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TERRA CERES

TERRA CERES

Fabrication de produits alimentaires et boissons

Le Controis en Sologne, Centre 2 182 abonnés

Le plaisir gustatif pour le bien-être de l'Humain et de la Terre.

À propos

Chez Terra Cérès, Société à Mission, nous concevons, fabriquons et commercialisons, de façon durable, des pâtisseries, desserts frais et pains, 100% BIO, 100% naturels, source de plaisir et de bien-être. L’humain au cœur, nous avons mis en place dès l’origine une gouvernance constitutionnelle, distribuée et multipliée de type Holacracy ©. Chacun.e se voit attribuer des rôles et redevabilités, sur lesquels il a toute autorité, agissant au service de la raison d’être de ses rôles. 🌿 Nos produits contiennent un maximum d'ingrédients complets, et une réduction de la teneur en sucre, pour être source de fibre et tendre vers un IG bas. Nos gammes sont toutes sans lactose et sans gluten afin de proposer des gourmandises saines, contribuant au bien-être digestif. 🌍 Nos packs sont éco-concus, avec des innovations constantes afin de trouver des solutions pour limiter notre impact, au cœur de notre politique RSE. 🍃 Nos recettes développées et fabriquées dans notre atelier en Sologne, soutiennent l’agriculture française au travers de filières BIO locales. 💧 100% de l'eau utilisée pour fabriquer nos produits est vitalisée et filtrée pour éliminer le Chlore, les métaux lourds, et les polluants chimiques.

Site web
https://www.terraceres.bio
Secteur
Fabrication de produits alimentaires et boissons
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Le Controis en Sologne, Centre
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
2015
Domaines
Organic gluten- & lactose-free fresh bread, Organic gluten- & lactose-free mixes for bread, Organic gluten- & lactose-free sponge cake, Marque blanche, Travail à façon, BIO, Sans Gluten, RHF, EGALIM, FONDANT, CHOCOLAT et BROWNIE

Lieux

Employés chez TERRA CERES

Nouvelles

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    Voir le profil de Maxime Blondeau
    Maxime Blondeau Maxime Blondeau est un Influencer

    Cosmographe, auteur, conférencier. Un nouveau regard sur le territoire. Géoconscience, actuellement en librairie.

    🌍🍄 Ça parait incroyable, mais l’effondrement de civilisations antiques pourrait être lié à la relation entre sols et champignons. Si vous ne me croyez pas, lisez "Jamais seul. Ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations" de Marc-André SELOSSE. https://buff.ly/4hSsRlM La vie terrestre dépend de la microbiologie des sols. Dans nos sociétés modernes : santé, alimentation, eau douce, végétation, agriculture dépendent directement des sols. Mais on est loin de tout comprendre. Nous savons aujourd'hui que les sols que nous piétinons chaque jour abritent d'immenses réseaux invisibles de champignons. Un seul mètre carré de sol peut contenir des milliards de micro-champignons interagissant avec des milliards de bactéries. Ce savoir est très récent. Au 19ème siècle, avec le développement de la microscopie, des pionniers tels que Louis Pasteur ont démontré le rôle des micro-organismes dans la décomposition de la matière organique et la fertilité des sols. Mais ce n'est qu'en 1875 qu'on découvre les premiers indices sur l'importance des champignons dans la vie sur Terre. Heinrich Anton de Bary découvre alors la symbiose entre les racines des plantes et des filaments des champignons qu'on appelle : la mycorhize. Cette relation intime vieille de 400 millions d’années permet aux plantes d’exister sur la terre ferme. Un transfert génétique entre un champignon et une plante serait à l’origine de tous les écosystèmes terrestres. https://buff.ly/4hPUvj1 Depuis ces découvertes, les sols n'ont cessé de surprendre les scientifiques. Les champignons, ces "architectes invisibles", jouent un rôle fondamental dans l'orchestration de la nature, à travers le mycelium. Les réseaux mycéliens peuvent s’étendre sur des milliers de kilomètres carrés, et permettent aux plantes d’échanger des nutriments, de l’eau et des informations. Sous nos pieds, un hectare de sol forestier abrite jusqu'à 10 tonnes de mycélium. Un réseau souterrain tentaculaire, capable de transformer les écosystèmes… et de façonner l’avenir. Et ce n'est pas tout, la microbiologie pourrait être une arme secrète contre le changement climatique, car les champignons stockent d’énormes quantités de carbone dans le sol. Certains mycéliums séquestrent jusqu’à 70% du carbone organique du sol, bien plus que les plantes elles-mêmes. Comme ceux des forêts boréales qui jouent un rôle crucial dans ce processus. Et on peut même aller plus loin. En Mésopotamie, la surexploitation des terres aurait mené à une désertification, signe de l’effondrement du réseau biologique du sol, par l’épuisement des réseaux mycorhiziens. Les champignons ne sont donc pas de simples organismes du sol. Ils sont le sol. Ils connectent, nourrissent et structurent la vie terrestre. Et si, pour bâtir l’avenir, nous regardions sous nos pieds? Crédits photo : Mylo/ Myco Works #sols #agro #biologie #mycelium #histoire #AgricultureDurable #Santé S'abonner à ma newsletter https://buff.ly/429XLPa

