Nous avons récemment mis en avant certaines pratiques sujettes à débat dans le monde du #PrivateEquity comme le Dividend Recap ou le NAV Financing. On pourrait y rajouter les opérations de Strip Sale pour récupérer du cash et revendre de la performance en secondaire. La divergence constatée entre les prix payés par des industriels et par les fonds sur des cibles PME européennes au Q3 est un nouvel élément qui doit alimenter la réflexion. Cet article dans Les Echos pourrait être perçu très positivement si on se limite à son titre optimiste, mais il conclue fort justement qu'il y a une vraie incertitude quant à la pérennité de cette reprise. Pour rester dans le bon sens populaire, s'il est coutume de dire qu'une hirondelle ne fait pas le printemps, il est encore plus clair que "winter is coming". En revanche, dans ce contexte, le nombre de PME ayant des besoins de conseil en haut de bilan pour se déployer, se restructurer, se recentrer ou faire évoluer leur actionnariat est en forte hausse et c'est clairement une bonne nouvelle pour les équipes positionnées comme XV Finance.
XV Finance
Banques d’investissement
Paris, Île-de-France 429 abonnés
Le conseil haut de bilan au service des entreprises et des dirigeants.
À propos
Founded in 2007, XV Finance is an independent Corporate Finance and Mergers & Acquisitions advisory firm, providing services to companies, their top managers and shareholders: - Mergers & Acquisitions - XV Finance performs the structuring, origination and execution of M&A transactions in Europe and Asia including takeovers, buy-side or sell-side assignments, transmissions, divestitures or spin-offs, etc. - Equity Capital Markets – XV Finance structures and executes public or private fund raisings, LBOs, OBOs, MBOs, IPOs, Public-to-Private transactions, reverse takeovers, etc. - Optimization – For corporations (especially multinationals), XV Finance designs and delivers insurance based solutions which enable our clients to manage and pool risks originating from their worldwide activities and to secure and optimize intra-group cash flows over the time. Through XV Courtage (XV Finance’s insurance brokerage sister company), these solutions, which were only made available to large MNCs, are now accessible to mid-size companies. - Vertical approach - XV Finance launched an initiative to accelerate the development of French companies in the strategic security and defense sector. Our aim is to support SMEs/mid-caps that play a key role for French and European sovereignty. Being part of a French sector of excellence, these companies have strong organic growth potential both in France and abroad.
- Site web
-
http://www.xvfinance.fr
Lien externe pour XV Finance
- Secteur
- Banques d’investissement
- Taille de l’entreprise
- 2-10 employés
- Siège social
- Paris, Île-de-France
- Type
- Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
- Fondée en
- 2007
- Domaines
- Corporate Finance, Private Equity, Fusacq, LBO, MBO, MBI, OBO et Conseil Stratégie
Lieux
-
Principal
42, Avenue Montaigne
75008 Paris, Île-de-France, FR
-
Paris, fr
Employés chez XV Finance
Nouvelles
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Récemment, un influenceur aux 8k abonnés Linkedin déclarait : "Ce n'est pas politiquement correct de le dire mais quand on vend son entreprise, la question centrale : c'est le prix. La réponse qu’on entend souvent, c’est que le prix ne doit pas être le critère principal. On vous parle de vision partagée, d'alignement philosophique ou de valeurs communes. C'est bidon. Si quelqu'un vous dit que ce n'est pas le prix qui fait la différence, il vous ment." En réalité, l'échec d'une transaction de vente d'entreprise peut être causée par de multiples facteurs. Le prix, l'alignement des parties prenantes et la psychologie personnelle en font partie. Mais c'est loin d'être tout. On peut évoquer les problèmes issus de la due diligence (découverte de passifs ou de risques cachés, des litiges en cours qui effraient l'acheteur, une non-conformité réglementaire voire des violations de normes fiscales, sociales ou environnementales, des problèmes organisationnels), des problèmes de financement (difficulté de financement de l'acheteur ou modalités du financement inacceptables pour le vendeur ou que l’entreprise cible ne peut pas honorer), un manque de préparation de la part du vendeur (documentation insuffisante, en notant que cela peut rentrer dans le champ de l'acte manqué). Mais aussi, des désaccords sur les clauses de l'accord : la GAP (délimitation des actifs et passifs concernés, durée de cette garantie, fixation des seuils de déclenchement et franchise, détermination de la garantie de la garantie et mise en place cantonnée voire sous séquestre de cette garantie), les conditions d'accompagnement par le cédant, les clauses de non-concurrence, les clauses de rétention ou d'earn-out. Enfin, on ne peut oublier de mentionner l'évolution de la conjoncture économique et du contexte réglementaire et fiscal. En clair, sur la base de plus de 30 ans d'expérience dans ce domaine, chez XV Finance, nous avons coutume de dire que le prix d'une vente ne représente que 20% des sujets à traiter et du risque d'échec, et que c'est notamment pour cette raison que nous avons une vraie valeur ajoutée.
