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📬 L’agence Apur - Atelier parisien d'urbanisme a récemment publié un article en guise d’état des lieux de la filière alimentation et sa résilience pour Paris et La Métropole du Grand Paris (MGP). Voici ce que l’on en retient : Si les collectivités s’emparent de plus en plus du sujet, c’est qu’elles font face à des défis majeurs. L’article estime que pour nourrir les 8,7 M de personnes de la MGP, 11 200 t de denrées sont nécessaires chaque jour. C’est l’équivalent nécessaire pour répondre aux 23,2 M de repas consommés chaque jour dans la MGP. Avec ses 31 562 restaurants (dont 51% dans Paris) et ses 16 000 commerces de distribution dont 8 000 parisiens, la capitale et sa métropole représentent une consommation conséquente. En parallèle, la MGP souffre de moyens insuffisants pour répondre à cette demande. L’article estime ainsi, grâce au calcul des stocks (commerces, particuliers et entrepôts logistiques), une autonomie alimentaire théorique pour Paris de seulement 5 à 7 jours. De la production à la distribution, c’est toute la chaîne d'approvisionnement qu’il faut réinventer afin de répondre à cet enjeu. 🥦 La production agricole à l’échelle de Paris s’élève à 61 sites d'agriculture urbaine soit environ 14 ha de SAU (petit maraîchage, miel, champignons etc.) et à 1640 ha de SAU pour la MGP (principalement grandes cultures et oléoprotéagineux). À cette production insuffisante vient s’ajouter le constat d’un manque d’ateliers de transformation agroalimentaire : Les 83 établissements de transformation alimentaire se situent majoritairement hors Paris et sont le plus souvent dédiés aux céréales, confiserie et produits laitiers. 🏭 Le stockage des denrées figure parmi les défis mentionnés dans l’article à travers un manque d’entrepôts et une absence de stock froid dans la capitale. Si la MGP dispose de bien plus d’ateliers de stockage de denrées alimentaires pour approvisionner la région et la capitale, elle le doit en partie à la plateforme de Rungis. Le MIN de Rungis figure comme un acteur majeur dans l'approvisionnement de Paris avec un flux de denrées vers la capitale estimé à 1661 t/j soit presque 50% du besoin théorique journalier. 🚛 Avec un taux de marchandises circulant par la route de 95%, diversifier les modes de distribution des denrées dans la MGP et dans la capitale paraît nécessaire. Le mode fluvial constitue un potentiel intéressant et commence à être expérimenté notamment pour sa faible empreinte carbone. De même, le réseau ferroviaire pourrait figurer comme une solution pertinente pour désengorger les routes avec des pistes comme la connexion au MIN de Rungis.  Ainsi, Paris et sa métropole disposent de peu de sources d'approvisionnement. Diversifier et décentraliser ces sources, c'est aussi l’ambition du projet AGORALIM, porté par la SEMMARIS, de créer un second pôle de logistique et de transformation de proximité au Nord de Paris. ➡️ https://shorturl.at/VUfLE #autonomiealimentaire #métropolegrandparis

