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    Voir le profil de Julien Baldacchino, visuel

    Journaliste numérique à France Inter

    Trouver des alternatives au marché de l'art, et à ses prix qui flambent : c'est le défi que se sont lancées deux artistes, Clara Citron et Sirine Ammar, toutes deux diplômées de grandes écoles d'art, et une ancienne galeriste, Clémentine Dupont Tissot. Leur création : une application, nommée ATFU (pour "À toutes fins utiles"), pensée pendant la crise du Covid et lancée il y a deux ans. Sur les murs de son appartement, le sculpteur Tommy Lecot possède des œuvres d'autres artistes. Et c'est sur la plateforme Atfu qu'il les a obtenues : le service propose aux artistes, depuis son lancement, de troquer ses œuvres avec celles d'autres artistes. Pour lui, chaque troc représente avant tout une rencontre et un temps d'échange avec d'autres artistes : "Le plus enrichissant, pour ma part, c'est qu'au moment du troc, on va rencontrer l'autre dans son atelier. C'est vraiment une rencontre humaine, en plus d'échanger une œuvre, on échange des idées, un regard sur les choses, et pourquoi pas, engendrer des nouveaux projets." Créer des liens, un réseau entre artistes, c'est l'idée de l'application dont l'interface ressemble à celle des applications de rencontres : les utilisateurs "swipent" des œuvres, à gauche si elles ne plaisent pas, à droite si c'est un coup de cœur. Toutes les œuvres sont anonymes dans un premier temps, et contrairement aux sites de rencontres (et aux réseaux sociaux), la sélection, en plus d'être anonyme, est aléatoire, pas gérée par un algorithme. Longtemps réservée aux artistes, elle s'ouvre à tous depuis quelques jours : et s'il devient possible d'acheter une œuvre en faisant une proposition de prix, le troc reste de mise : "On a ouvert l'application au grand public, vous pouvez proposer un troc, un échange de services, ou formuler une offre d'achat", explique Sirine Ammar. "On a eu la mise à disposition d'une maison de campagne pour un artiste, des conseils juridiques, des séances d'ostéo... tout ce qu'on sait faire, en fait". Quelque 3000 œuvres ont été échangées en deux ans sur l'appli, avec des artistes venant d'une vingtaine de pays. Les créatrices espèrent aller plus loin avec cette version grand public et lancent un financement participatif pour assurer son fonctionnement. C'était sur France Inter il y a quelques jours, et à lire et réécouter ici : https://lnkd.in/eMy46fy3

    "Atfu" : une application propose de troquer une œuvre d'art, plutôt que de l'acheter

    "Atfu" : une application propose de troquer une œuvre d'art, plutôt que de l'acheter

    radiofrance.fr

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    Pierre Haski Pierre Haski est un Influencer

    On ne peut être que soulagé de voir enfin un cessez-le-feu entrer en vigueur ce matin sur l’un des fronts qui se sont enflammés au Proche Orient depuis un an. Pour les Libanais comme pour les habitants du nord d’Israël, c’est non pas la paix, mais l’arrêt de la guerre - et c’est déjà beaucoup. Jusqu’au bout, l’aviation israélienne a pilonné des cibles au Liban, y compris massivement hier au centre de Beyrouth, semant la panique. Au même moment, Benyamin Netanyahou réunissait son gouvernement et faisait adopter l’accord par ses alliés d’extrême droite, comme toujours jusqu’au-boutistes. L’objection des « durs » du gouvernement : le Hezbollah n’a pas été éliminé, même s’il a été considérablement affaibli, notamment par la mort de son chef, Hassan Nasrallah. Le Hezbollah va reculer au nord du fleuve Litani, il ne sera plus à la frontière avec Israël ; mais il n’a pas disparu et peut redevenir menaçant, privant Israël d’un de ses buts de guerre. La suite de ma chronique Géopolitique du 7/10 de France Inter est à retrouver ici 👇

    Netanyahou accepte le cessez-le-feu au Liban pour mieux poursuivre la guerre à Gaza

    Netanyahou accepte le cessez-le-feu au Liban pour mieux poursuivre la guerre à Gaza

    radiofrance.fr

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    Pierre Haski Pierre Haski est un Influencer

