🗣️Plus de 80 % des #violences #sexuelles chez les #hommes ont lieu avant 18 ans. Entre 0 et 10 ans, les #garçons sont la plupart du temps agressés par des hommes adultes. 🗣️Durant l’adolescence, ça ne vient pas forcément des adultes mais de la part d’hommes plus âgés. A l’âge adulte, il y a d’autres problématiques. 🗣️Les violences sont moins prises au sérieux lorsqu’elles touchent des personnes #homosexuelles. On a beaucoup plus tendance à croire les victimes #hétérosexuelles. Parce qu’il y a cette représentation que les personnes homosexuelles l’auraient cherché, comme les #femmes. Il y a une inversion de la #culpabilité. ❓Quelles sont les principales sphères où s’exercent ces violences ? 🗣️Avant l’âge de 11 ans, les violences viennent majoritairement de la famille et de l’entourage proche. 🗣️A l’adolescence, elles ont lieu généralement dans le milieu scolaire et dans les espaces de sociabilité, comme les activités sportives et de loisirs. 🗣️A l’âge adulte, les hommes sont plus susceptibles d’être confrontés à ces violences dans le cadre de leur vie sexuelle. 🔴 Enfin, rappelons que 90 % des auteurs de violences sexuelles sont des hommes, selon l’enquête Virage menée par l’Ined. #vss #MeeTooGarçons
Post de ⚖Sophie Nonnenmacher
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Mes expériences professionnelles m'ont amenée à être au cœur des violences sexuelles subies par les enfants, violences qui visaient tant les garçonnets que les adolescents. Cet article ouvre une fenêtre aux sévices sexuelles dont ces enfants ont été victimes. Il pose la question à quand le #Metooenfants Tant la Commission de droit du Canada que la commission vérité et réconciliation du Canada ont fait un travail sur les violences sexuelles dans les institutions, il reste beaucoup à faire pour briser le silence. Extraits Ces hommes prennent aussi plus de temps à dénoncer les faits puisque ces violences ont été exercées sur eux la plupart du temps lorsqu’ils étaient enfants. Elles sont aussi plus compliquées à identifier. Eux-mêmes ne les identifient parfois pas comme telles. Ils parlent de récits de violences, mais sans les nommer ainsi. ... « La masculinité est un piège » Ces hommes prennent aussi plus de temps à dénoncer les faits puisque ces violences ont été exercées sur eux la plupart du temps lorsqu’ils étaient enfants. Elles sont aussi plus compliquées à identifier. Eux-mêmes ne les identifient parfois pas comme telles. Ils parlent de récits de violences, mais sans les nommer ainsi. ... Les hommes sont principalement touchés durant l’enfance et l’adolescence, et parlent moins à l’âge adulte. Comment l’expliquez-vous ? ... Plus de 80 % des violences sexuelles chez les hommes ont lieu avant 18 ans. Entre 0 et 10 ans, les garçons sont la plupart du temps agressés par des hommes adultes. Durant l’adolescence, ça ne vient pas forcément des adultes mais de la part d’hommes plus âgés. A l’âge adulte, il y a d’autres problématiques. Les violences sont moins prises au sérieux lorsqu’elles touchent des personnes homosexuelles. On a beaucoup plus tendance à croire les victimes hétérosexuelles. Parce qu’il y a cette représentation que les personnes homosexuelles l’auraient cherché, comme les femmes. Il y a une inversion de la culpabilité. Quelles sont les principales sphères où s’exercent ces violences ? Avant l’âge de 11 ans, les violences viennent majoritairement de la famille et de l’entourage proche. A l’adolescence, elles ont lieu généralement dans le milieu scolaire et dans les espaces de sociabilité, comme les activités sportives et de loisirs. A l’âge adulte, les hommes sont plus susceptibles d’être confrontés à ces violences dans le cadre de leur vie sexuelle. A quand le #MeToo des enfants ? Les personnes homosexuelles ont notamment tendance à subir ces violences de manière plus récurrente en raison de relations avec des hommes souvent plus âgés, en particulier lorsqu’ils entrent dans la sexualité entre hommes. La différence d’âge provoque un rapport de domination. Enfin, rappelons que 90 % des auteurs de violences sexuelles sont des hommes, selon l’enquête Virage menée par l’Ined.
