrepriseResponsable #RSE
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🎙️ Et voici l'épisode tant attendu avec Léa Vigier où elle nous partage avec beaucoup d'honnêteté les épreuves qu'elle a traversé et dont elle a réussi à tirer des leçons importantes pour elle. Après 2 burnouts, la perte subite de son papa, le diagnostic de sa maladie bipolaire et une dépression Léa reconsidère entièrement son rapport à la vie, au travail et à sa santé. Cet épisode est une très belle leçon de résilience à toute épreuve, de prise de recul et d'inspiration. Nous abordons des réflexions qui peuvent aujourd'hui parler à beaucoup d'entre-nous : - qu'est-ce que la réussite ? - à quel point est-il possible de se construire un quotidien professionnel qui prenne en compte nos préférences et nos particularités ? - quelle est la place du savoir-être dans le monde du travail ? - comment retrouver le chemin vers soi-même et vers les activités qui nous font vibrer ? Merci Léa de nous avoir partagé ton histoire avec beaucoup de sincérité et de nous inspirer par ton exemple 🤍 Je vous souhaite une excellente écoute ! Lien d'écoute en commentaire 😊
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Il faut qu’on se parle… La phrase qui sème la terreur dans ton couple …et ton entreprise. Dans la vie comme dans le pro, tu sais très bien ce que ça veut dire. Mais t’essaies quand même de te raisonner. Peut-être que c’est pour un changement d’adresse, de situation familiale, une demande d’augmentation, un tour du monde? Mais non non Brigitte, tu vas te faire lourder… Tu commences la conversation mal à l’aise en essayant de saisir tout de suite quel va être le ton de la discussion. Tu demandes comment ça va? Comment va la famille, alors que t’as qu’une chose en tête : « vas-y, crache le morceau! « Dis-moi les banalités d’usage, les : « c’est pas moi, c’est toi… j’ai un peu l’impression d’avoir fait le tour…je crois que ce serait bien pour moi de voir d’autres entreprises… » et face c’est la même: « mais on venait d’acheter un babyfoot »… « qu’est-ce que tu fais de tous nos projets».. « pense à ton équipe, comment ils vont le vivre? ». Comme on dit, 1 de perdu, 10 de PAS retrouvés parce que le recrutement c’est chaud qu’en même en ce moment, mais t’inquiète. Nous on est là pour toi. On est tes potos, ton psy et ton avocat. On sait ce que c’est. Viens, on t’aide à reprendre confiance, à rencontrer quelqu’un d’autre et à gagner la rupture! #StressProfessionnel #VieDeBureau
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La déception du #retour: quand l'absence révèle l'inertie, ou le parallèle entre un/e dirigeant d’entreprise et un/une chef de famille… Dans le cadre de mon travail, je voyage beaucoup pour encadrer des équipes de direction dans la préparation de leur plan stratégique. Il y a quelques années, mes scènes de retour à la maison étaient désolantes: à chaque fois, je m'attendais à revenir dans une maison où chacun aurait contribué à faire avancer les choses...Mais non. 🫠 Quels que soit l’aide et le support prévus en mon absence, je retrouvais systématiquement un désordre écrasant et des tâches restées en souffrance à la maison. Et c’est avec mes copines que je partageais ma déception. Heureusement, aujourd’hui, je célèbre que ce n’est pratiquement plus le cas et que mes efforts de communication et d’éducation ont porté leurs fruits sur mon super mari et mes super enfants ! 🥳 Mon dernier retour à la maison m'a rappelé cette réalité partagée par beaucoup de #dirigeants que j’accompagne. Lorsqu'un #leader prend du recul, même en vacances, il/elle ne cesse de réfléchir à la #stratégie de l’entreprise ou tout autre sujet de fond qui permettrait à l’entreprise de se développer. Et une fois de retour au bureau, le contraste entre attentes et réalité est net: l'absence crée un vide où chacun semble se contenter du strict minimum, laissant des espoirs de croissance et d'innovation lettre morte. 😒 “Comment ne voient-ils pas l’évidence!? On pourrait aller dans le mur sans que personne ne dise rien?” “Sans mon impulsion, les projets stagnent.” La #déception est palpable, que ce soit en tant que responsable d’une famille ou d’une entreprise. On souhaite voir nos proches ou nos équipes prendre des initiatives, s'impliquer et faire avancer les choses. Pourtant, on revient à une réalité où trop souvent, l'inertie l’emporte.😞 Si nous voulons vraiment progresser, nous devons encourager une culture de #proactivité. 💪 Que ce soit à la maison ou au travail, chacun doit se sentir investi(e) dans la mission collective. ➡️Ainsi l'absence d'une personne ne sera pas synonyme de stagnation, mais plutôt d'opportunités pour d'autres de briller. Et dans le cas d’un foyer, l’opportunité d’offrir des preuves d’amour par l’attachement aux valeurs qui font briller le feu. ________________________________________________________ Hi, I’m Julie, Leadership Team Performance Expert. Your management team is facing complex challenges that require everyone to know how to function as a real team? Follow me and accelerate results. Now.