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    Voir le profil de Alexandre Poidatz

    Responsable plaidoyer Climat et Inégalités chez Oxfam France

    "L'agriculture d'aujourd'hui ne nourrit pas l'humanité de demain" : écoutez le coup de gueule du scientifique Marc-André SELOSSE. 🗣️ Microbiologiste et professeur du Muséum National d'Histoire Nature. Les limites planétaires sont déjà en train d’être dépassées, presque 7 sur 9. Elles sont dépassées lorsque les « capacités de renouvellement » de la nature sont menacées, c’est le cas du changement d’usage des sols. 🚜 Si on continue l’usage du labour et des pesticides, les terrains qu’utilisent les agriculteurs ne pourront plus produire. La nature a ses limites. Qui seront les premières victimes ? Les agriculteurs. Donc le discours qui fait croire que « c’est pour les agriculteurs » qu’on prolonge le même modèle économique est insensé et populiste. Est-ce que changer de modèle va nuire économiquement aux agriculteurs ? A court-terme, bien sûr, c’est pourquoi ils faut leur venir en aide financièrement. 💰 Qui peut payer ? Les maillons les plus forts de la chaîne économique. Pour les identifier, c’est simple : ce sont ceux qui concentrent l’argent et qui polluent le plus. C’est la responsabilité de l’offre, des grands distributeurs et de l’industrie qui font la pluie et le beau temps. Certes il y a une responsabilité des consommateurs et des agriculteurs, mais uniquement les plus riches. 37% des Français se déclarent en insécurité alimentaire. 20% des agriculteurs gagnent moins de 620 euros par mois. À aucun moment, la responsabilité doit reposer sur eux, sinon c’est de la culpabilité. ⚖️ La solution pour concilier écologie et agriculture, c’est le partage. Il faut garantir une meilleure répartition des richesses pour les différents maillons de la chaîne. Rappelons-le, la première demande des agriculteurs n’est pas anti-écologique : c’est de vivre dignement de son travail. Rappelons-le, les agriculteurs sont les premières victimes de la pollution, des pesticides par exemple. 🌍 Cette chaîne va donc dans le mur financier, écologique et sanitaire. Et lorsque le gouvernement détricote plusieurs mécanismes de protection de la biodiversité pour répondre à la colère des agriculteurs, il ne résout rien à la chaîne défaillante. Il l’alimente. Il nourrit le déraillement de notre société.

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    Voir le profil de Boris M.

    Co-fondateur de La Fourche

    🌍 Le monde brûle. Les Etats-Unis se retirent une 2e fois de l'accord de Paris. La biodiversité s'effondre. L'eau potable devient un produit de luxe. Et parmi toutes ces nouvelles réjouissantes, le Sénat français n'a rien trouvé de mieux que de supprimer les crédits alloués à l'Agence Nationale pour la Promotion et le Développement de l’Agriculture Biologique (Agence Bio), le pilier du bio en France, pour améliorer la copie budgétaire de...€2,9 million par an Le secteur commence tout juste à relever la tête après 2 années extrêmement compliquées et vlan, un grand coup derrière la nuque ! 👊 Le bio, c’est la seule agriculture d'avenir, la seule qui permettra de nourrir sans dégrader notre précieux écosystème. Et pour une fois qu'on est bien placé en France, cocorico : - 61 000 fermes bio, plaçant la France au 1er rang européen en surfaces cultivées. - 215 000 emplois, qui font vivre nos territoires ruraux. - 70 % du bio consommé en France est produit localement, soutenant une économie de proximité. L’Agence Bio, c’est l’outil clé pour structurer les filières, accompagner les agriculteurs et informer les consommateurs. En la supprimant, on : ❌ Affaiblit une filière déjà sous pression. ❌ Rend les conversions en bio encore plus difficiles pour les agriculteurs. ❌ Hypothèque notre capacité à répondre aux crises environnementales et alimentaires. 📣 Mobilisons-nous pour défendre l’agriculture biologique et tous ceux qui œuvrent au quotidien pour un futur durable. Marine Tondelier Cyrielle Chatelain François Ruffin Sandrine Rousseau Agnès Pannier-Runacher Yaël Braun-Pivet