[#METOOGARÇONS] L’acteur Aurélien Wiik a révélé le 22 février dernier avoir été abusé par son agent entre 11 ans et 15 ans. Il en a aujourd'hui 43 et a lancé le #MeTooGarçons sur lequel des centaines d'hommes prennent la parole pour dénoncer les abus qu'ils ont connus dans leur jeunesse. « Quand j’avais 11 ans mon grand frère m’a demandé de lui faire une fellation » ; « J’ai été victime d’attouchements sexuels par un cousin que je voyais tous les étés » ; « Le médecin de famille me faisait des attouchements à l’âge de 16 ans » ; « De mes 9 ans à mes 15 ans, j’ai été abusé par mon beau-père » ; « J’avais à peine 18 ans, relation d’emprise et de contrôle », ... des exemples cités par Samuel Laurent et Yan Gauchard dans Le Monde (https://lnkd.in/ey9bPAJU). Une prise de parole, à l'instar de celle de Judith Godrèche qui dépasse largement les sphères du cinéma. Pour rappel, si les #violences sexuelles sont massivement subies par des femmes, 13 % des 87 700 #victimes recensées en 2022 sont des hommes selon les statistiques officielles. Des violences qui sont à 90% le fait d'hommes. Lucie Wicky, doctorante en sociologie à l’EHESS - École des hautes études en sciences sociales et à l’Ined - Institut national d'études démographiques, a mené une cinquantaine d’entretiens avec des hommes victimes de violences sexuelles, dans le cadre de sa thèse qu’elle rédige actuellement. Dans L'Obs elle revient sur les particularités de ce nouveau #MeToo (https://lnkd.in/eHzi4Hzc). Une des différences majeures avec les violences subies par les femmes est que 80 % des violences sexuelles chez les hommes ont lieu avant 18 ans. La parole des victimes homosexuelles est aussi moins prise en compte, sous le stéréotype tenace, qu'ils l'auraient bien cherché, à l'instar de ce qui peut être renvoyé aux femmes. Ces violences ont lieu majoritairement dans le cadre familial avant 11 ans, puis plus tard dans les milieux de sociabilisation (école, activités sportives, ...). Adulte, c'est dans le cadre de leur vie sexuelle que ces abus interviennent : « Les personnes homosexuelles ont notamment tendance à subir ces violences de manière plus récurrente en raison de relations avec des hommes souvent plus âgés, en particulier lorsqu’ils entrent dans la sexualité entre hommes. Une différence d’âge qui provoque un rapport de domination. » Comme elle le pointe, « notre société a une pratique de "silenciation" de ces faits, les enfants – garçons ou filles – ne sont pas assez entendus, leur parole n’est pas prise au sérieux. » Une exigence que nous devons porter à l'instar de la devise mise en avant par la CIIVISE première version : « On te croit, on te protège »
#MeTooGarçons : « Plus de 80 % des violences sexuelles chez les hommes ont lieu avant 18 ans »
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Une campagne #MeToo pour les #chemsexers ? L'#abus #sexuel dans l'#enfance apparaît comme un facteur de risque (de vulnérabilité) très important (presque 6 fois plus) pour qui s'engage dans la pratique régulière (non récréative) du #chemsex chez les #HSH à l'âge adulte. Tel est le résultat principal d'une étude - réalisée par l'association de promotion de la santé www.aremedia.org - parue dans la revue de référence #BritishMedicalJournal #STI et récemment présentée en détail au #Congrès #Français de #Psychiatrie (Lyon, 1er dec.2023).https://lnkd.in/e-pQgjmY ainsi qu'à la #Convention de #Sidaction https://lnkd.in/gAwcM4VM Dans cette étude exploratoire, plus d'un #tiers des #chemsexers engagés dans une pratique régulière seraient concernés. Ce que semble confirmer par ailleurs une très récente étude de cohorte clinique (certes limitée à 71 patients fréquentant la consultation d'#addictologie de l'hôpital #SaintAntoine, AP-HP). https://lnkd.in/eJZe6rsp Il serait certainement important d'intégrer cette question, parmi d'autres, à une large #enquête #épidémiologique sur la pratique du #chemsex - représentative de l'ensemble des diverses populations #HSH vivant en France - que tardent à lancer les pouvoirs publics, en dépit du rapport d'expert remis au Ministre voici 2 ans par le PrA.#BENYAMINA et de l'urgence rappelée de manière insistante par les acteurs associatifs communautaires. Sans omettre la diffusion actuelle du #chemsex en population xn--htrosexuelle-bebb.https://https://lnkd.in/gJKJTtvp. Pour rappel, selon les résultats 2021 de l’enquête en ligne #ERAS (Enquête Rapport au Sexe), la prévalence d’infection par le #VIH est de 22% pour les #HSH pratiquant le #chemsex vs 5% pour ceux qui ne le pratiquent pas. C'est dire le poids de ce problème majeur de santé publique que représente aujourd'hui l'usage problématique du #chemsex (sans tenir compte des décés par surdose, suicide et les complications psychiatriques chroniques). Il paraît également opportun d'introduire la question de l'abus sexuel dans l'enfance dans la prochaine édition de cette enquête périodiquement réalisée par le #SESSTIM et #SantéPubliqueFrance. https://lnkd.in/eRfegQJS Pour conclure, cette donnée inattendue mise en évidence par l'étude de l'association www.aremedia.org devrait faire évoluer et adapter la prise en charge du #chemsex par les cliniciens dans une perspective élargie de Réduction des Risques et Dommages (#RdRD) et, au-delà, intéresser l'ensemble de la #communauté #HSH et ses acteurs associatifs ainsi que, bien entendu, les personnes concernées. https://lnkd.in/e-pQgjmY Dans une perspective globale, à la fois préventive, thérapeutique et sociale, face à l'actuel essor du phénomène du #chemsex, ne pourrait-on pas proposer le lancement sur les réseaux sociaux d'un mouvement communautaire de masse sur le modèle d'un #MeToo ?