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Un dirigeant me confiait récemment : "J’ai plusieurs enfants, et ça me gêne d’en choisir un pour prendre ma suite. Je ne veux pas qu’ils pensent que j’ai un préféré…" Ce sentiment de culpabilité, cette peur de blesser ou de susciter des jalousies au sein de la famille sont légion. Pas facile en effet, quand il y a plusieurs prétendants à la succession d’en choisir un. Tout le monde n’a pas la chance d’avoir autant d’entreprises à transmettre que d’enfants volontaires pour les reprendre ! Un changement de perspective est donc nécessaire pour traiter ces sujets délicats avec le plus de sérénité possible. - Peser puis assumer son choix - Pouvoir communiquer simplement et clairement sur ce choix - Echanger avec ses enfants et accueillir leurs réactions - Ebaucher ensemble des solutions - Se faire accompagner de tiers dont c’est le métier, médiateurs, conseils de familles, personnes de confiance… Autant d’ingrédients pour sortir de l’ornière des peurs, culpabilités, jugements et doutes qui accompagnent ces transitions. Plus généralement, au lieu de parler du choix d’ un "héritier", nous parlions d’héritage partagé ? Trois clés peuvent être combinées pour fluidifier les transmissions familiales et préserver la paix : 1- Créer un espace de dialogue : Il est crucial de prendre le temps d'écouter les aspirations, les rêves et même les craintes de chacun. En donnant à chaque membre de la famille une voix dans ce processus, on apaise beaucoup de tensions. 2-Donner du sens à chaque rôle : Le fait de ne pas diriger ne signifie pas qu’on n’a pas un rôle clé à jouer. Chacun peut contribuer à la réussite de l’entreprise, de différentes manières. Le leadership peut s'exprimer de mille façons. 3- Respecter l'émotion et le temps : Ce chemin est semé d’émotions fortes – l'angoisse, l’incertitude, mais aussi la fierté. La transmission doit se préparer, pas seulement dans les faits, mais aussi dans les cœurs. Nous avons la chance de le vivre chez Sevenstones, où nous accompagnons les groupes familiaux pour assurer leur transmission et leur pérennité dans la sérénité. C’est un challenge exigeant et magnifique au centre de notre mission et de notre vocation d’entreprise.
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Pour vous expliquer mon why, le fameux pourquoi de mon activité actuelle. J’aurais pu vous raconter une énième fois mon histoire et combien il m’a été douloureux de vivre ce qui a été nommé crise sanitaire. Parce que mon éthique et mes valeurs ont été bafouées. Parce que je n’avais jamais vécu pareille maltraitance et déshumanisation dans les structures de soin où j’exerçais en tant que psychologue. Parce que j’ai eu honte de ce que l’on a fait et m’a imposé de faire. Parce que j’ai vu des résidents mourir de chagrin, glisser, interdits de voir leurs proches et privés de leurs droits. Parce qu’on m’a obligé à faire des choses que je ne voulais pas. Parce qu’on a voulu me contraindre à faire des choses que je refusais de faire. Parce que j’ai été privée de mon travail. Parce que je ne voulais plus reprendre mon métier de psy. Mais je ne le ferais pas. Pourtant, j’avais commencé à le faire. J’ai suffisamment écrit dessus, encore ces jours-ci. J’aurais l’impression de me répéter. Et de ne rien apporter d’utile ou de nouveau. Toutefois, la parole a besoin de se libérer, encore et encore. Je dirais seulement que plus que jamais, je souhaite (re)mettre l’humain au cœur de nos préoccupations, et plus largement le vivant. Prendre le contre-pied de la dynamique mortifère dans laquelle nous sommes embarqués malgré nous ces dernières années. Parce que nous sommes plutôt du côté de la destruction du vivant que de sa préservation et de son respect. J’ai décidé d’écrire pour les acteurs et les entreprises qui ont les mêmes intentions que moi, qui partagent les mêmes valeurs d’humanisme, de bienveillance, d’authenticité et de liberté, qui aspirent à un monde meilleur et qui développent des projets à impact. J’ai décidé de les mettre en valeur sur mon podcast Aujourd’hui, écrivons demain parce qu’ils œuvrent pour le bien de l’Humanité. Et vous, quel est le why de votre activité ? #defibriques J7 #briquesuperindep