    Voici comment le site « Le Grand Continent » décrivait hier le candidat arrivé en tête de la présidentielle en Roumanie, Călin Georgescu : « spécialiste du développement durable, pro-russe, accusé d’antisémitisme, qui doit son succès surprenant à une campagne Tik Tok ». Tous les mots-clés de notre époque y sont. Ainsi on peut être à la fois écolo, pro-russe, antisémite, et, moins surprenant, percer dans une élection grâce à Tik Tok, la plateforme sociale chinoise aux courtes vidéos addictives, où il se met en scène à cheval, en judoka… comme un certain Vladimir Poutine. Călin Georgescu est surtout le candidat que personne n’a vu venir. Cet ultranationaliste aux positions négationnistes était à peine pris en compte par les sondages ; mais il a laissé sur place le candidat officiel de l’extrême droite, arrivé quatrième ; et il est en tête pour le second tour dans deux semaines. C’est un nouvel électrochoc politique dans un pays européen, et pas n’importe lequel : membre de l’UE et de l’OTAN, riverain de la mer Noire comme l’Ukraine et la Russie, abritant sur son territoire un bouclier antimissile américain et un contingent de l’OTAN, dont 1000 soldats français, sur place depuis l’invasion de l’Ukraine en 2022. La suite de ma chronique Géopolitique du 7/10 de France Inter est à retrouver ici 👇

    En Roumanie, la percée d’un ultranationaliste sur fond de peur de l’extension de la guerre

    En Roumanie, la percée d’un ultranationaliste sur fond de peur de l’extension de la guerre

    radiofrance.fr

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    Journaliste numérique à France Inter

    C'est la vidéo qui a beaucoup fait parler cette semaine, et elle est signée par l'influenceuse la plus suivie de France, Lena Mahfouf, alias Lena Situations : elle y araconte un défi qu'elle s'est lancée... passer un mois sans écrans. Un mois de déconnexion par palier jusqu'au blackout total pour la créatrice aux 2,8 millions d'abonnés sur YouTube et 4,7 millions sur Instagram, où l'on réalise que pour prendre la voiture il faut revenir aux bonnes vieilles cartes routières, ou qu'il faut avoir une bonne mémoire des plaques d'immatriculation quand on appelle un taxi. Pour être honnête, quand j'ai proposé ce sujet de chronique au 6/9 de France Inter, je m'attendais à assez facilement critiquer le parti pris de cette déconnexion, facile pour quelqu'un comme Lena Situations qui est cheffe d'entreprise de passer au travers de tout un tas de passages obligés par les écrans, moins facile pour tout un chacun. Depuis la sortie de la vidéo la créatrice a été très attaquée sur ce point. Mais après avoir regardé les 45 minutes de cette vidéo, je dois reconnaître m'être trompé : Lena Situations est consciente de son privilège, elle revient régulièrement sur cette question et sa vidéo est moins un "tuto déconnexion" qu'une expérience autour de sa propre santé mentale et la met souvent face à sa propre solitude. Tout n'est pas parfait dans cette expérience évidemment, on reste un peu dubitatif par exemple sur la question du cinéma, compté comme un écran comme les autres, ou la musique qui n'est prise que par le prisme des plateformes de streaming... comme si réduire sa consommation d'écrans voulait forcément dire réduire son champ de vision culturel. Cela signifie-t-il qu'il est impossible, pour nous tous, de vivre sans écrans ? Ce n'est effectivement pas facile, ne serait-ce que dans les espaces de travail. Mais il y a tout de même beaucoup de solutions intermédiaires pour chacun et chaune pour réduire sa consommation. Les fonctions de gestion du temps d'écran des iPhone comme des téléphones Android sont bien trop peu utilisées, elles permettent de limiter l'utilisation sur des heures données... Et d'autres services bloquent même l'ouverture d'autres applis pour vous obliger à poser votre smartphone avant d'aller courir les réseaux sociaux. Bref, ce mea culpa, je l'ai fait ce matin dans #NetPlusUltra, sur Inter : https://lnkd.in/eYtzJzAd

    Un mois de détox numérique : le défi de Léna Situations face à l'emprise, parfois toxique, de ses écrans

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    Spécialiste Environnement France Inter