[#METOOGARÇONS] L’acteur Aurélien Wiik a révélé le 22 février dernier avoir été abusé par son agent entre 11 ans et 15 ans. Il en a aujourd'hui 43 et a lancé le #MeTooGarçons sur lequel des centaines d'hommes prennent la parole pour dénoncer les abus qu'ils ont connus dans leur jeunesse. « Quand j’avais 11 ans mon grand frère m’a demandé de lui faire une fellation » ; « J’ai été victime d’attouchements sexuels par un cousin que je voyais tous les étés » ; « Le médecin de famille me faisait des attouchements à l’âge de 16 ans » ; « De mes 9 ans à mes 15 ans, j’ai été abusé par mon beau-père » ; « J’avais à peine 18 ans, relation d’emprise et de contrôle », ... des exemples cités par Samuel Laurent et Yan Gauchard dans Le Monde (https://lnkd.in/ey9bPAJU). Une prise de parole, à l'instar de celle de Judith Godrèche qui dépasse largement les sphères du cinéma. Pour rappel, si les #violences sexuelles sont massivement subies par des femmes, 13 % des 87 700 #victimes recensées en 2022 sont des hommes selon les statistiques officielles. Des violences qui sont à 90% le fait d'hommes. Lucie Wicky, doctorante en sociologie à l’EHESS - École des hautes études en sciences sociales et à l’Ined - Institut national d'études démographiques, a mené une cinquantaine d’entretiens avec des hommes victimes de violences sexuelles, dans le cadre de sa thèse qu’elle rédige actuellement. Dans L'Obs elle revient sur les particularités de ce nouveau #MeToo (https://lnkd.in/eHzi4Hzc). Une des différences majeures avec les violences subies par les femmes est que 80 % des violences sexuelles chez les hommes ont lieu avant 18 ans. La parole des victimes homosexuelles est aussi moins prise en compte, sous le stéréotype tenace, qu'ils l'auraient bien cherché, à l'instar de ce qui peut être renvoyé aux femmes. Ces violences ont lieu majoritairement dans le cadre familial avant 11 ans, puis plus tard dans les milieux de sociabilisation (école, activités sportives, ...). Adulte, c'est dans le cadre de leur vie sexuelle que ces abus interviennent : « Les personnes homosexuelles ont notamment tendance à subir ces violences de manière plus récurrente en raison de relations avec des hommes souvent plus âgés, en particulier lorsqu’ils entrent dans la sexualité entre hommes. Une différence d’âge qui provoque un rapport de domination. » Comme elle le pointe, « notre société a une pratique de "silenciation" de ces faits, les enfants – garçons ou filles – ne sont pas assez entendus, leur parole n’est pas prise au sérieux. » Une exigence que nous devons porter à l'instar de la devise mise en avant par la CIIVISE première version : « On te croit, on te protège »
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Mes expériences professionnelles m'ont amené à être au cœur des violences sexuelles subies par les enfants, violences qui visaient tant les garçonnets que les adolescents. Cet article ouvre une fenêtre aux sévices sexuelles dont ces enfants ont été victimes. Il pose la question à quand le #Metooenfants Tant la Commission de droit du Canada que la commission vérité et réconciliation du Canada ont fait un travail sur les violences sexuelles dans les institutions, il reste beaucoup à faire pour briser le silence. Extraits Ces hommes prennent aussi plus de temps à dénoncer les faits puisque ces violences ont été exercées sur eux la plupart du temps lorsqu’ils étaient enfants. Elles sont aussi plus compliquées à identifier. Eux-mêmes ne les identifient parfois pas comme telles. Ils parlent de récits de violences, mais sans les nommer ainsi. ... « La masculinité est un piège » Ces hommes prennent aussi plus de temps à dénoncer les faits puisque ces violences ont été exercées sur eux la plupart du temps lorsqu’ils étaient enfants. Elles sont aussi plus compliquées à identifier. Eux-mêmes ne les identifient parfois pas comme telles. Ils parlent de récits de violences, mais sans les nommer ainsi. ... Les hommes sont principalement touchés durant l’enfance et l’adolescence, et parlent moins à l’âge adulte. Comment l’expliquez-vous ? ... Plus de 80 % des violences sexuelles chez les hommes ont lieu avant 18 ans. Entre 0 et 10 ans, les garçons sont la plupart du temps agressés par des hommes adultes. Durant l’adolescence, ça ne vient pas forcément des adultes mais de la part d’hommes plus âgés. A l’âge adulte, il y a d’autres problématiques. Les violences sont moins prises au sérieux lorsqu’elles