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TEC/CRIAC - TRAVAIL ET CULTURE

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Organisations civiques et sociales

Roubaix, Hauts-de-France 570 abonnés

À propos

Association culturelle d’éducation populaire, TEC/CRIAC (Travail et Culture) fonde son action sur la conviction que toute personne est détentrice et productrice de culture et que le travail est porteur de culture. Elle mène à partir du territoire des Hauts-de-France, et de plus en plus régulièrement sur d’autres territoires en France et à l’étranger, des projets culturels et artistiques sur et avec le monde du travail.

Secteur
Organisations civiques et sociales
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Roubaix, Hauts-de-France
Type
Non lucratif

Lieux

Employés chez TEC/CRIAC - TRAVAIL ET CULTURE

Nouvelles

  • TEC/CRIAC - TRAVAIL ET CULTURE a republié ceci

    Avant la fin de l'année, les réseaux LinkedIn animés par l'APSE - Association Pour la Sociologie de l'Entreprise auront franchi (en cumulé) le cap des 10 000 membres. La page APSE est alimentée sur un rythme hebdomadaire ou bi-hebdo et permet de ne rien manquer des activités proposées par l'association : https://lnkd.in/dbK9N4ea Le groupe d'échanges APSE : https://lnkd.in/dD7DkEC est animé quotidiennement (souvent vers 8h). Il propose une veille sur l'actualité de la sociologie des entreprises et des sciences sociales du travail par une mise en valeur des évènements, publications, revues, articles de nos partenaires amis, des labos, des associations académiques, des organismes d'études qui nous sont proches. Enseignants, chercheurs, doctorants, étudiants, consultants, formateurs, salariés, managers, dirigeants, syndicalistes, citoyens, vous êtes bienvenus pour démontrer la richesse et l'utilité du croisement des regards sociologiques dans et sur les organisations privées, publiques, associatives, de toutes sortes. L'ambition de ces réseaux est aussi de développer des relations, dans un esprit d'intérêt général, entre les "professionnels" utilisateurs de LinkedIn et le monde de la recherche qui y est de plus en plus présent, comme l'illustrent les liens suivants : Association française de sociologie LEST - Laboratoire d'Economie et de Sociologie du Travail Lise, Cnam-CNRS Centre Émile Durkheim Centre Pierre Naville (CPN) Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques ( Clersé ) Centre Norbert Elias Centre Nantais de Sociologie Centre de sociologie des organisations CERLIS Certop, Centre d'Étude et de Recherche Travail Organisation Pouvoir CURAPP-ESS LATTS - Laboratoire Techniques, Territoires et Sociétés MSH Paris-Saclay Laboratoire Pacte Printemps - Professions, Institutions, Temporalités EHESS - École des hautes études en sciences sociales Nos principaux partenaires associatifs (non académiques) sont : Nonfiction.fr Association française de communication interne (Afci) Institut du Travail et du Management Durable (ITMD) La Compagnie Pourquoi se lever le matin! TEC/CRIAC - TRAVAIL ET CULTURE CIRFIP - Centre international de recherche, formation et intervention en psychosociologie et bien entendu la revue : Sociologies Pratiques Pour nous découvrir plus en détail : Notre site internet : https://web.apse-asso.fr/ Notre médiathèque Youtube : https://lnkd.in/ef8FXUWN Des ressources pour comprendre et agir !