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Le métier de banquier d'affaires consiste à fournir des services de conseil financier et stratégique à des entreprises, des institutions financières ou des gouvernements (M&A, IPO, levées de fonds, restructuration de dettes ou de patrimoine). Pourquoi appelle-t-on les petites banques d'affaires des "boutiques" ? Les boutiques en banques d'affaires se concentrent souvent sur un segment spécifique du marché ou sur un type particulier de transactions financières. De taille réduite, elles sont plus flexibles, réactives, agiles et à même d’offrir un service plus personnalisé à leurs clients. Elles sont réputées pour fournir un service sur mesure, avec une approche plus intime et dédiée aux besoins de chaque client. Comme dans une "boutique" traditionnelle, où l'on s'attend à un service personnalisé par opposition à une grande surface. Les boutiques doivent faire preuve de créativité et d'innovation pour se distinguer de la concurrence. Elles apportent souvent des solutions originales pour structurer des deals complexes, lever des fonds ou répondre à des besoins financiers spécifiques. Cette capacité d’innovation est d’autant plus importante dans un environnement financier en constante évolution. Les boutiques sont indépendantes et ne sont pas affiliées à des groupes bancaires ou de services plus larges. Cela leur permet d'éviter certains conflits d’intérêts et se concentrer sur des conseils objectifs exclusivement au profit de leurs clients. Les boutiques sont souvent sollicitées pour des transactions qui requièrent une discrétion absolue, notamment lors de fusions et acquisitions sensibles ou de levées de fonds dans des contextes confidentiels. Leur taille et leur structure réduites permettent de garantir un niveau élevé de confidentialité, essentiel dans des transactions à fort enjeu. Même si les boutiques sont plus petites, une bonne boutique dispose généralement d'un réseau d'affaires étendu et influent, que ce soit avec des investisseurs, des fonds de capital-investissement ou des entreprises cibles dans divers secteurs. Ce réseau est souvent crucial pour connecter leurs clients à des opportunités de marché uniques ou pour faciliter les transactions complexes. Enfin, une bonne boutique se distingue par sa réputation et son historique de transactions réussies. La performance passée peut quelquefois augurer de la satisfaction future. Cette réputation est souvent bâtie sur des années de service de haute qualité et sur la capacité à livrer des résultats même dans des situations difficiles. Chez XV Finance, nous proposons aux dirigeants de PME depuis plus de 15 ans une compréhension approfondie des défis de l'entrepreneur, notre capacité à anticiper ses besoins, une crédibilité renforcée par nos différentes expériences, et une vision long terme et stratégique. Bien plus qu’un simple prestataire de services, nous sommes un véritable partenaire stratégique et fiers de gérer une boutique.
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Une série d'articles qui fait réfléchir dans Les Echos de ce jour. Tout d'abord les dérives de l'industrie du #PrivateEquity qui met de plus en plus la pression sur les entreprises via les "dividend recap" et détériorent ainsi leur structure financière. Plus leveragées, elles sont moins résistantes aux cycles et moins enclins à accorder des augmentations de salaire. Face à cet article dans le même journal, un message de mauvaise augure sur la saison à venir des publications de résultats 2024 qui s'annonce maussade pour les entreprises européennes. Enfin, un article sur une autre dérive : le détournement par les fonds de LBO de la destination originelle du "NAV Financing" de sa fonction d'accélérateur marginal de croissance pour le portefeuille de participations à celle de financeur du dividende à verser aux porteurs de parts. Chez Durandal Capital, nous avons opté d'accompagner autrement nos participations en considérant leur temporalité, en privilégiant leurs intérêts et en respectant certaines valeurs. Fort heureusement, il nous arrive de collaborer aussi avec des fonds qui se retrouvent dans cette démarche.
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Un article intéressant du Financial Times mettant en évidence l'attrait croissant, face à l'évidence de la situation géopolitique, des investisseurs vis à vis de la #Défense et l'évolution du consensus. Mais les contraintes issues des règles ESG et la problématique de la létalité sont toujours pregnantes. Par ailleurs, l'afflux de capitaux vers la tech et notamment la deeptech fait que certains parlent déjà de bulle. Pour éviter ces écueils, chez Durandal Capital, en l'absence de toute contrainte, nous nous sommes fixés une stratégie d'investissement claire. A partir d'un track-record de plus de 15 ans dans l'accompagnement de dirigeants de PME au sein de XV Finance et entourés de senior advisors expérimentés, nous investissons dans des technologies que nous comprenons et pouvons valider, pour accompagner des dirigeants dont le business model est éprouvé mais peut s'améliorer et accélérer, afin de participer à l'émergence d'ETI pérennes capables de créer de l'emploi et de traverser les cycles.