touchent des personnes homosexuelles. On a beaucoup plus tendance à croire les victimes hétérosexuelles. Parce qu’il y a cette représentation que les personnes homosexuelles l’auraient cherché, comme les femmes. Il y a une inversion de la culpabilité. Quelles sont les principales sphères où s’exercent ces violences ? Avant l’âge de 11 ans, les violences viennent majoritairement de la famille et de l’entourage proche. A l’adolescence, elles ont lieu généralement dans le milieu scolaire et dans les espaces de sociabilité, comme les activités sportives et de loisirs. A l’âge adulte, les hommes sont plus susceptibles d’être confrontés à ces violences dans le cadre de leur vie sexuelle. A quand le #MeToo des enfants ? Les personnes homosexuelles ont notamment tendance à subir ces violences de manière plus récurrente en raison de relations avec des hommes souvent plus âgés, en particulier lorsqu’ils entrent dans la sexualité entre hommes. La différence d’âge provoque un rapport de domination. Enfin, rappelons que 90 % des auteurs de violences sexuelles sont des hommes, selon l’enquête Virage menée par l’Ined.
[#METOOGARÇONS] L’acteur Aurélien Wiik a révélé le 22 février dernier avoir été abusé par son agent entre 11 ans et 15 ans. Il en a aujourd'hui 43 et a lancé le #MeTooGarçons sur lequel des centaines d'hommes prennent la parole pour dénoncer les abus qu'ils ont connus dans leur jeunesse. « Quand j’avais 11 ans mon grand frère m’a demandé de lui faire une fellation » ; « J’ai été victime d’attouchements sexuels par un cousin que je voyais tous les étés » ; « Le médecin de famille me faisait des attouchements à l’âge de 16 ans » ; « De mes 9 ans à mes 15 ans, j’ai été abusé par mon beau-père » ; « J’avais à peine 18 ans, relation d’emprise et de contrôle », ... des exemples cités par Samuel Laurent et Yan Gauchard dans Le Monde (https://lnkd.in/ey9bPAJU). Une prise de parole, à l'instar de celle de Judith Godrèche qui dépasse largement les sphères du cinéma. Pour rappel, si les #violences sexuelles sont massivement subies par des femmes, 13 % des 87 700 #victimes recensées en 2022 sont des hommes selon les statistiques officielles. Des violences qui sont à 90% le fait d'hommes. Lucie Wicky, doctorante en sociologie à l’EHESS - École des hautes études en sciences sociales et à l’Ined - Institut national d'études démographiques, a mené une cinquantaine d’entretiens avec des hommes victimes de violences sexuelles, dans le cadre de sa thèse qu’elle rédige actuellement. Dans L'Obs elle revient sur les particularités de ce nouveau #MeToo (https://lnkd.in/eHzi4Hzc). Une des différences majeures avec les violences subies par les femmes est que 80 % des violences sexuelles chez les hommes ont lieu avant 18 ans. La parole des victimes homosexuelles est aussi moins prise en compte, sous le stéréotype tenace, qu'ils l'auraient bien cherché, à l'instar de ce qui peut être renvoyé aux femmes. Ces violences ont lieu majoritairement dans le cadre familial avant 11 ans, puis plus tard dans les milieux de sociabilisation (école, activités sportives, ...). Adulte, c'est dans le cadre de leur vie sexuelle que ces abus interviennent : « Les personnes homosexuelles ont notamment tendance à subir ces violences de manière plus récurrente en raison de relations avec des hommes souvent plus âgés, en particulier lorsqu’ils entrent dans la sexualité entre hommes. Une différence d’âge qui provoque un rapport de domination. » Comme elle le pointe, « notre société a une pratique de "silenciation" de ces faits, les enfants – garçons ou filles – ne sont pas assez entendus, leur parole n’est pas prise au sérieux. » Une exigence que nous devons porter à l'instar de la devise mise en avant par la CIIVISE première version : « On te croit, on te protège »
#MeTooGarçons : « Plus de 80 % des violences sexuelles chez les hommes ont lieu avant 18 ans »