𝐄𝐧 𝐜𝐞 𝐦𝐨𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥’𝐞́𝐜𝐨𝐬𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞 📢 🏢 Nous étions au Salon des Maires et des Collectivités la semaine dernière. L’occasion de constater que bien qu’il y ait plus de 430 Projets Alimentaires de Territoires (France PAT) actifs en France portés par des collectivités, cette dynamique n’était que peu visible sur le Salon hormis un modeste espace dénommé “Atmosphère Résilience Agricole”. 🌾 Et pourtant, la transition écologique des communes, est d’abord et avant tout une transition de modèle agricole et alimentaire. Il nous faut déconstruire une image mentale : la ville durable n’existera jamais. 𝐒𝐞𝐮𝐥 𝐮𝐧 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐞́𝐥𝐚𝐫𝐠𝐢 𝐚̀ 𝐮𝐧 𝐯𝐚𝐬𝐭𝐞 𝐛𝐚𝐬𝐬𝐢𝐧 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞. En effet, notre avenir tient d’abord dans notre capacité collective à diversifier notre agriculture. Ce n’est pas une transition parmi d’autres, mais LA transition pour produire de la biodiversité moteur de fertilité et de résilience, développer une bio-économie post-pétrole (biomatériaux, bioénergie, bioactifs), soutenir le développement d’une agriculture contenant la juste proportion d’élevage indispensable à l’auto-fertilité des systèmes. 🌿Cette transition vers une agriculture régénérative implique une profonde reconnexion au Vivant et au territoire. Il s’agit de passer 𝐝’𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐏𝐄𝐑𝐅𝐎𝐑𝐌𝐀𝐍𝐓 𝐞𝐭 𝐞𝐱𝐭𝐫𝐚𝐜𝐭𝐢𝐟 (la biomasse produite quitte le territoire à 95%+) 𝐚̀ 𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞 𝐑𝐎𝐁𝐔𝐒𝐓𝐄 𝐞𝐭 𝐜𝐢𝐫𝐜𝐮𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞, où la biomasse est valorisée majoritairement sur son territoire pour de multiples usages alimentaires et non alimentaires. Cette 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐧𝐧𝐞𝐱𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐮 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐮 𝐕𝐢𝐯𝐚𝐧𝐭 est au cœur des politiques publiques à travers de 𝐦𝐮𝐥𝐭𝐢𝐩𝐥𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐯𝐢𝐞𝐫𝐬 comme par exemple : les PAT, la loi ZAN, les agences de l’eau, la restauration collective, les marchés d’intérêts nationaux. Au-delà de la mobilisation des acteurs engagés, il est désormais temps de 𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐫 𝐥’𝐞́𝐜𝐡𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭𝐬 et concevoir les infrastructures des nouvelles chaînes alimentaires de proximité. Entreprise à mission, Foodbiome accompagne les acteurs publics à restaurer le lien alimentation-territoire à travers plusieurs offres concrétisant la mise en oeuvre de grands projets : 👉 Structurer des filières alimentaires de territoire : https://shorturl.at/T4wPd 👉 Développer des infrastructures de résilience alimentaire (ex : ateliers de transformation, hubs circuit-court) : https://shorturl.at/nRY94 👉 Opérationaliser son PAT : https://shorturl.at/tTVFV 👉 Créer un incubateur des entrepreneurs du Vivant : https://shorturl.at/o1eWv Nous serions ravis d’en discuter avec vous, écrivez-nous à contact@foodbiome.fr ou sollicitez-nous directement sur Linkedin Jean-Philippe QUERARD et Adrien Delepelaire #PAT #collectivités #salondesmaires #agriculture

🌾 Ils rendent nos territoires comestibles La 𝐅𝐞𝐫𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐧𝐯𝐨𝐥 est une exploitation agricole située à 45 min au Sud de Paris. Cette 𝐟𝐞𝐫𝐦𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 se déploie sur plusieurs dizaines d’hectares et a pour ambition d’y développer un véritable 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐨𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞. Porté par Cœur d'Essonne Agglomération dans le cadre du projet 𝐒𝐞́𝐬𝐚𝐦𝐞, ce projet a vu le jour en 2020 après avoir été lauréat du programme 𝐓𝐈𝐆𝐀, les ambitions sont toujours les mêmes : faire de cette exploitation et de ses engagements, un écosystème agricole et alimentaire viable au service de son territoire. Ce projet traduit l'agroécologie par des 𝐞𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐟𝐨𝐫𝐭𝐬 tels que des 𝐠𝐚𝐫𝐚𝐧𝐭𝐢𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐬𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐢𝐜𝐮𝐥𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬. La 𝐅𝐞𝐫𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐧𝐯𝐨𝐥 figure comme un modèle 𝐞𝐱𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥 𝐞𝐭 𝐝𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐟 pour répondre aux enjeux de l'agriculture d’aujourd'hui afin de proposer des solutions pour celle de demain. ➡️ Découvrez ce projet inspirant qui expérimente les pistes de l'agriculture de demain. #agroécologie #TIGA #agriculturedurable #alimentationdurable #circuitcourt Ambre Germain