    A Bakou, est-ce une COP pour rien ? Vu d'une Europe inondée et meurtrie comme en Espagne, vu de pays d'Afrique asséchés, vu des petites îles du Pacifique bientôt englouties, on aurait dû assister, en Azerbaïdjan, à une course mondiale des géants pour le climat. Au lieu de cela, la COP29 s'est transformée en course de lenteur. En principe, les 196 parties présentes devraient se retrousser les manches pour empêcher de futures catastrophes. Vous ne trouvez pas ? On a plutôt assisté à une bataille rangée entre le nord et le sud. Avec des géants qui restent un peu trop discrets sur le banc de touche : la Chine, première émettrice de gaz à effet de serre, joue encore cavalier seul. Les Etats-Unis, peut-être anesthésiés par l'élection de Donald Trump, ne sont pas moteurs. L'Europe veut bien courir, mais pas toute seule. Et en face les pays du sud s'impatientent. "C'est un jeu de postures assez triste, admet Sébastien Treyer de l'Iddri, l'Institut du développement durable et des relations internationales, "un jeu digne d'un monde d'avant, mais pas digne des enjeux environnementaux du moment". Et pourquoi ces blocages sont-ils si forts ? Parce que ces conférences de l'ONU sont de plus en plus dépendantes des conflits. Ukraine, Proche-Orient. "Elles sont de moins en moins dans une bulle, hermétique", selon le spécialiste de géopolitique François Gemenne et "ça ne va pas s'arranger" selon lui. Cette année, les négociateurs à Bakou ont passé de longues heures à attendre les résultats du G20 au Brésil. Les tensions entre la Russie, l'Azerbaïdjan, et l'Europe ont aussi freiné la course. Et puis c'est lié enfin au choix des pays qui accueillent ces conférences. En Egypte, à Dubaï, ou à Bakou, les lobbies pétroliers étaient bien plus en position de force qu'à Paris ou à Glasgow. Mais alors il faut réformer les COP ? Peut-être ! Certains experts du climat, dont l'ancien secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon Centre for Global Citizens ont envoyé une lettre ouverte, assassine, sur ces COP. Pour eux, elles ne sont plus adaptées à l'urgence. Il faut les réformer et les organiser uniquement dans des pays qui veulent sortir des énergies fossiles. Le but est de limiter le nombre de lobbyistes du pétrole par exemple. Pour François Gemenne, "les règles doivent en effet évoluer, car le consensus est quasi impossible". Sinon on aura des COP à moitié vides ! En France, la semaine prochaine, on s'intéressera à l'A69 entre Toulouse et Castres ! Vous avez les images en tête, les écureuils, ces militants perchés dans les arbres pour s'opposer à la construction de cette autoroute ? Lundi, le tribunal administratif de Toulouse se penchera sur la légalité des travaux. Un coup de théâtre est possible car le rapporteur public va dans le sens des militants. Dans cette course des géants, qui patine, une petite victoire locale serait pour eux un énorme pas en avant ! https://lnkd.in/eHyuaZxF

    A Bakou, une COP pou rien ?

    A Bakou, une COP pou rien ?

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    Voir le profil de Pierre Haski, visuel
    Pierre Haski Pierre Haski est un Influencer

    C’est une déclaration étonnante, et plutôt contre-intuitive : Tsai Ing-wen, l’ex-Présidente de Taiwan, a demandé hier aux Américains de privilégier les livraisons d’armes à l’Ukraine plutôt qu’à son propre pays, pourtant menacé par la Chine. Explication : elle estime que la résistance de l’Ukraine à l’invasion russe sert de dissuasion à la Chine dans ses visées sur Taiwan, alors qu’un effondrement pourrait encourager Pékin à passer à l’acte. Le raisonnement n’est pas nouveau : on a beaucoup dit que la débâcle du retrait américain de Kaboul, le 15 août 2021, avait pu encourager Vladimir Poutine dans sa décision d’envahir l’Ukraine six mois plus tard. Les Taïwanais observent la guerre en Ukraine depuis le début, à la fois sur le plan militaire, mais aussi politique. Mais c’est la première fois qu’une telle personnalité -l’ex-Présidente a la liberté de parole dont ne dispose pas son successeur- évoque ainsi les conséquences pour l’Asie d’un éventuel lâchage de l’Ukraine par les États-Unis, sous-entendu par la future administration Trump. La suite de ma chronique Géopolitique du 7/10 de France Inter est à retrouver ici 👇 https://lnkd.in/e55RNCGZ

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