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[VIOLENCES SEXUELLES FAITES AUX ENFANTS] La CIIVISE et l'Association e-Enfance / 3018 ont fait réaliser une enquête sur le niveau d'information des français.e.s sur le sujet des #violences sexuelles en direction des #enfants. parmi les principaux enseignements : ▶️ Les deux tiers des Français (64%) déclarent avoir le sentiment d’être bien informés concernant les violences sexuelles faites aux enfants en France. La plupart des Français (80%) estiment également qu’ils sauraient comment réagir (signalement, accompagnement, aides, etc.) s’ils étaient témoins ou au courant de violences sexuelles commises sur un enfant, dont 30% qui l’affirment de façon certaine. ▶️ Néanmoins, lorsqu’on interroge les Français sur des données réelles sur le sujet, les confusions sont nombreuses, et tout particulièrement chez les profils qui avaient le sentiment d’avoir un bon niveau de connaissance (les hommes, les parents de jeunes enfants et les moins de 35 ans). ▶️ Les Français sous-estiment largement le nombre de personnes qui ont été victimes de violences sexuelles lorsqu’ils étaient enfants, en France. En effet, 82% estiment ce chiffre à 500 000 (34%) ou 2 millions (48%), loin du chiffre réel de 5 millions (seulement 13% avaient une estimation juste). Aussi, un quart des Français (25%) considère que sur une classe de 30 élèves, un d’entre eux (voire aucun) a été (ou est) victime d’inceste en France, alors qu’ils sont en réalité trois. ▶️ 4 Français sur 10 (39%) estiment que les auteurs de violences sexuelles sont surtout des personnes issues de l’entourage de l’enfant mais hors de la famille et des proches, voire totalement inconnues, alors qu’il s’agit dans la plupart des cas de membres de la famille ou des proches ▶️ A peine plus d’un Français sur deux (54%) a conscience que le risque d’être #victime de violences sexuelles pour un enfant est aussi important sur Internet que sur des lieux physiques. ▶️ Moins d’un Français sur cinq (18%) a conscience qu’il s’écoule en moyenne moins d’une minute avant qu’un potentiel auteur de violences sexuelles ne contacte un enfant sur un site internet / une application permettant de dialoguer. ▶️ Les deux tiers (65%) des Français ont conscience que les garçons sont autant concernés que les filles par les violences sexuelles faites aux enfants sur Internet. ▶️ Une majorité de Français (61%) savent que l’âge moyen d’inscription sur les réseaux sociaux se situe à 8 ans, une part non négligeable (plus d’un quart) tend à penser que cela intervient beaucoup plus tard (autour de 14 ans). Une étude à retrouver ci-dessous ou à cette adresse : https://lnkd.in/e34iVU3f
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Très important. Toute la difficulté de la résolution du problème complexe des violences sexistes et sexuelles réside dans les croyances et l'absence de maîtrise des éléments de connaissance, de compétences diverses utiles. Il en va de mieux pour la question écologique ou du climat. C'est grave parce que cet impensé du sexisme, ces croyances sur les violences sexistes et sexuelles, nous prive de solutions efficientes. Les gens pensent savoir. Généralement, puisque la prévention systémique n'existe pas, ils "croient". Ils sont sur des stéréotypes sans le savoir. De plus, le business qui se crée autour de ces sujets, parce qu'il y a des fonds attribués (et c'est tant mieux, et ils sont insuffisants, et pas toujours les mieux fléchés) font intervenir des profils qui ne sont pas toujours compétents, qui abordent les sujets de leur point de vue, pas toujours incarné, et qui n'ont pas toujours vécu l'expérience de la victimation. Celleux-là prônent des recettes sociologiques intéressantes tout en étant capables, pour seul exemple qui m'a marqué personnellement, de disqualifier les femmes qui ont mis en cause l'Abbé Pierre, cet homme formidable... Parce qu'il faut laisser faire la justice (c'est vrai, dès lors qu'elle sera équipée sur la question - formations, moyens) et qu'il y a la fameuse présomption d'innocence et qu'en plus, il est mort... Il n'est pas rare que je rencontre des hommes, notamment, sincèrement engagés pour l'égalité, contre les discriminations mais qui manifestement ne considèrent pas le sexisme comme le continuum de violence qu'il est pourtant. C'est ce que reflètent ces chiffres : les gens sont pour l'égalité mais concrètement, n'agissent pas nécessairement en bonne connaissance de cause. Ce sujet moche des violences sexistes et sexuelles est difficile à regarder en face tant il est la norme. Il va nous falloir des décideurs et décideuses politiques bien courageuses, à l'écoute véritable des victimes, des professionnel·les engagé·es (qui militent pour le changement) et des associations féministes, de lutte pour les Droits des Femmes, des enfants, humains. Merci à l'association Citoyens & Justice (dont on espère que le nom changera prochainement Citoyen·nes & Justice 😉) pour ses posts toujours riches.