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  • ─ RÉSIDENCE D'ARTISTES EN ENTREPRISE ➡️ À l'usine, Les artistes plasticiens Maxime Brygo et Ciel Grommen, invités en résidence artistique dans l’usine automobile Stellantis Valenciennes par Travail & Culture, ont fabriqué une « machine à habiter ». Elle s'appelle « Météore » ! C'est une machine faite d’éléments recyclés de lignes de production de l’usine. Elle y est installée en ce moment, elle trône au milieu des autres lignes... Elle intrigue ou passe inaperçue. Certains remarquent son étrangeté, d’autres passent sans la voir : - Il y a une nouvelle machine dans l’usine ! a lancé quelqu’un - Non, c’est artistique ! a répondu un autre - Ah bon, et on peut la voir ? - Oui bien sûr, elle a été exclusivement fabriquée pour vous, par les artistes qui avaient installé l’« unité de fabrication d’images », vous vous souvenez ? En poste aux mêmes horaires que les équipes de l’après-midi : 13h30 – 22h. Ils encadraient des photos de vous au travail qu’ils exposaient au bout de leur ligne, les petites étaient sur des grilles accrochées avec des épingles à linge. Ils ont aimé votre entreprise, ils s’y sont même installés pour l’éprouver, pour vous rencontrer. Au point de fabriquer des livres sur vous : votre travail, vos mains, vos mots, les graffitis que vous avez laissés dans l’usine au fil du temps. Ce sont 4 livres d’art que vous pouvez découvrir dans la machine. Allez-y, feuilletez les livres, touchez le beau papier, voyez ces beaux pigments de couleur, ces matières qui apparaissent au fil des pages. Il y a aussi du café, c’est un lieu de pause, cosy et insonorisé, vous serez au calme. Dedans, il y a des textes sur le travail, écrits par des poètes, des écrivains, des travailleurs… C'est une œuvre d'art contemporain qui témoigne de la mémoire vivante de l’entreprise et à laquelle vous pouvez contribuer. Et vous, vous travaillez ici depuis longtemps ? En quoi consiste votre travail ? Vous travaillez en équipe ? Vous connaissez vos collègues depuis longtemps ? Pouvez-vous décrire un moment marquant de votre vie au travail ? Vous voulez bien partager un peu de temps avec nous ? Voilà, ce sera le sujet du 5ème livre d’artiste sur le partage du temps dans l’usine. 🔹Micro-projet transfrontalier européen en partenariat avec Arrêt 59 🖇️ Retrouvez l'ensemble des actions culturelles de ce projet transfrontalier sur : https://lnkd.in/e_effbiW #travail #culture #entreprise #artcontemporain #créationartistique #RésidenceDArtiste #ArtetMondedutravail

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    Voir le profil de Lorena Zilleruelo

    ex Étudiant(e) Le Fresnoy, Studio des arts contemporains

    RETOUR SUR UNE CHRONOLOGIE NON-LINÉAIRE [Jour_3] LE TEMPS D’UN FLEUVE 2022 33m 50s Rudi est batelier sur le Canal de l’Escaut, descendant d’une longue lignée qui a navigué et vécu au fil de l’eau, et ce depuis le début du 19ème siècle. D’écluse en écluse, de port en port, il traverse des paysages bucoliques, urbains, industriels pour gagner sa vie.  Il livre des containers dans des délais de plus en plus courts. Cette exigence oppressante du marché se heurte à la réalité du batelier et de sa femme qui naviguent dans un espace-temps parallèle, autre, rythmé par la lenteur et les longues attentes. PROJECTIONS *2022  Auditorium du Palais Beaux Art de Lille EXPOSITIONS *2021  FRAC GRAND LARGE, Dunkerque, France Teaser: https://lnkd.in/eyGmMGxA Production TEC-CRIAC  Cheffe du Projet: Sukran Akanci Image: Sarah Blum / Lorena Zilleruelo Création sonore: Alexandre del Torchio Avec la participation de: Felipe Zilleruelo / Andrej Globokar Montage: Yannis Poliniacci Étalonnage: Sarah Blum Mixage: Valentin Caillieret-Martin TEC/CRIAC - TRAVAIL ET CULTURE Sukran AKINCI Sarah Blum Alexandre del Torchio Felipe Zilleruelo Yannis Polinacci Andrej Globokar #Escaut #VoiesNavigablesdeFrance #PaysagesFluviaux #PoésieIndustrielle #VoiesFluviales #CanaldelEscaut #PortAnvers #CanalBruges #CanauxdeFrance #Bateliers #bateauxfluvia#transportfluvial#leFresnoy #LeFresnoyStudioNational #ArtisteContemporain #artistecontemporaine #artvisuel #Videoartist #Realisatrice #CourtMétrage #FilmContemporain #ShortFilmDirector #ArtistaContemporánea #DirectoraDeCine #VideoExperimental #NarracionExperimental #LorenaZilleruelo #FRAC