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La trilogie des romans du social. Pourquoi ? "Contre vents et marées" clôt la saga de la Trêve et, avec le 3ème chapitre à présent disponible sur le site "lescoulissesdusocial.com", nous atteignons un tournant décisif. La Trêve, à l'image de toute association ou collectif, représente un univers en soi où des individus sans affinités apparentes se croisent. Seules la maladie ou le handicap ont pu les réunir, et c'est l'acceptation de ces épreuves qui leur permet de s'aimer, de travailler ensemble et de vivre leurs aventures, petites ou grandes. Notre ambition est d'exposer les défis des associations : leurs obstacles, leur richesse humaine, leurs structures de gouvernance et leur interaction avec le milieu local. Nous voulons aussi éveiller les consciences aux expériences des personnes handicapées que ces associations soutiennent au quotidien, parfois sur le long terme. Nous espérons avoir su transmettre ne serait-ce qu'un fragment des sentiments qu'éprouvent ces personnes ainsi que les professionnels et bénévoles du secteur social. Pour ce faire, nous avons opté pour l'usage du « je », permettant à chaque personnage de s'exprimer et vous invitant à ressentir intimement leurs émotions et à entrevoir leur singularité. Annie Ernaux illustre parfaitement l'importance du choix du pronom pour un écrivain : la troisième personne est distante, elle laisse l'autre agir à sa guise. Le « je », en revanche, implique le lecteur lui-même, rendant inconcevable – ou inacceptable – qu'il se comporte d'une manière qui ne lui ressemble pas. Le « je » engage le lecteur dans une introspection parfois inconfortable. Avons-nous réussi ? Si oui, nous vous attendons, nous et tous les protagonistes, à venir découvrir la suite de leurs aventures.
Les coulisses du social
lescoulissesdusocial.com
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Récemment, j’ai échangé avec un ami d'enfance devenu entrepreneur qui me confiait les difficultés rencontrées dans son entreprise. Sa principale source de stress ? Il avait choisi d’employer des membres de sa famille. Ce choix, qui au départ semblait d’abord être une bonne. En quelques mois cela s’est transformé en un poids difficile à porter. je lui ai promis de partager son expérience avec mon réseau. Embaucher ses proches peut rapidement brouiller les frontières entre vie personnelle et professionnelle. Les désaccords, qui devraient rester professionnels, se transforment souvent en conflits personnels. Mon ami se retrouvait coincé dans une situation où les tensions familiales prenaient le dessus sur la gestion de son entreprise. Un autre problème qu’il rencontrait était le manque d’objectivité. Lorsqu’un proche sous-performe, il était difficile de lui donner des retours honnêtes ou de prendre des décisions difficiles. Cette difficulté à poser des limites avait des répercussions sur l’ensemble de son équipe. Il a perdu des contrats important. Alors ce choix d’embaucher des proches était-il une bonne idée? Et vous, avez-vous déjà fait face à cette situation ? N’hésitez pas à partager votre avis car il prendra le temps de lire vos.
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La voix de ma semaine La résilience est la capacité à rebondir après un choc affectif. Nous avons tous accès à ce super pouvoir mais il est nécessaire de le développer en ayant la bonne attitude Vous imaginez une vie où chaque embûche nous ébranlerait et s’ajouterait à la précédente pour nous tirer toujours plus bas ? C’est un coup à finir engloutit au centre de la Terre...comme l’écrivait Jules Vernes Sans résilience, imaginez : Votre femme vous quitte...traumatisé à vie, vous devenez incapable d’être amoureux Un licenciement difficile...traumatisé à vie, vous êtes condamné à rester à la maison Vous tombez malade...traumatisé à vie, vous vivez désormais dans une bulle stérile L’objectif de ce processus de résilience est simple : Je tombe...Je me relève en percevant l’épreuve comme une opportunité de croissance. C’est ce qu’exprime Nelson Mandela : « Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends » ! Dans la pratique, vous me direz que ce n’est pas si facile car, oui la résilience est variable selon les circonstances, la nature des traumatismes, les contextes et les étapes de la vie. Le conseil important que je vous partage est d'avoir conscience que le besoin vital est d’accepter ce qui est « ici et maintenant » ! Ainsi, vous vous offrez la possibilité de renforcer votre vitalité au service de votre guérison. NON, ce n’est pas le « monde des Bisounours » mais, OUI la vie peut être belle quand on part du principe que seules nos pensées ont le pouvoir de nous faire souffrir. Alors, servons-nous des spirales négatives qui nous emportent parfois au quotidien pour apprendre à surfer sur les vagues de l’adversité, conscient que tout concourt à notre bien-être en devenir Thierry
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La répartition des tâches reste déséquilibrée mais le dialogue permet des ajustements. C’est lui qui s’occupe des repas, il aime cuisiner, son épouse ne trouve pas agréable le côté répétitif de cette tâche. Je remercie Pascal pour sa confiance; Tout mon soutien à sa transformation et à ses pas 🌟