[VIOLENCES SEXUELLES FAITES AUX ENFANTS] La CIIVISE et l'Association e-Enfance / 3018 ont fait réaliser une enquête sur le niveau d'information des français.e.s sur le sujet des #violences sexuelles en direction des #enfants. parmi les principaux enseignements : ▶️ Les deux tiers des Français (64%) déclarent avoir le sentiment d’être bien informés concernant les violences sexuelles faites aux enfants en France. La plupart des Français (80%) estiment également qu’ils sauraient comment réagir (signalement, accompagnement, aides, etc.) s’ils étaient témoins ou au courant de violences sexuelles commises sur un enfant, dont 30% qui l’affirment de façon certaine. ▶️ Néanmoins, lorsqu’on interroge les Français sur des données réelles sur le sujet, les confusions sont nombreuses, et tout particulièrement chez les profils qui avaient le sentiment d’avoir un bon niveau de connaissance (les hommes, les parents de jeunes enfants et les moins de 35 ans). ▶️ Les Français sous-estiment largement le nombre de personnes qui ont été victimes de violences sexuelles lorsqu’ils étaient enfants, en France. En effet, 82% estiment ce chiffre à 500 000 (34%) ou 2 millions (48%), loin du chiffre réel de 5 millions (seulement 13% avaient une estimation juste). Aussi, un quart des Français (25%) considère que sur une classe de 30 élèves, un d’entre eux (voire aucun) a été (ou est) victime d’inceste en France, alors qu’ils sont en réalité trois. ▶️ 4 Français sur 10 (39%) estiment que les auteurs de violences sexuelles sont surtout des personnes issues de l’entourage de l’enfant mais hors de la famille et des proches, voire totalement inconnues, alors qu’il s’agit dans la plupart des cas de membres de la famille ou des proches ▶️ A peine plus d’un Français sur deux (54%) a conscience que le risque d’être #victime de violences sexuelles pour un enfant est aussi important sur Internet que sur des lieux physiques. ▶️ Moins d’un Français sur cinq (18%) a conscience qu’il s’écoule en moyenne moins d’une minute avant qu’un potentiel auteur de violences sexuelles ne contacte un enfant sur un site internet / une application permettant de dialoguer. ▶️ Les deux tiers (65%) des Français ont conscience que les garçons sont autant concernés que les filles par les violences sexuelles faites aux enfants sur Internet. ▶️ Une majorité de Français (61%) savent que l’âge moyen d’inscription sur les réseaux sociaux se situe à 8 ans, une part non négligeable (plus d’un quart) tend à penser que cela intervient beaucoup plus tard (autour de 14 ans). Une étude à retrouver ci-dessous ou à cette adresse : https://lnkd.in/e34iVU3f
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Cette enquête de la CIIVISE et de l’Association e-Enfance / 3018 révèle une réalité alarmante : même si beaucoup de Français pensent être bien informés sur les violences sexuelles faites aux enfants, les chiffres montrent une méconnaissance généralisée et une sous-estimation des risques. 😟 🔴 Il est temps de changer les choses : la prévention est la clé ! 🔎 Ce qu’il faut savoir : • 5 millions de personnes ont été victimes de violences sexuelles pendant leur enfance en France. Pourtant, 87% des Français sous-estiment ce chiffre. • Près de 40% des Français croient que les auteurs sont souvent des inconnus, alors qu’ils sont majoritairement des proches ou des membres de la famille. • Moins de 20% des Français réalisent qu’un prédateur en ligne peut contacter un enfant en moins d’une minute. 💡 La prévention doit être notre priorité absolue ! La sensibilisation et l’éducation sont les armes les plus puissantes contre ces violences. Il est urgent de : • Former les parents, les enseignants et les professionnels à reconnaître les signes d’alerte. • Éduquer les enfants sur les dangers en ligne et les comportements à adopter pour se protéger. • Renforcer les campagnes de sensibilisation pour que chacun sache comment réagir face à une situation de danger. La prévention ne peut pas attendre. Ensemble, faisons de la protection de nos enfants une priorité, à la fois dans leur vie quotidienne et sur Internet. Soyons acteurs du changement et engageons-nous à créer un environnement sûr pour les plus jeunes. #Prévention #ProtectionEnfant #LutteContreLesViolencesSexuelles #Sensibilisation #CyberSécurité #EnfanceEnDanger #AgissonsEnsemble
