𝗦𝗧𝗢𝗣 𝗮𝘂 𝗰𝗼𝗺𝗯𝗮𝘁 𝗶𝗱𝗲́𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲. 𝗣𝗟𝗔𝗖𝗘 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 ! Quand 65 % de l’impact climatique de la mode est liée à la production des vêtements, tandis que 25 % est la conséquence de leurs ventes en magasins (McKinsey 2023 du State of Fashion), le contrôle de la surproduction passe nécessairement par la régulation de la surconsommation et 𝙪𝙣𝙚 𝙛𝙞𝙨𝙘𝙖𝙡𝙞𝙩𝙚́ 𝙚𝙣𝙫𝙞𝙧𝙤𝙣𝙣𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩𝙖𝙡𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙤𝙗𝙡𝙞𝙜𝙚 𝙘𝙝𝙖𝙦𝙪𝙚 𝙘𝙤𝙣𝙨𝙤𝙢𝙢𝙖𝙩𝙚𝙪𝙧 𝙖̀ 𝙥𝙖𝙮𝙚𝙧 𝙪𝙣𝙚 « 𝙚́𝙘𝙤-𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙞𝙗𝙪𝙩𝙞𝙤𝙣 » 𝙙𝙚̀𝙨 𝙡’𝙖𝙘𝙝𝙖𝙩 d’un produit neuf, reconditionné ou d’occasion, en magasin ou en ligne, quelle que soit son origine. Fédération Allure ® #mode #habillement #textile #chaussures #profuction #retail #environement #economie #emplois #villes #terrtoires
Post de Éric Mertz
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https://lnkd.in/egVYeWVE La prédominance de la « fast fashion » est telle que ses #effets négatifs semblent se propager dans tous les aspects de notre #société, engloutissant même le monde, selon certains observateurs, comme le souligne The Atlantic. La #cadence effrénée de la #production et de la #consommation de vêtements ne montre aucun signe de ralentissement. Au cours du XXIe siècle, la production de #vêtements a quasiment doublé, tandis que la #durée de vie des articles vestimentaires est réduite de moitié. Chaque année, 50 milliards de vêtements sont jetés, à peine un an après leur fabrication. L'#urgence d'agir est indiscutable, mais trouver la meilleure approche pour y parvenir reste complexe. En réponse à cette problématique, l'Assemblée nationale française a récemment adopté une #législation visant à encadrer les #pratiques de la #FastFashion. Verena Gruber Diego Rinallo, Ph.D. Marta Pizzetti Miriam Farias Cette initiative s'inscrit dans une tendance où les consommateurs sont de plus en plus encouragés à contribuer à la préservation de la planète par leurs choix d'achat. Cependant, la faisabilité de cette approche est remise en question.
Contre la « fast fashion », les productions locales doivent être plus et mieux soutenues
theconversation.com
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L’#influence de la « fast fashion » est si omniprésente et ses conséquences négatives si étendues qu’à l’instar de The Atlantic on serait tenté de dire qu’elle « mange le monde ». L’accélération de la production et de la consommation de mode semble sans fin. Depuis le début du XXIe siècle, la production de vêtements a quasiment doublé, tandis que les consommateurs conservent les articles d’habillement deux fois moins longtemps. 50 milliards de vêtements sont jetés dans l’année qui suit leur fabrication. Qu’il soit urgent d’agir semble évident, mais déterminer la meilleure façon de le faire n’est pas si évident. Ainsi, l’Assemblée nationale française a adopté en mars un texte pour réguler les pratiques de la fast fashion. https://lnkd.in/eUNzY44J
Contre la « fast fashion », les productions locales doivent être plus et mieux soutenues
theconversation.com
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Une vision claire et structurée pour relever les défis de l'industrie de la mode ! Les mutations liées aux comportements des consommateurs et à la pénurie de ressources ne transformeront pas l'industrie en une nuit, entre le 31 décembre 2024 et le 1er janvier 2025. Mais une chose est sûre : ces bouleversements seront profonds, inévitables et porteurs de changements durable. 👉 Anticiper dès maintenant est clé pour survivre demain dans un monde dans lequel la seconde main pourrait être un mode de consommation dominant.