🏭 𝟒 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢-𝐩𝐫𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐮𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐢𝐦𝐚𝐠𝐢𝐧𝐞𝐫 𝐥’𝐢𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨-𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫 🌾 Notre modèle agroalimentaire actuel est le résultat d’un mouvement continu de massification et de mondialisation depuis la seconde guerre mondiale, et fait aujourd’hui face à une quadruple impasse (i) une faible résilience face aux crises, (ii) une dépendance aux monocultures intensives épuisant les écosystèmes, (iii) un impact indéniable sur la santé et (iv) une incapacité à rémunérer dignement nos agriculteurs. Si nous pouvions repartir d’une page blanche, sur quels parti-pris pourrions-nous fonder notre chaîne agro-alimentaire pour qu’elle embrasse tous les enjeux ? 📄 Nous avons publié en janvier dernier un article qui présente 𝟒 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢-𝐩𝐫𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐮𝐩𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐢𝐦𝐚𝐠𝐢𝐧𝐞𝐫 𝐥’𝐢𝐧𝐝𝐮𝐬𝐭𝐫𝐢𝐞 𝐚𝐠𝐫𝐨-𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐮 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫 : 🐟 𝐃𝐞 𝐥𝐚 𝐛𝐚𝐥𝐞𝐢𝐧𝐞 𝐚𝐮 𝐛𝐚𝐧𝐜 𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧𝐬  ➡️ 𝐃𝐮 𝐟𝐥𝐮𝐱 𝐭𝐢𝐫𝐞́ 𝐚𝐮 𝐟𝐥𝐮𝐱 𝐩𝐨𝐮𝐬𝐬𝐞́ 🌾 𝐃𝐮 𝐬𝐭𝐚𝐧𝐝𝐚𝐫𝐝 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐝𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 📍 𝐔𝐧 𝐫𝐞́𝐚𝐧𝐜𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐫𝐢𝐚𝐥 Vous êtes passés à côté ? Ci-dessous les principaux éléments présents dans l’article  ⤵️ Et si ce sujet vous intéresse, retrouvez notre article complet sur notre site ➡️ https://shorturl.at/QhOC0 #agroalimentaire #agriculture #alimentation #industrie #transformation

Welcome onboard ! 👋 Nous avons le plaisir d'accueillir cette semaine Kim Godson qui vient compléter l'équipe FoodBiome en tant qu'Analyste Alimentation et Territoires 🌱 🎓 Diplômée de l’Université Paris Dauphine- PSL en Business Transformation, Kim a passé un an et demi à sélectionner des projets à fort impact, d’abord chez Share it, accélérateur Tech for Good porté par Ashoka, puis chez AFI Ventures, fonds d’investissement à impact soutenu par Ventech. 👉🏻 Kim rejoint aujourd’hui FoodBiome en tant qu'Analyste Alimentation et Territoires, où elle intervient pour structurer les activités d'incubation et de financement 💸, accompagner les entrepreneurs de notre portefeuille, et soutenir notre activité de conseil 📄 Bienvenue à elle ! #recrutement #alimentation #agriculture #incubateur #financement