[VIOLENCES SEXUELLES FAITES AUX ENFANTS] La CIIVISE et l'Association e-Enfance / 3018 ont fait réaliser une enquête sur le niveau d'information des français.e.s sur le sujet des #violences sexuelles en direction des #enfants. parmi les principaux enseignements : ▶️ Les deux tiers des Français (64%) déclarent avoir le sentiment d’être bien informés concernant les violences sexuelles faites aux enfants en France. La plupart des Français (80%) estiment également qu’ils sauraient comment réagir (signalement, accompagnement, aides, etc.) s’ils étaient témoins ou au courant de violences sexuelles commises sur un enfant, dont 30% qui l’affirment de façon certaine. ▶️ Néanmoins, lorsqu’on interroge les Français sur des données réelles sur le sujet, les confusions sont nombreuses, et tout particulièrement chez les profils qui avaient le sentiment d’avoir un bon niveau de connaissance (les hommes, les parents de jeunes enfants et les moins de 35 ans). ▶️ Les Français sous-estiment largement le nombre de personnes qui ont été victimes de violences sexuelles lorsqu’ils étaient enfants, en France. En effet, 82% estiment ce chiffre à 500 000 (34%) ou 2 millions (48%), loin du chiffre réel de 5 millions (seulement 13% avaient une estimation juste). Aussi, un quart des Français (25%) considère que sur une classe de 30 élèves, un d’entre eux (voire aucun) a été (ou est) victime d’inceste en France, alors qu’ils sont en réalité trois. ▶️ 4 Français sur 10 (39%) estiment que les auteurs de violences sexuelles sont surtout des personnes issues de l’entourage de l’enfant mais hors de la famille et des proches, voire totalement inconnues, alors qu’il s’agit dans la plupart des cas de membres de la famille ou des proches ▶️ A peine plus d’un Français sur deux (54%) a conscience que le risque d’être #victime de violences sexuelles pour un enfant est aussi important sur Internet que sur des lieux physiques. ▶️ Moins d’un Français sur cinq (18%) a conscience qu’il s’écoule en moyenne moins d’une minute avant qu’un potentiel auteur de violences sexuelles ne contacte un enfant sur un site internet / une application permettant de dialoguer. ▶️ Les deux tiers (65%) des Français ont conscience que les garçons sont autant concernés que les filles par les violences sexuelles faites aux enfants sur Internet. ▶️ Une majorité de Français (61%) savent que l’âge moyen d’inscription sur les réseaux sociaux se situe à 8 ans, une part non négligeable (plus d’un quart) tend à penser que cela intervient beaucoup plus tard (autour de 14 ans). Une étude à retrouver ci-dessous ou à cette adresse : https://lnkd.in/e34iVU3f
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Cette enquête de la CIIVISE et de l’Association e-Enfance / 3018 révèle une réalité alarmante : même si beaucoup de Français pensent être bien informés sur les violences sexuelles faites aux enfants, les chiffres montrent une méconnaissance généralisée et une sous-estimation des risques. 😟 🔴 Il est temps de changer les choses : la prévention est la clé ! 🔎 Ce qu’il faut savoir : • 5 millions de personnes ont été victimes de violences sexuelles pendant leur enfance en France. Pourtant, 87% des Français sous-estiment ce chiffre. • Près de 40% des Français croient que les auteurs sont souvent des inconnus, alors qu’ils sont majoritairement des proches ou des membres de la famille. • Moins de 20% des Français réalisent qu’un prédateur en ligne peut contacter un enfant en moins d’une minute. 💡 La prévention doit être notre priorité absolue ! La sensibilisation et l’éducation sont les armes les plus puissantes contre ces violences. Il est urgent de : • Former les parents, les enseignants et les professionnels à reconnaître les signes d’alerte. • Éduquer les enfants sur les dangers en ligne et les comportements à adopter pour se protéger. • Renforcer les campagnes de sensibilisation pour que chacun sache comment réagir face à une situation de danger. La prévention ne peut pas attendre. Ensemble, faisons de la protection de nos enfants une priorité, à la fois dans leur vie quotidienne et sur Internet. Soyons acteurs du changement et engageons-nous à créer un environnement sûr pour les plus jeunes. #Prévention #ProtectionEnfant #LutteContreLesViolencesSexuelles #Sensibilisation #CyberSécurité #EnfanceEnDanger #AgissonsEnsemble
