L'heure de vérité…
En France nous utilisons 1,6 kg de savon liquide par habitant en moyenne. Quand on prend en compte que 90% des ces formules sont constituées d’eau, et que tout cela est souvent transporté des milliers de kilomètres de l'usine jusqu'aux magasins jusqu'aux salles de bains (où l'eau ne manque pas).
Mais quelle est vraiment la différence d'empreinte carbone entre les gels lavants mains en poudre à reconstituer less is more et les offres concurrentes vendues liquides ? Nous avons voulu en avoir le cœur net, avec des chiffres détaillés et objectifs, obtenus par un institut indépendant.
Nous venons donc de mener une étude avec Fairglow, plateforme spécialisée dans la quantification des empreintes carbone, en nous comparant par rapport à 3 concurrents renommés (une marque australienne, l'autre suédoise et la troisième française). Tous proposant un système de bouteille rechargeable et des recharges vendues séparément.
Nous avons analysé à la fois les produits finis (bouteilles pleines) et leurs recharges. Fairglow prend en compte les émissions de gaz à effet de serre (GHG) et veille à la conformité avec les réglementations environnementales telles que le GHG Protocol et la CSRD.
Les résultats:
💪 Pour une bouteille remplie à contenance équivalente, less is more génère tout au long de son cycle de vie:
3,7 fois moins de CO2 que le produit de la marque suédoise,
3,6 fois moins que celui de la marque australienne,
1,7 fois moins que celui de la marque française.
Le packaging de l'approche less is more, avec la bouteille rechargeable en PET 100% recyclée et des sachets de recharge en papier, génère
8 fois moins de CO2 que celui de la marque suédoise
4 fois moins que la marque australienne
2 fois moins que le concurrent français.
Au niveau distribution, less is more produit
60 fois moins d’émissions que son concurrent australien
20 fois moins que la marque suédoise
5,5 fois moins que son concurrent français !
En ne regardant uniquement les recharges, less is more est de 3 à 6 fois plus vertueux que ses concurrents. Et le sachet en papier à lui seul génère 4 fois moins de CO2 que la recharge en plastique du concurrent français.
L'idée n'était pas de pointer des doigts un concurrent particulier, mais de proposer une étude de benchmarking à paramètres variables, et de pouvoir tirer des conclusions pour continuer à mettre en place des solutions alignées avec notre objectif : de minimiser autant que possible notre impact sur l’environnement.
L’un des autres enseignement est qu’une bouteille en verre de 500ml, associée à nos recharges en poudre, génère seulement 9 % de plus de CO2 à travers tout son cycle de vie que la bouteille 250 ml en PET 100% recyclé - tout en restant nettement en dessous des émissions de nos concurrents. Ce qui nous conforte de proposer aussi cette solution.
Envie d’en savoir plus sur notre approche? Laissez vos commentaires ci-dessous, on est ravis d’échanger.