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Il ne s'était pas passé grand chose sur le front du fléchage de l'épargne en France depuis l'adoption par le Sénat à une très large majorité de la proposition de loi sur le financement des entreprises de la #BITD à partir des ressources collectées par le Livret A et le Livret de Développement Durable et Solidaire en mars 2024. Les sénateurs avaient d'ailleurs inscrit dans la proposition de loi une modification du mandat de Bpifrance en y inscrivant le soutien des entreprises de la BITD. La proposition de loi était alors partie vers l'Assemblée Nationale..... "Le gouvernement encouragera une meilleure mobilisation de l'épargne des Français pour soutenir cette dynamique industrielle, par exemple à travers un nouveau livret d'épargne dédié à l'industrie". C'est ce qu'on a pu entendre de la bouche de Michel Barnier dans sa déclaration de politique générale devant les députés le premier octobre 2024. On pourrait rappeler cyniquement que Nicolas Sarkozy en 2010 lors des états généraux de l'industrie et Jean Marc Ayrault en 2012, déjà dans le cadre de son discours de politique générale, avaient tous deux mis en avant la création d'un Livret d'Epargne Industrie afin de drainer l'épargne disponible à des fins productives. Car, ce n'est pas le montant d'épargne le sujet mais bien son fléchage et le courage politique pour l'orienter vers certaines priorités. Il convient de rappeler qu'à ce jour près de 200Md€, soit 3% du total de l'épargne des ménages français sont investis en Bons du Trésor américains (sous quelque forme que ce soit) une fois qu'on a déduit les encours de la BdF. En clair, une partie de l'épargne française est fléchée vers l'Inflation Réduction Act et non vers nos entreprises dans nos territoires. Il est donc urgent de changer de paradigme.
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Les cabinets de conseil en restructuring se concentrent et craignent une pénurie de main d'oeuvre pour 2025. Chez Durandal Capital, nous sommes déjà sollicités par les équipes d'Interpath ou de FTI Consulting. Nous estimons que ces opérations sont éminemment importantes pour préserver des emplois, des actifs et si possible des entreprises. Néanmoins, le rôle d'un véhicule d'investissement dédié à un secteur doit être de préparer l'avenir et ne peut se réduire à essayer de sauver les meubles. La stratégie d'investissement de Durandal Capital épaulé par les équipes de XV Finance est de participer à la structuration de notre #BITD afin de préparer l'avènement de champions nationaux, voire européens, de dimension PME voire ETI. Si cette thèse d'investissement vous concerne ou vous intéresse, n'hésitez pas à nous contacter sur cette page. #defense #capitalinvestissement #entrepreneuriat #repreneuriat #lbo
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[𝐈𝐑𝐃 𝐈𝐍𝐕𝐄𝐒𝐓 𝐀𝐂𝐂𝐎𝐌𝐏𝐀𝐆𝐍𝐄 𝐁𝐂𝐀 𝐓𝐑𝐀𝐕𝐀𝐔𝐗] 🚧 Nous sommes heureux d’annoncer qu’IRD INVEST et BTP CAPITAL INVESTISSEMENT ont engagé 800 K€ dans la reprise de BCA Travaux, une entreprise de bâtiment spécialisée dans le gros œuvre, l’isolation thermique, la peinture sur façade et l’ouvrage d’art 🏗️. Créée en 1993 par Vincent Duquenne et basée à Courcelles-Les-Lens, BCA Travaux réalise 3,5 millions d’euros de CA avec une équipe de 30 collaborateurs 👷♂️👷♀️. L’entreprise a été reprise par ses dirigeants salariés, olivier Dobraje et Adrien Bué, grâce à une opération de #LMBO soutenue par IRD INVEST (via son fonds Nord Croissance) et BTP CAPITAL INVESTISSEMENT 💼. «𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑠 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑑’𝑎𝑐𝑐𝑜𝑚𝑝𝑎𝑔𝑛𝑒𝑟 𝑂𝑙𝑖𝑣𝑖𝑒𝑟 𝑒𝑡 𝐴𝑑𝑟𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛. 𝐼𝑙𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑝𝑖𝑒̀𝑐𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑖̂𝑡𝑟𝑒𝑠𝑠𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑙’𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑖𝑠𝑒, 𝑢𝑛 𝑓𝑎𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑐𝑙𝑒́ 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑝𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑛𝑖𝑠𝑒𝑟 𝑙’𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑖𝑡𝑒́. 