Partner, Global Head of Markets and Member of Global Executive Committee at BearingPoint | Driving Cross-Industry Transformation & Growth | 25+ Years of Leadership in Consumer, Retail & Luxury
J'ai le plaisir de vous partager ma tribune "Les acteurs de la mode : condamnés à durer ?" publiée dans La Tribune. Face à une pression croissante, l’industrie de la mode doit se transformer en profondeur pour rester rentable et durable. Entre la montée de la fast-fashion et la demande pour une mode plus responsable, les défis sont nombreux. La seconde main émerge comme une solution prometteuse, mais suffira-t-elle à freiner la surconsommation ? Avec des ressources limitées et des pressions environnementales, repenser les pratiques de production est crucial. La transformation durable n’est plus une option, mais une nécessité pour assurer la pérennité du secteur. Entre défis et opportunités, je vous invite à en découvrir davantage ici : https://lnkd.in/ekpNu5zN #FastFashion #SecondeMain #Transformation #Innovation #Durabilité
Les acteurs de la mode : condamnés à durer ?
latribune.fr
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La fast fashion : un choix économique ou d’abondance ? Cette question m’est venue en écoutant l’une des fondatrices de Vestiaire Collective (Fanny Moizant) dans le podcast de Pauline Laigneau pendant ma course à pied ce dimanche 🏃♂️ Puis, je me suis renseigné et voici ce que j’ai trouvé 👇 L’instinct d’abondance, hérité de notre passé, alimente aujourd’hui la surconsommation et des pratiques comme la fast fashion. Mais qu’entend-on par fast fashion ? Eh bien, c’est simplement un modèle de production de vêtements caractérisé par deux éléments : 👉 Une reproduction rapide des dernières tendances 👉 Une production à faible coût Le principe de ce modèle économique est de renouveler les collections rapidement pour encourager une consommation de masse Les grandes entreprises de la fast fashion justifient ce modèle en affirmant que … « la mode doit être accessible à tous » Comme de grands défenseurs des combats sociaux Pourtant, leurs impacts négatifs sur la société ne sont plus à démontrer : ❌ Surconsommation ❌ Culture du jetable ❌ Conditions de travail précaires ❌ Aggravation des inégalités économiques Cela serait donc le prix à payer pour rendre la mode accessible à tous ! 🤔 Mais peut-être que même cette mission sociale, la fast fashion n’y parvient pas, voire l’empire ! Au lieu de redonner du pouvoir d’achat, elle en enlèverait. Je vous explique… Si l’on prend le prix affiché en magasin ou sur internet, bien sûr, les marques de fast fashion sont bien moins chères que leurs concurrentes (ce qui peut attirer 🫣) Mais si l’on prend en compte le Cost Per Wear (coût par usage) : ([prix de l’article] - [valeur de revente]) / [nombre de fois porté] on se rend vite compte que les articles de fast fashion coûtent beaucoup plus cher que d’autres articles. 👇👇👇 Alors, que ce soit pour des raisons économiques ou sociales, autant privilégier des articles de mode de bonne qualité (et petit + si c’est local 🇫🇷) Et pour répondre à ma question du début la fast fashion est avant tout une recherche d’abondance subconsciente, mais qui se justifie de façon économique, ce qui est infondé, voire même contraire. Bref, l’idéal serait de consommer moins, mais mieux 🌱 #FastFashion #ConsommationResponsable #ModeEthique #Durabilité #ImpactEnvironnemental #Surconsommation #ÉconomieCirculaire #ModeDurable