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  • ─ CABARET DE L'UNION : Gestes ouvriers, gestes oeuvriers Retour sur la soirée "Gestes ouvriers, gestes oeuvriers » organisée au Boulon à Vieux Condé, dans le cadre du Micro-projet européen que nous menons avec Arrêt 59. L'objectif de ce projet est d'interroger le TRAVAIL d'hier, d’aujourd’hui et de demain, dans le territoire transfrontalier Valenciennois / Péruwelzis. ✔️C'est le travail d'aujourd'hui que nous proposions d'interroger à partir de deux expériences d’artistes franco-belges en résidence de création insitu dans l’entreprise Stellantis. ➡️ Le solo de danse « Être autre » du chorégraphe et danseur Alejandro Russo (Cie La Malagua) inspiré notamment des gestes des travailleur.euse.s sur des lignes de production automobile a provoqué de nombreuses réactions du public franco-belge venu nombreux : « Les salarié.e.s ont-ils assisté à l’une des représentations de votre spectacle ?, « Comment ont-ils réagit ? ». Alejandro Russo a insisté sur l’importance d’un temps long passé dans l’entreprise pour pouvoir nouer des relations avec les membres d’une même équipe de travail, présents pour certains lors de l’unique représentation dans l’usine. Le spectacle a été accompagné d’un ballet impromptu de transpalettes, l’usine continuait de travailler, les sons réels de l’usine se mêlant à ceux du spectacle. ➡️ La seconde expérience a également suscité beaucoup d’intérêt et de curiosité. Lorsque l’on passe autant de temps chaque jour dans une usine, peut-on considérer « qu’on y habite » ? Telle a été la problématique de recherche des artistes plasticiens Ciel Grommen et Maxime Brygo. Ciel Grommen a expliqué comment elle a construit la « Machine à habiter Méteore» à partir d’éléments de lignes de production recyclés. Maxime Brygo quant à lui a photographié la vie des salarié.e.s dans l’entreprise : leurs mains forgés par le travail, leur vie sur les lignes de productions, leurs paroles ainsi que les traces (graffitis, dessins, dédicaces,.etc) laissés dans l’usine. L’entreprise a beaucoup intrigué le public qui a interpellé les artistes sur : « Comment vos projets ont t-il été accueillis par l’entreprise ? », « Comment êtes-vous entré en relation avec les travailleur.euse.s ? », «Comment votre projet a-t-il été financé ? ». Le chorégraphe Alejandro Russo ainsi que des plasticien.ne.s Ciel Grommen et Maxime Brygo, en résidence de création, accompagnés par l’équipe de Travail & Culture, ont pu rebondir sur ces interpellations pour apporter des précisions et évoquer l’importance de poursuivre l’exploration des enjeux contemporains du travail en immersion dans des milieux professionnels. Photos ©Kalimba, Le Boulon #travail #RésidenceDArtiste #ArtetMondedutravail #culture #créationartistique

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  • ─ Cabaret de l'Union : Le temps des paysans ➡️ Le 9 janvier dernier, Travail & Culture en partenariat avec l’Université Populaire de Lille a proposé son premier Cabaret de l’Union de l’année 2025 avec la projection du 4ème épisode du film « Le temps des paysans » de Stan Neumann, présent pour l’occasion. 🎥 56 minutes de film qui nous plongent dans l’histoire des communautés agricoles du 6ème siècle à nos jours dans une forme filmique originale au cœur de leur train de vie, de leurs luttes et de leurs dures conditions de travail. Dans la salle, les spectateurs plus ou moins familiers au milieu paysans prenaient la parole. Certains fils de paysans, d’autres issus de la communauté rurale de St Omer ou même encore agriculteurs locaux se comparaient à l’image des paysans renvoyée à l’écran. Aujourd’hui, de petites franges de paysans tentent encore d’échapper à l’industrie, afin de conserver leurs terres, donc leur liberté. En effet, les paysans « qui produisent pour s’auto-suffire » ont rapidement été contraints de s’adapter face à l’agriculture industrielle « qui cherche le profit » pour survivre. Un triste clin d’œil à l’actualité et aux manifestations agricoles. À la question « Dans quelles mesures le film a pu être montré à des communautés agricoles ? », le réalisateur a montré son plus grand intérêt à la vie des communautés paysannes plutôt qu’à l’agriculture en général. Cette projection a également permis aux spectateurs de prendre conscience de la ressemblance des luttes ouvrières et des luttes agricoles face à la mécanisation et la mondialisation, s’orientant toujours vers un système plus industriel. La forme du film a aussi suscité des questions, auxquels Stan Neumann a répondu en expliquant que « C’est un film complexe qui a l’air de passer d’un sujet à l’autre qui demande un travail d’interprétation au spectateur. » 💡 Si vous souhaitez découvrir ce film « Le temps des paysans » et ses quatre épisodes, vous pouvez les visionner en replay sur ARTE tv. 📆 Le prochain Cabaret de l’Union abordera la question de la sidérurgie avec une exposition et un spectacle ciné-concert et aura lieu le vendredi 14 février prochain à 18h30, aux Archives nationales du monde du travail