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    Voir le profil de Jean-Marc Jancovici
    Jean-Marc Jancovici Jean-Marc Jancovici est un Influencer

    Associé Carbone 4 - Président The Shift Project

    2025 verra-t-il un "redémarrage" des produits bio ? Telle est la question sur laquelle disserte cet article des Echos, qui indique que, en 2024, les distributeurs spécialisés ont vu leurs ventes repartir à la hausse : https://t.ly/Ajl35 Le bio, c'est cher ! Et donc il est normal que les ventes baissent quand les temps sont durs. Mais peut-on tenter quelques petites mises en perspective ? En 2024, selon Les Echos, les Françaises et les Français ont dépensé 12 milliards d'euros dans des produits bio. En 2023, la dépense alimentaire des ménages (incluant les boissons non alcoolisées) représentait 184 milliards d'euros (https://t.ly/4OpPQ ). Le bio c'est donc moins de 10% de ce sous-ensemble : ce n'est pas beaucoup. Si l'on regarde un peu plus en détail cette dépense alimentaire, les seules boissons non alcoolisées (donc en clair l'eau en bouteilles et les sodas) représentaient 15 milliards d'euros. Même s'il y a un peu de recouvrement (il existe des sirops bio), rien que le "basculement" de ce poste, pas vraiment indispensable sur le plan nutritif, permettrait de doubler le marché du bio ! Mieux encore, les ménages ont dépensé 51 milliards d'euros en "boissons alcoolisées, tabac et stupéfiants", dont 24 milliards d'euros de tabac, alors que les légumes c'est seulement 20 milliards (l'INSEE ne précise pas le budget fruits, mais il doit être encore inférieur). Nous payons plus cher pour nous abîmer la santé que pour la préserver. Et accessoirement le carburant ne nous coute pas plus cher que l'ensemble tabac+alcool... ou que ce que nous dépensons dans les télés, ordinateurs, smartphones, et abonnements numériques divers (aussi de l'ordre de 50 milliards par an). Tout cela pour dire que, au vu de ce que nous dépensons dans beaucoup de postes de "confort", pour une bonne partie des ménages c'est largement une question d'arbitrage personnel - donc de choix - que d'acheter bio ou pas. Il y a un autre poste qui est très significatif dans nos dépenses : les restaurants, auxquels nous laissons 100 milliards d'euros par an. Lorsque nous allons manger dehors, le prix des produits alimentaires n'est pas, loin s'en faut, ce qui compte le plus dans l'addition : si l'on prend leur prix en sortie d'exploitation agricole, cela représentera moins - voire beaucoup moins - de 10% l'essentiel du temps. D'où l'idée, qui fait sens, de promouvoir le bio dans la restauration, y compris collective : cela ne conduirait pas nécessairement à une explosion du prix payé par repas. Une autre mise en perspective est possible : le supplément de cout du bio comparé aux économies pour la collectivité liées à la préservation de l'environnement. Mais cela renvoie au casse-tête de la valorisation de la nature. Il vaut mieux se contenter de constater que, "cher", ça se discute, quand on voit ce que nous dépensons ici et là !

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    Voir le profil de Fabien Foulon

