À l’occasion du 25/11, journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, hommage à Heva, symbole de la résistance des femmes réunionnaises aux violences de la société esclavagiste. Pour (re)découvrir son histoire👇 - en texte : https://lnkd.in/eNSUCN8A - et en vidéo : https://lnkd.in/dPWQ4J2W
La fondation pour la mémoire de l’esclavage
Gestion des associations et fondations
Reconnue d'utilité publique, la Fondation vise à transmettre l’histoire, par la culture, pour la citoyenneté.
À propos
La Fondation pour la mémoire de l'esclavage est une institution privée et autonome qui agit pour l’intérêt général et la cohésion nationale. La Fondation est reconnue d’utilité publique. Son action est soutenue par l’Etat ainsi que par des partenaires privés qui partagent son projet de transmettre l’histoire, par la culture, pour la citoyenneté.
- Secteur
- Gestion des associations et fondations
- Taille de l’entreprise
- 11-50 employés
- Siège social
- paris
- Type
- Administration publique
Lieux
-
Principal
27 rue Oudinot
paris, FR
Employés chez La fondation pour la mémoire de l’esclavage
-
Aïssata SECK
Directrice chez Fondation pour la Mémoire de l'Esclavage
-
Armelle Chatelier
Histoire et Culture / Partenariats / Fundraising / Communication / Numérique
-
Théo Tardy
Politique mémorielle, lutte contre les discriminations et le racisme
-
Catherine Leonidas
Première adjointe - adjointe au Sport et Nautisme - Ville de La Rochelle Conseillère communautaire…
Nouvelles
-
La fondation pour la mémoire de l’esclavage a republié ceci
Certes le rythme est sporadique, mais La botte de Champollion est toujours active ! Au sommaire de ce numéro : ➡️ Miles Greenwood de l'International Slavery Museum s'interroge sur les conditions d'exposition des objets racistes. ➡️ Marion Bertin revient sur le projet d'inventaire du patrimoine kanak dispersé, alors que la Nouvelle-Calédonie vit les conséquences des soulèvements du mois de mai dernier. ➡️ une importante programmation de conférences, tables-rondes et rencontres ces jours-ci, dont plusieurs autour des mémoires de l'esclavage. ➡️ Trois parutions à noter, dont des ouvrages de Ana Lucia Araujo et d'Alexandre Girard-Muscagorry. Tout cela et bien d'autres actualités sur l'héritage colonial et esclavagiste des musées, à lire ici :
-
Inquiétude pour Abdallah Saïd, figure tunisienne de l’aide aux exilés, qui risque d’être poursuivi pour terrorisme. Son arrestation s'ajoute à la persécution des militants qui luttent contre le racisme anti-noirs dans le pays. La FME rappelle l'appel que son président Jean-Marc Ayrault a lancé le 10 mai 2024 à la libération de la militante anti-raciste Saadia Mosbah, qui venait d'être arrêtée et qui n'a toujours pas été libérée. https://lnkd.in/eDqUDrSX
En Tunisie, Abdallah Saïd, figure de l’aide aux exilés, risque d’être poursuivi pour terrorisme
mediapart.fr
-
La fondation pour la mémoire de l’esclavage a republié ceci
November 20 is Black Consciousness Day in #Brazil. The date commemorates the assassination of Zumbi, the leader of Palmares quilombo (the largest and longest-lasting runaway slave community in the Americas) in 1695. Brazil, as perhaps many of you (but not all of you) know, imported the largest number of enslaved Africans in the Americas and has the largest Black population in the Americas and outside Nigeria (the country with the largest population in the African continent). Brazil has been systematically excluded and ignored in the existing books about slavery in the Americas. Very often, no more than a few paragraphs are dedicated to Brazil. I wrote my new book Humans in Shackles: An Atlantic History of Slavery to contribute to changing this trend. The book puts Brazil at the center while also engaging the rest of the Americas and the African continent, which is why I encourage you to read it! #slaveryarchive
-
La FME regrette les propos que le président de la République a prononcés sur Haïti et les Haïtiens dans un lieu particulièrement symbolique de la mémoire mondiale de l'esclavage : le quai de Valongo à Rio de Janeiro au Brésil, 1ère destination de la traite atlantique. Le quai de Valongo est l’endroit à Rio où 900 000 captifs africains ont été débarqués de 1811 à 1831. Classé au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2017, le quai de Valongo est aujourd’hui un site archéologique majeur de l’esclavage et de la traite. Pour en savoir plus sur le quai de Valongo, voir sa présentation sur le site de l’UNESCO : https://lnkd.in/geq2UWVt Alors qu’Haïti est enfoncée ds une