𝑁𝑜𝑢𝑠 𝑎𝑣𝑜𝑛𝑠 𝑚𝑒𝑛𝑒́ 𝑐𝑒𝑡𝑡𝑒 𝑜𝑝𝑒́𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑒𝑛 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑎𝑏𝑜𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟, 𝑒𝑛 𝑝ℎ𝑎𝑠𝑒 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙’𝐴𝐷𝑁 𝑑𝑒 𝑁𝑜𝑟𝑑 𝐶𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒.» David Leprêtre, Directeur d’investissement IRD INVEST / Nord Croissance 📄 Lire le communiqué de presse sur notre site : https://lnkd.in/eEGWJHDG 🤝𝐋’𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐦𝐞𝐧𝐞́𝐞 𝐩𝐚𝐫 : Conseil acquéreurs : JURIDIS 360 : (Stéphan Blavier) Conseil cédants : XV Finance : (Alain Eme) et Fidal : (Jean-Paul Rispail) Investisseurs : IRD INVEST : (David Leprêtre) et BTP CAPITAL INVESTISSEMENT : (Charles-Henri Dollé) Banque : Groupe Crédit Agricole et BTP Banque | Groupe Crédit Coopératif | Groupe BPCE Due diligences : Grant Thornton France - Lille : (Didier Hazebrouck, Vincent Delefosse, Camille LECOMTE) Laurent DESWARTE Laurent HAU David Leprêtre Benjamin Baylis
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XV Finance est notamment spécialisée depuis plus de 15 ans dans des opérations de haut de bilan, avec ou sans effet de levier, auprès de dirigeants de PME. Contactez nous pour évoquer l'OBO, version moins connue du LBO qui peut répondre parfaitement à des problématiques de croissance, de succession, de transmission et/ou de gestion patrimoniale.
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L’article 150-0 B ter du Code Général des Impôts est une disposition fiscale intéressante pour les entrepreneurs en France lorsqu'ils cèdent leur entreprise. Cet article permet de bénéficier d’un mécanisme de report d’imposition de la plus-value réalisée lors de la cession d’une entreprise sous certaines conditions, tant que le produit de la vente est réinvesti dans une nouvelle entreprise éligible. L'utilisation de ce dispositif est plus fréquente chez les entrepreneurs réalisant des plus-values conséquentes et bénéficiant d'un accompagnement juridique et fiscal expert. L'une des principales conditions d’application de l'article 150-0 B ter est que l'entrepreneur réinvestisse dans des PME répondant à certains critères d'éligibilité (non cotées, créées depuis moins de 7 ans, exerçant une activité économique réelle et pas des holdings purement financières, localisées en France ou dans l'Espace Economique Européen). Lors du réinvestissement dans des PME, qu'elles soient créées, reprises ou en croissance, les secteurs privilégiés varient selon les compétences et intérêts de chaque entrepreneur, mais les secteurs technologiques, de l'innovation, de l'économie verte, ainsi que les projets à fort impact social ou environnemental, sont des choix fréquents. Ainsi la technologie, les énergies renouvelables, la biotechnologie, l’agriculture durable, et la fintech sont les domaines où de nombreux cédants réinvestissent. Toutefois, certains réinvestissements sont la conséquence d'un choix par défaut pour ceux qui veulent éviter de perdre l'avantage fiscal, mais qui hésitent à investir dans des secteurs plus risqués ou moins familiers. L'hôtellerie, en dépit de ses qualités intrinsèques, est ainsi un secteur souvent retenu par certains entrepreneurs face à un manque d'autres opportunités. Le principal risque auquel sont confrontés les entrepreneurs qui utilisent le dispositif de l'article 150-0 B ter est en effet la perte du bénéfice du report d'imposition, ce qui entraînerait l'obligation de payer l'impôt sur la plus-value initialement reportée. Cela peut se produire si les conditions de réinvestissement ne sont pas respectées ou si l’investissement échoue. Ce dispositif nécessite donc une gestion prudente, tant sur le plan administratif que financier, ainsi qu'une stratégie de réinvestissement bien pensée pour limiter les risques économiques. N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des précisions à obtenir, des questions à poser ou des besoins à analyser. Un investisseur qualifié a aussi besoin d'experts pour l'accompagner. Durandal Capital, véhicule d'investissement evergreen dédié au secteur Défense et optant pour le statut de SCR, tout comme les FCPR, les FCPI, ou un investissement en direct en private equity est une option compatible avec le 150-0 B ter.