    Consultant retail / data / BIO / circuits spécialisés ALI et NON ALI

    2024 : année de la reprise en volumes pour les magasins bio 2025 : année de la reprise en volumes pour l’ensemble du marché bio ?   Grâce à philippe DELRAN et ANTOINE LEMAIRE, j’ai eu la chance de consulter en avant-première le bilan 2024 du marché bio dressé par Biolineaires. Merci à eux pour cela. Ce bilan confirme le retour d'une forte croissance pour les magasins bio et fournit plusieurs indicateurs très positifs pour le réseau spécialisé. En particulier : 1° Le CA du réseau bio repasse au-dessus de la barre des 4 milliards d'euros. 2° La croissance est portée par une nette progression de la fréquentation (+6.5% vs. 2023 ; nouvel indicateur mesuré par Biolinéaires). 3° Le CA au m2 connaît une forte progression et dépasse le seuil des 5500 €/m2, soit quasiment 10% de mieux qu’en 2019.   Ces résultats sont encourageants mais il est important de les relativiser : 1° Le CA au m2 est très hétérogène ; plusieurs enseignes dépassent les 7 400 €/m2, ce qui les place au-dessus des performances de plusieurs enseignes conventionnelles (Intermarché, Market, Picard, Monoprix…) ; mais de nombreuses enseignes bio sont encore en dessous des 4500 €/m2. 2° A priori, une part importante de la croissance des magasins bio est liée au désengagement des enseignes GMS qui ont continué de rationaliser l'offre bio. 3° TOUS CIRCUITS CONFONDUS, la demande relative pour les produits bio semble bien progresser en 2024 mais cela ne se traduit pas encore par une progression des volumes, en raison d’une baisse de l’offre disponible (réduction du nombre de références en grandes surfaces et baisse du nombre de magasins spécialisés). 4° Du côté de la production, le bilan est loin d’être positif ; pour rappel, les surfaces totales engagées en bio (certifiées ou en conversion) ont reculé d’environ -2% en 2023 et les surfaces en conversion ont quasiment baissé de moitié entre 2020 et 2023. Pour relancer les envies de conversion, il est indispensable de retrouver une croissance des volumes sur l’ensemble du marché. Cela passe par une stimulation de la demande mais aussi par une relance de l’offre : - Développement du parc des magasins bio, en évitant toutefois les phénomènes de sur-saturation sur zones de chalandise, qui risqueraient de fragiliser les magasins existants.   - Progression du nombre de références et des mises en avant en grandes surfaces.   - Sans oublier le rôle de l’innovation : dynamisme de l’offre et rôle de pionnier de la bio spécialisée, mais aussi meilleure couverture des besoins essentiels et segmentation de l’offre pour répondre à la diversité des profils et des attentes des consommateurs bio.   Sur ce, je souhaite à tous les acteurs de la bio une belle et heureuse année 2025, de l’amont à l’aval, pour le développement d’une agriculture et d'une consommation saines, durables et responsables.

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    2 182  abonnés

    🌍 Chez Terra Cérès, nous passons à l’action pour un avenir régénératif ! 🌱 Nous sommes fiers d'annoncer notre engagement dans le parcours agri-agro de la Convention des Entreprises pour le Climat (#CEC). Cette démarche est une opportunité unique pour repenser et transformer notre modèle économique vers l'économie régénérative, en harmonie avec nos valeurs. Depuis notre création, nous portons un projet clair : produire de façon éthique et durable pour offrir des produits bio, sains et respectueux de la planète. Cet engagement s'exprime à travers notre politique RSE, qui inclut : 🌾 La promotion de filières locales et durables, ♻️ Des emballages 95% recyclés et 100% recyclables, 🔋 Une utilisation d’énergies 100% durables pour notre production. 💧 Une attention particulière à la qualité de l’eau utilisée dans notre atelier, que nous filtrons et dynamisons pour garantir un impact positif sur nos produits et notre environnement. Notre vision s'inscrit dans une gouvernance partagée, où l'humain est au cœur de nos décisions. En participant à la CEC, nous renforçons notre ambition de contribuer activement à une transition écologique et économique nécessaire. ✨ Rejoignez-nous dans cette belle aventure et engageons-nous, ensemble, pour une planète vivante et des pratiques responsables. #CEC #RSE #ÉconomieRégénérative #Bio #TransitionÉcologique

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    48 164  abonnés

    [Parcours CEC] 😮 « Il s’agit de comprendre que nous avons dépassé les bornes ». Début du voyage salé qui a laissé bouche bée notre collectif du parcours #CECAgriAgro réuni à Bordeaux fin novembre pour la session 1 “Constat et monde d’Après”. 🔥Il fallait oser ! Devant un parterre de plus de 130 dirigeants, pendant 48h, scientifiques et conférenciers de renom se sont succédé pour nous informer, nous alerter, voire nous bousculer. 🌍 L’apparente provocation est la métaphore d’un fait bien réel : nous avons déjà dépassé 6 des 9 limites planétaires et une 7ème est en passe de l’être. 🔎 Le ton était donné : l’heure n’était pas aux débats mais aux constats. Qui sont alarmants : * Climat : le secteur agricole génère 20% des émissions de gaz à effet de serre en France. En 2050 Lille aura le climat de Bilbao mais déjà, aujourd’hui, les alternances de sécheresses et inondations bouleversent les récoltes. * Biodiversité : la 6ème crise d’extinction est en cours, 1000 fois plus rapide que les précédentes. 40 % des sols arables sont dégradés. Les pollinisateurs, essentiels à la production alimentaire, sont en déclin rapide. * Ressources : le cycle de l’eau est perturbé. L’agriculture, grande consommatrice, doit s’adapter face à la baisse de disponibilité des ressources hydriques. * Santé : une alimentation de faible qualité nutritionnelle est aujourd’hui le premier facteur de risque de mortalité dans le monde (1 décès sur 5). 🔗 Tout est lié. L’agriculture est à la fois victime et cause. Et aussi solution ? Il ne s’agit pas seulement d’un défi agricole mais d’enjeux systémiques qui engagent tous les acteurs de la filière : avec courage, nous pouvons bâtir un modèle qui préserve et régénère la santé des Hommes et de la Planète en même temps qu’il produit. 💡 “Aucun de nous ne sait ce que nous savons tous ensemble » : Muriel Huet lead intelligence collective du parcours qui sème les graines de la coopération. 👣 Mais savoir est-il suffisant pour se mettre en mouvement et oser construire ? Quelques indices dans le lien du post… 🙏 Merci à Thierry Caquet INRAE, Gregory Poinsenet, BRETILLON Lionel, Philippe Grandcolas, Stéphane Ruy, Bruno Parmentier d’avoir contribué à créer cette conscience commune, ainsi que nos co-leads programme Pierre GERARD et Damien Bourgarel , et co-pilotes Béatrice Huou et Aurèle Gaüzère, de nous avoir concocté une mise en bouche du parcours particulièrement exigeante et piquante ! 🤩 Merci à Jean-Julien Gabard et à tous les contributeurs de l’équipe pour les belles images mais aussi à Liv Guilloteau pour les superbes restitutions graphiques des conférences.