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[#Textile] "Littéralement, la "fast fashion", c'est la mode rapide. On parle aussi de mode jetable parce que dans l'industrie de l'habillement classique, on avait quatre saisons, quatre grandes collections mises sur le marché. À partir des années 80, l'accélération commence avec dix collections par an puis 52. Zara, par exemple, met en rayon 500 nouveaux modèles chaque semaine. On pense aussi à H&M, Primark ou encore Bershka. Mais aujourd'hui, avec notamment la plateforme Shein, on arrive à 8 000 produits inédits chaque jour, expédiés dans plus de 120 pays. Pour tous les observateurs de la fast fashion, ce système ne fonctionne que s'il y a exploitation des ouvriers - et plus particulièrement des ouvrières - du textile. D'abord en Chine, puis progressivement dans d'autres pays d'Asie du sud-est où les salaires sont encore plus bas pour des journées qui n'en finissent plus : 14 heures et jusqu'à 18 heures de travail pour toucher, par exemple, 0,18 centime pour une robe dans des conditions indignes voire dangereuses. Souvenez-vous du drame du Rana Plaza : une usine de confection au Bangladesh, non conforme aux normes de sécurité. Le bâtiment s'était effondré faisant plus de 1 100 morts et 2 500 blessés. Depuis plus de 40 ans, les clients sont toujours là. On estime qu'il se vend 56 millions de tonnes de vêtements, chaque année, dans le monde. C'est deux fois plus que dans les années 2000. Conséquence, évidemment : la pollution augmente, pour produire et ensuite détruire ces montagnes de déchets textiles. Et la nouvelle "ultra fast fashion" n'arrange rien, avec Shein ou Temu. C'est ce qu'affirme Audrey Millet, historienne de la mode, autrice du Livre noir de la mode : "Fast fashion, ultra fast fashion : même combat. Parce que la fast fashion est basée sur la #prédation de l'#environnement et du #travailleur. L'ultra fast fashion aussi, sauf que les volumes sont multipliés. Ils font des produits encore moins chers, donc faits dans des conditions encore plus abominables d'exploitation du travailleur. Au point de les tuer, afin de baisser les coûts encore plus et encore plus." On estime que cette industrie rejette à elle seule 10% des émissions de gaz à effet de serre de la planète."
Fast fashion, ultra fast fashion : c’est quoi la mode rapide, jugée responsable de la disparition des enseignes traditionnelles ?
msn.com
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La fast fashion, à quel prix ? ❌ Le secteur de la seconde main est en crise, inondé de vêtements de mauvaise qualité, issus de la fast fashion, qui saturent les filières de réutilisation ♻️ Découvrez comment Terre et d’autres acteurs de la seconde main sont impactés 🔗 https://bit.ly/4eXnIY2
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💼 Prêt-à-porter : un secteur en pleine mutation 💼Après une année 2023 difficile pour la mode en France, où en sommes-nous en 2024 ? Si la Fashion Week a redonné un peu d'éclat au secteur, les défis restent nombreux. Comme le souligne Céline Pagat-Choain, senior partner chez Kéa, la crise se poursuit avec la fermeture de marques emblématiques. Mais un facteur clé ressort : l'impact grandissant de l'ultra fast fashion, notamment des géants comme Shein, qui inondent le marché avec des milliers de nouvelles références chaque jour.➡️ Conséquences ? Un bouleversement des modèles traditionnels, avec une production et une consommation de plus en plus rapides... mais aussi une remise en question croissante face à l’urgence de la durabilité.✨ En parallèle, le marché de la seconde main ne cesse de croître, offrant une alternative plus vertueuse. Des plateformes comme Vinted et Vestiaire Collective captent une partie importante des consommateurs, à la recherche d'une consommation plus responsable.🔑 Les gagnants du secteur ? Des marques comme Sézane, Rouje ou Balzac, qui ont su miser sur une offre unique, une forte connexion avec leur communauté, et une transformation digitale agile. Ces acteurs montrent qu'il est possible de tirer son épingle du jeu, en réinventant leur modèle pour allier performance et responsabilité.L'ultra fast fashion offre des solutions immédiates mais à quel prix ? L'industrie de la mode doit désormais relever le défi de combiner rentabilité et durabilité, sous peine de se heurter à des contradictions de plus en plus visibles. #Mode #Retail #FastFashion #SecondeMain #Innovation #Durabilitéhttps://lnkd.in/eAFUBs9k