𝐋𝐮𝐭𝐭𝐞𝐫 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐚𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐫𝐮𝐫𝐚𝐥 🤝 La Chaire Unesco Alimentations du monde et la FEDERATION DES ACTEURS DE LA SOLIDARITE OCCITANIE ont co-organisé l’année dernière une rencontre sur le thème de la précarité alimentaire en milieu rural. Voici ce que l’on retient de leur note de synthèse associée ⤵️ Loin des idées reçues qui associent les campagnes au « bien manger », les habitants des espaces ruraux rencontrent des freins multiples dans l’accès à l’alimentation. Bien que plus agricoles 🌾 , ces territoires ne sont pas nécessairement plus nourriciers, car souvent très spécialisés sur certaines cultures. De plus, les faibles densités d’infrastructures, la distanciation physique et culturelle entre producteurs et consommateurs ou encore le contexte d’interconnaissance, rendent particulièrement compliqué l’accès à une alimentation suffisante, choisie et de qualité. 𝐏𝐚𝐫𝐦𝐢 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐢𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐝’𝐚𝐜𝐜𝐞̀𝐬 𝐚̀ 𝐥’𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐫𝐮𝐫𝐚𝐥 :  🚛 Enjeux de mobilité spécifiques : dépendance à l’automobile liée à une faible densité commerciale (en France, 90 % des déplacements pour les achats alimentaires sont effectués en voiture), et coûts importants induits pas ces déplacements 🕦 Contraintes temporelles renforcées : peu d’amplitude horaire pour les marchés et commerces de proximité, et souvent peu de créneaux de distribution pour l’aide alimentaire. 👫 L’interconnaissance entre bénévoles et bénéficiaires de l’aide alimentaire peut représenter un frein dans le recours à ces dispositifs, bien que les initiatives de solidarités alimentaires jouent souvent un rôle intégrateur pour des nouveaux habitants ou des personnes isolées. 𝐏𝐚𝐫𝐦𝐢 𝐥𝐞𝐬 𝐥𝐞𝐯𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬𝐞́𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐟𝐨𝐮𝐫𝐧𝐢𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐬𝐞𝐬 𝐚𝐝𝐚𝐩𝐭𝐞́𝐞𝐬 : 📍 Dispositifs itinérants pour aller à la rencontre des personnes en situation de précarité dans les zones isolées (épiceries mobiles, multiplication de points de distribution de proximité etc) 🏢 Sensibilisation et mobilisation des élus locaux pour qu’ils facilitent les initiatives et les coopérations entre les structures de solidarités et commerces de proximité 👩🏻🌾 Création de lien avec les producteurs locaux, en trouvant un prix juste pour chacun tout en composant avec les contraintes logistiques accentuées en milieu rural 🤝 Encourager la participation citoyenne pour que chacun puisse partager ses retours sur l’accès à l’alimentation, la définition du « bien manger », et pour mieux connaître les acteurs et ressources de son territoire 🌱 S’appuyer sur les Projets Alimentaires Territoriaux (PAT) et leurs actions pour faire évoluer les modèles à l’échelle locale Pour en savoir plus, consulter la note complète sur le site de la Chaire Unesco Alimentations du monde ⤵️

🚀 Ils changent l'échelle des circuits de proximité 𝑀𝑒́𝑡𝑟𝑜 - 𝑏𝑜𝑢𝑙𝑜𝑡 - 𝑝𝑜𝑖𝑟𝑒𝑎𝑢 🌱 Cette semaine on vous présente Slasheurs-cueilleurs, une association qui ambitionne de rapprocher deux mondes aujourd’hui bien éloignés : le secteur tertiaire en quête de sens, et le monde agricole en manque de main d'œuvre. 𝐋𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐚𝐭 : si 1/5 des actifs en France décidaient de travailler dans l’agriculture 1 jour par semaine, on arriverait au million d'agriculteurs dont on a besoin pour concrétiser une révolution agroécologique (source : The Shift Project et la Confédération Paysanne) 👩🏻🌾👩🏻💼 𝐋𝐚 𝐬𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫 Slasheurs-cueilleurs : sensibiliser et accompagner celles et ceux qui le souhaitent vers la pluriactivité, via la mise en place de temps partiel agricole 🗓 🍇💼 C’est par exemple le cas de Jules, consultant 10 mois de l’année et vigneron pendant 2 mois, ou encore Marie, consultante RH et cidrière 30% de sa semaine ➡️ Un projet qui démontre que d’autres façons d’envisager le salariat sont possibles, pour que chacun.e puisse, à son échelle, faire sa part, et contribuer à la transition agricole et alimentaire. Découvrez notre entretien avec Lola Dubois, co-fondatrice de l'association, sur notre site internet ⤵️ Julien Maudet Lola Dubois Nicolas Baleynaud #agriculture #durable #reconversion #tempspartiel #agroécologie