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    13 783  abonnés

    [SYNERGIES] 🔎Comment le Synabio a réagi face à la menace HVE ? Dans un contexte de profusion des logos et pseudo labels (Nutriscore, Zéro résidus de pesticides, Ecoscore, HVE...), les consommateurs s’interrogent. Quelles garanties du label Bio ? Le Label Haute Valeur Environnementale (HVE) porté par le ministère de l’agriculture vient ajouter à la confusion ambiante. Censé incarner l’excellence environnementale, son cahier des charges est en fait nettement moins exigeant que celui de la bio : l’usage de pesticides et des engrais chimiques de synthèse est autorisé ainsi que le recours aux OGM. Et HVE ne prévoit rien sur les conditions d’élevage et le bien-être animal. Le SYNABIO est mobilisé pour que cesse cette concurrence déloyale. Depuis plus d’un an, nous multiplions les prises de paroles de prévention et de sensibilisation sur le sujet. Et puisque le nombre fait la force, nous avons déposé avec nos partenaires un recours contre le label HVE devant le Conseil d’Etat. Nous sommes fiers de porter cette action avec nos partenaires : Agir pour le Climat et l'Environnement, UFC-Que Choisir, Générations Futures, Réseau Environnement Santé , Bioconsommacteurs. La décision est attendue début 2025 : une occasion de mettre un terme au greenwashing officiel ! On vous tient au courant, évidemment 😉 💭 Une question ? Une remarque ? Rendez-vous sur notre site www.synabio.com ou contactez Maeve SOULAS : synabio@synabio.com

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    2 182  abonnés

    L'accent mis par Grand Chemin Traiteur sur les partenariats durables avec les producteurs locaux est particulièrement inspirant. Cela souligne l'importance cruciale de l'ancrage territorial dans les stratégies RSE, non seulement pour le développement économique mais aussi pour le renforcement de la cohésion communautaire. Quelles ont été les principales réalisations ou défis rencontrés dans cette démarche ? Curieux d'entendre d'autres exemples ou expériences similaires !

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    5 688  abonnés

    🌱 Parlons RSE avec Estelle Bozec Jalet chez Grand Chemin Traiteur ! Il y a 15 ans, nous avons donné vie à Grand Chemin Traiteur avec une vision claire : créer une entreprise où nos valeurs morales et sociétales sont au cœur de tout ce que nous faisons. Nos engagements se concentrent sur trois piliers essentiels : 🌿 ENVIRONNEMENTAL : Nous nous engageons à gérer nos ressources de manière responsable et à optimiser la gestion de nos déchets pour préserver notre planète. 🤝 SOCIAL : Nous croyons en l'importance d'être un employeur responsable, en valorisant les compétences de nos collaborateurs et en favorisant l'insertion professionnelle des personnes éloignées de l'emploi ou en situation de handicap. 💼 ÉCONOMIQUE : Nous sommes fiers de promouvoir les richesses du Vexin en privilégiant des partenariats durables avec les producteurs locaux, renforçant ainsi notre ancrage territorial et soutenant l'économie locale. Chez Grand Chemin Traiteur, la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) n'est pas seulement un concept, c'est notre mode de vie. Rejoignez-nous dans cette démarche pour un avenir plus durable et solidaire ! 💚✨ #RSE #ResponsabilitéSociale #Environnement #Social #ÉconomieLocale #Engagement #Durabilité #GrandCheminTraiteur

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