« Prêt-à-porter : l’ultra fast fashion a démontré sa capacité d’invasion » – Céline Pagat-Choain, Kéa
consultor.fr
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👚 Le petit top à 2 euros qu'on achète parce que "ça ne vaut pas le coup de s'en passer", la garde robe qui semble renouvelable à l'infini, c'est l'illusion que donne les nouveaux acteurs de l'ultra fast fashion. 🚮 Des vêtements pas cher de mauvaise qualité mais qui ont un très lourd impact sur l'environnement. Et ce sont les Africains qui doivent gérer l'immense amas de déchets que cela représente. 💡 Un défi que tente de relever avec peu de moyens quelques associations. Une mise en perspective que je relate dans cet article ⬇
Le secteur de la mode est l'un des plus polluants au monde. L'émergence de nouveaux acteurs de l'ultra fast fashion, tels que Shein ou Temu, ne fait qu'accentuer les problèmes d'une industrie déjà saturée, et les pays africains sont devenus nos poubelles à ciel ouvert. Un article signé Audrey Somnard. Tous nos articles sont disponibles en français, anglais et allemand. #fastfashion #pollution #industrie #afrique #luxembourg #environnement #économie #presse #journalisme Shape Innovate Yayra Agbofah Muchaneta ten Napel
La poubelle de l'Europe
journal.lu
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Alors que la France devient le premier pays à légiférer pour freiner la « fast fashion », les ventes de vêtements de seconde main explosent ! On vous explique tout 🛍 ⬇ Le secteur textile serait responsable de 10 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Cette part pourrait même atteindre les 26 % en 2050 selon l’ADEME... Et qui dit fast fashion, dit pollution de l’eau et des sols, exploitation des ressources, et impacts sociaux et humains. 🤯 Mais le mois dernier, l’Assemblée nationale française a voté des mesures pour lutter contre la fast fashion (à retrouver dans notre carrousel). En parallèle, les ventes mondiales de vêtements de seconde main auraient atteint un record en 2023 : rien qu’aux États-Unis, ce marché spécifique aurait progressé 15 fois plus vite que celui de la vente au détail. D’ici 2028, on estime que le marché mondial de l’habillement de seconde main atteindra 350 milliards de dollars ! ➔ Et si l’écosystème de la mode devenait plus circulaire ? Partagez-nous vos retours en commentaire ! 👀 #Azickia #FastFashion #ModeResponsable #Textile #Friperie #SecondeMain #Upcycling Sources : Positive News | Fashion Network | Huffington Post | Fashion United
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Je viens de regarder un documentaire effrayant en replay sur France TV ! Je le recommande à toutes ces et ceux qui veulent éveiller les consciences de la génération Fast Fashion et de l'hyper consommation de vêtements. “SHEIN : Enquête sur le géant de la fast fashion” Le film met en lumière plusieurs aspects préoccupants de cette entreprise mortifère : - l'impact écologique catastrophique (si on compte les retours produits, beaucoup d'articles font plus de 8000 km pour arriver chez le client final) - la qualité plus que médiocre et toxicité des produits (présence de Nickel et de chrome). - des stratégies de marketing agressives accompagnées de fausses allégations écologiques. - des conditions de travail catastrophique avec des horaires plus qu'excessifs et des salaires dérisoires. Cette enquête doit conduire à remettre en question (à stopper même !!) la manière d'hyper consommer, soulignant les paradoxes d’une génération sensible aux enjeux écologiques mais séduite par des offres de mode à bas prix. https://lnkd.in/eVccCPha
SHEIN : Enquête sur le géant de la fast fashion SHEIN : Enquête sur le géant de la fast fashion - Le documentaire
france.tv
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