Bon dimanche 🍀 recrute ! Fondée par Edouard Fouquet et Éléonore Beau, Bon dimanche propose des glaces bio, issues de productions laitières agroécologiques 🐄, et produites à Saint-Nom-la-Bretèche dans les Yvelines (78). Aujourd’hui distribuées dans plus de 150 magasins bio de la région, leur gamme comprend des crèmes glacées et des sorbets aux recettes simples et gourmandes 🍦😋. 🛒 Après une belle croissance au sein du réseau bio, Bon dimanche se lance dans l’ouverture de ses propres boutiques en Île de France, et recherche ainsi un·e late co-founder pour développer ce réseau ! Vous êtes intéressés ou connaissez quelqu’un qui pourrait l’être ? N’hésitez pas à répondre et à relayer cette offre ! 💼 👉 https://lnkd.in/eHYmK4Ng

En ce moment dans l’écosystème 📢 🎤 Nous avions le plaisir d’intervenir lundi dernier à l'occasion du webinaire “𝐿𝑜𝑔𝑖𝑠𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒, 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑡 𝑑𝑖𝑠𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑒́𝑔𝑢𝑚𝑖𝑛𝑒𝑢𝑠𝑒𝑠 𝑎̀ 𝑔𝑟𝑎𝑖𝑛𝑒𝑠 : 𝑒𝑛𝑗𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑣𝑖𝑒𝑟𝑠” dans le cadre du projet FiLoLéG Filière Locale de Légumineuses à Graines, qui structure la filière légumineuses dans la Région Hauts-de-France. En synthèse des intervenants : . Adrien Delepelaire, DG de FoodBiome a évoqué les enjeux de transformation des légumineuses pour faciliter leur usage en cuisine 🧆 . @Yann Bertin de la SCIC Graines Equitables a présenté l’outil de première transformation de céréales et légumineuses, visant à valoriser des productions issues d’une agriculture agroécologique 🌾 . Florent Desmazièresère de Vivien Paille a évoqué les innovations de gammes de légumineuses précuites et prêtes à l’emploi en cours de développement 👨🏻🍳 Vous l'avez manqué ? Retrouvez l'intégralité du webinaire sur youtube ⤵️ #agriculture #legumineuses #cuisine

🔎 𝟑 𝐩𝐫𝐢𝐧𝐜𝐢𝐩𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐫𝐞𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐟𝐬 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐫𝐯𝐢𝐜𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐱𝐢𝐦𝐢𝐭𝐞́ 🚜 Le modèle des coopératives émerge au 19 ème siècle, dans le but de mutualiser les ressources et de défendre les intérêts économiques et sociaux de leurs adhérents. Cependant, certaines d’entre elles ont connu un tel développement depuis une trentaine d’années (rachat, mutualisation), qu’elles sont désormais considérées comme des multinationales à part entière. Face à cette massification leurs adhérents pâtissent d’une perte d’ADN, ainsi que de leur pouvoir entrepreneurial ; à savoir la solidarité et la défense des intérêts des adhérents 🤝. ➡️ On remarque toutefois l’émergence de nouveaux modèles coopératifs, tentant de sortir des schémas de gouvernance des sociétés capitalistes traditionnelles et plus adaptés aux systèmes alimentaires durables. Que ce soit des coopératives d’entreprises (les CUMA), de production (les SCOP) ou encore multi-sociétariales (les SCIC), chacune présentent caractéristiques et des avantages spécifiques, contribuant ainsi à la diversité et à la résilience du mouvement coopératif. Selon nous, le succès de ces 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐦𝐨𝐝𝐞̀𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐟𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐟𝐢𝐥𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐱𝐢𝐦𝐢𝐭𝐞́ 𝐫𝐞𝐩𝐨𝐬𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝟑 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢-𝐩𝐫𝐢𝐬, détaillés en mai dernier dans un de nos articles :  📍 𝐋’𝐚𝐧𝐜𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐥 𝐞𝐭 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐫𝐢𝐚𝐥 𝐟𝐨𝐫𝐭  👉🏻 𝐋𝐚 𝐬𝐩𝐞́𝐜𝐢𝐚𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐚𝐫 𝐟𝐨𝐧𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐩𝐚𝐫 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́ 🏢 𝐋𝐞 𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐞𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐥𝐞𝐬 Vous êtes passés à côté ? Ci-dessous les principaux éléments présents dans l’article  ⤵️ Et si ce sujet vous intéresse, retrouvez notre article complet sur notre site ➡️ https://shorturl.at/aeMhc #cooperatives #locales #agriculture #alimentation #durable