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  • ─ DES CANAUX ET DES HOMMES 🔹C’était à la Médiathèque Jean Buridan dans le quartier du Mont Liébaut, le 16 novembre dernier. Nous proposions notre dernière production artistique "Histoires d'eau... Des bateaux et des hommes", un spectacle créé pour nous par Compagnie du Théâtre K. Dès 14 h, des spectateurs commencent à arriver, et pas des moindres, des bateliers ! Il y a quatre, puis 6 autres et puis encore sept... Au total, plus de 30 bateliers étaient venus au rendez-vous pour entendre et voir un spectacle conçu pour eux, mais aussi pour les professionnels des voies navigables. Dès le début du spectacle, les uns se penchent vers les autres, ils commentent. Un sourcil se lève, une tête acquiesce, un petit rire, un sourire, on réagit au fur et à mesure de l'histoire que le personnage principal Jean-Pierre Moult raconte, celle de Simon qui a été éclusier et batelier. Et oui, tout cela leur parle, c'est leur vie. A la question : Y a-t-il des personnes dans la salle qui ne connaissent pas le monde de la voie d'eau ? Une seule répond positif, presque gênée de ne pas connaître. Après le spectacle, notre intervenant Daniel Bertin de l'Ampave Douai lui explique et fait un retour sur ce qu'il a vu. Il dit que le spectacle décrit le monde batelier de façon juste. D'ailleurs, les autres aussi sont d'accord, ils s'y reconnaissent bien. Mais ils sont critiques quant à l'évolution du transport fluvial : "le Canal Seine Nord aurait dû arriver plus tôt", "l’État n'a pas été assez volontaire, on est à la traîne par rapport à la Hollande et à la Belgique"... Pour la plupart, ils sont retraités, mais ils ne parlent pas de la batellerie avec nostalgie, ils parlent d'aujourd'hui et de demain, ils disent que ce n'est pas fini, qu'il faut y croire, ce sont des combattants ! ⚓️À l'issue de l'événement, rendez-vous a été pris d'initier un cycle sur le Fluvial, avec la médiathèque, la ville de Béthune, ainsi qu'avec des associations de batellerie. Au programme de la prochaine rencontre, le film "Le temps d'un fleuve" de Lorena Zilleruelo. Soutenu par DEPARTEMENT DU PAS DE CALAIS, Agglo Béthune-Bruay, Béthune

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  • ─ DES MOTS AUX GESTES DE TRAVAIL L’imaginaire du travail chez les jeunes 👷 Situé à quelques minutes de la frontière Belge, l'EPED (École de Production Environnement Durable) de Quiévrechain est l’un des partenaires du micro projet européen TRAVAIL mené par le duo Travail et Culture / Arrêt59. L’une des actions culturelles de ce projet interroge l'avenir du travail à partir de la vision que les jeunes transfrontaliers ont du travail. ➡️ C’est par le biais d'ateliers d'Éthymologie poétique, ateliers de réflexion autour des mots du travail, que l'intervenant Thierry Duirat incite les jeunes à s'exprimer sur leur imaginaire du travail. Pour ces jeunes Français, la question transfrontalière fait partie de leur quotidien : la famille qui habite de chaque coté de la frontière et qu’ils visitent régulièrement, un grand-père routier qui passe la frontière tous les jours, un autre qui est électricien de fête foraine et qui ne la connaît plus, un père qui se débat avec l’administration française pour faire valoir ses droits à la retraite après avoir travaillé plus de 10 ans en Belgique... La frontière, c’est aussi une dimension de leur parcours scolaire et de leur formation. L’un des jeunes a été scolarisé en Belgique jusqu’à ses douze ans, il trouve que les professeurs belges sont « plus sévères » que leurs homologues français. 😄 Pour deux autres élèves, l’Institut Saint Luc de Tournai représente une opportunité de formation aux métiers du bois, d'ailleurs leur professeur Français est diplômé de cet étblissement bien reconnu des Français ! Pour ce qui est de leur imaginaire du Travail, leur réflexion collective s’est orientée sur la valorisation de l’image de soi par le travail, nécessaire d’après eux pour un parcours professionnel réussi. L'impact que cela a sur le moral a également été vivement discuté comme "un sentiment d’être bien à sa place et dans son corps". La suite du projet permettra aux élèves franco-belges de Quiévrechain et de Péruwelz de se retrouver autour de leurs travaux communs qui seront restitués sous forme de spectacle dans le théâtre du centre culturel Arrêt59 à Péruwelz. 🖇️ Retrouvez l'ensemble des actions culturelles de ce projet transfrontalier sur notre site internet : https://lnkd.in/eqEkpY9D

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