crise profonde, la FME rappelle les termes de sa déclaration d'avril 2024 "Haïti brûle, cessons de regarder ailleurs" appelant la France à la solidarité pour le peuple haïtien, au nom de l’urgence et de l’Histoire. Le CA de la FME avait plus particulièrement demandé au gouvernement français : - d’assumer son rôle de puissance membre permanent du conseil de sécurité des Nations Unies en travaillant à une réponse internationale rapide, à la mesure de l’ampleur de la crise ; - d’adapter sa politique d’accueil des réfugiés haïtiens, notamment en suspendant toutes les obligations de quitter le territoire français vers Haïti, au regard de l’extrême gravité de la situation dans le pays ; - de mobiliser davantage en faveur d’Haïti les outils qu’elle a mis en place ou auxquels elle participe, comme le programme PAUSE pour les scientifiques et les artistes en exil, ou l'Alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones en conflit ; - d’ouvrir la question de la réparation à l’égard du peuple haïtien, comme nous y invite un mouvement mondial dans lequel d’autres démocraties européennes se sont déjà engagées, comme l’Allemagne et les Pays-Bas ; - d’inviter les institutions françaises dont l’histoire est indissolublement liée à l’histoire d’Haïti à s’associer elles aussi à cette démarche de reconnaissance, comme l’ont fait avant elles des institutions telles que les banques nationales d’Angleterre et des Pays-Bas. Pour lire la déclaration complète du CA de la FME du 04/04/2024 : https://lnkd.in/e3__2-Ja https://lnkd.in/gzPVR9Yj
Haïti: polémique après des propos d'Emmanuel Macron sur le limogeage du Premier ministre
rfi.fr
-
La fondation pour la mémoire de l’esclavage a republié ceci
Paru aujourd'hui dans le Quotidien de l'Art, merci à la journaliste Jade Pillaudin pour son écoute sensible et son intérêt.
-
La fondation pour la mémoire de l’esclavage a republié ceci
#Histoire #Afrique #Europe 🇪🇺 "Histoires et mémoires des Africains Européens de l’#Antiquité à nos jours" 🖥️ Les vidéos des conférences de Professor Olivette Otele (SOAS University of London) dans le cadre du Cycle Europe du Collège de France sont disponibles. 👉 https://lnkd.in/eCe6NrYK
-
Vous êtes élu ou élue, agent ou agente de collectivité, et vous cherchez des ressources, des conseils, des idées pour commémorer l'esclavage et transmettre les combats pour son abolition ? Retrouvez-nous au #SalonDesMaires, Hall 6, stand D23. #cestnotrehistoire
-
Visite de l'école des directeurs de cabinets sur notre stand, au Salon des Maires et des Collectivités 📍 Aïssata SECK Dorian Cousin Lufian Dongala
-
ESCLAVAGE & MUSIQUE - Une nouvelle série de la FME présentée par Valérie-Ann EDMOND-MARIETTE boursière de thèse FME-Musée du Quai Branly. Aujourd’hui, le 19/11/1988, Kassav’ Victoire de la Musique du meilleur groupe français Il y a tout juste 36 ans, au Zénith de Paris, se déroulait la 4e édition des Victoires de la Musique. C’est sous la présidence d’honneur d’Alain Souchon et de Julien Clerc que Kassav’ (la cassave est une galette à base de farine de manioc) remporte la victoire de la musique du groupe de l’année 1988 devant Animo et les Gipsy Kings. Créé à la fin des années 1970 par Pierre-Edouard Décimus et Jacob Desvarieux, Kassav’ est un laboratoire musical au sein duquel sont synthétisées et réinterprétées les musiques de Guadeloupe et de Martinique mais aussi celles de la Caraïbe. En créant le zouk (en créole martiniquais nom donné une soirée très populaire dans un lieu non prévu à cet effet dans les années 1960-1970), c’est une façon pour eux de se réapproprier les pratiques musicales des esclavisé.e.s héritées de la période coloniale et esclavagiste dans les deux anciennes colonies, et de célébrer la créativité de ces populations. En 1985, à la surprise générale le groupe fait salle comble (8000 places) au Zénith de Paris qui a ouvert un an plus tôt. Le 19 novembre 1988, les membres du groupe ne peuvent être présents à la cérémonie des Victoires. C’est donc en duplex depuis Miami où ils ont un concert qu’ils reçoivent leur prix. Le trophée est remis à leur manager présent à Paris qui le gardera dans son bureau. Plus tard, il sera détruit lors d’un incendie... Cette Victoire de la Musique du meilleur groupe français reçue en 1988 sera la seule remportée par le groupe. Pourtant ils sont aujourd’hui l’un des plus grands groupes français au monde, et les premiers à remplir en 2009!le Stade de France sur leur nom (65 000 spectateurs à l’époque), pour leurs 30 ans de carrière… Un spectacle qui a duré 4 heures !