[VIOLENCES SEXUELLES FAITES AUX ENFANTS] La CIIVISE et l'Association e-Enfance / 3018 ont fait réaliser une enquête sur le niveau d'information des français.e.s sur le sujet des #violences sexuelles en direction des #enfants. parmi les principaux enseignements : ▶️ Les deux tiers des Français (64%) déclarent avoir le sentiment d’être bien informés concernant les violences sexuelles faites aux enfants en France. La plupart des Français (80%) estiment également qu’ils sauraient comment réagir (signalement, accompagnement, aides, etc.) s’ils étaient témoins ou au courant de violences sexuelles commises sur un enfant, dont 30% qui l’affirment de façon certaine. ▶️ Néanmoins, lorsqu’on interroge les Français sur des données réelles sur le sujet, les confusions sont nombreuses, et tout particulièrement chez les profils qui avaient le sentiment d’avoir un bon niveau de connaissance (les hommes, les parents de jeunes enfants et les moins de 35 ans). ▶️ Les Français sous-estiment largement le nombre de personnes qui ont été victimes de violences sexuelles lorsqu’ils étaient enfants, en France. En effet, 82% estiment ce chiffre à 500 000 (34%) ou 2 millions (48%), loin du chiffre réel de 5 millions (seulement 13% avaient une estimation juste). Aussi, un quart des Français (25%) considère que sur une classe de 30 élèves, un d’entre eux (voire aucun) a été (ou est) victime d’inceste en France, alors qu’ils sont en réalité trois. ▶️ 4 Français sur 10 (39%) estiment que les auteurs de violences sexuelles sont surtout des personnes issues de l’entourage de l’enfant mais hors de la famille et des proches, voire totalement inconnues, alors qu’il s’agit dans la plupart des cas de membres de la famille ou des proches ▶️ A peine plus d’un Français sur deux (54%) a conscience que le risque d’être #victime de violences sexuelles pour un enfant est aussi important sur Internet que sur des lieux physiques. ▶️ Moins d’un Français sur cinq (18%) a conscience qu’il s’écoule en moyenne moins d’une minute avant qu’un potentiel auteur de violences sexuelles ne contacte un enfant sur un site internet / une application permettant de dialoguer. ▶️ Les deux tiers (65%) des Français ont conscience que les garçons sont autant concernés que les filles par les violences sexuelles faites aux enfants sur Internet. ▶️ Une majorité de Français (61%) savent que l’âge moyen d’inscription sur les réseaux sociaux se situe à 8 ans, une part non négligeable (plus d’un quart) tend à penser que cela intervient beaucoup plus tard (autour de 14 ans). Une étude à retrouver ci-dessous ou à cette adresse : https://lnkd.in/e34iVU3f
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97% des violences sexuelles faites aux enfants sont commises par des hommes. C’est en préparant une de mes consultations que je suis tombée sur ce chiffre provenant de la CIIVISE*. Et très souvent la jeune victime connait son agresseur. Comme le dit le rapport : “nous avons toutes et tous en tête l’image d’un individu inconnu, agissant seul dans l’espace public ou la figure monstrueuse de l’individu appartenant à un réseau qui enlève les enfants.”. Bien que cela existe et est présent, cela ne représente pas la majorité des agresseurs. Pour rappel, 3,9 millions de femmes (14,5%) et 1,5 million d’hommes (6,4%) ont été confrontés à des violences sexuelles avant l’âge de 18 ans. Les agresseurs sont dans une immense majorité des hommes et les victimes le plus souvent des filles. Les violeurs sont d’abord les pères (27%), les frères (19%), les oncles (13%), les amis des parents (8%) ou les voisins de la famille (5%). Attention, toutefois, aux raccourcis… Le rapport précise que "constater que les violences sexuelles sont sexuées ne doit pas être interprété comme une minimisation de la gravité des violences sexuelles quand elles sont commises par des femmes ou qu’elles sont subies par des garçons." Les grandes vacances arrivant, je vous demande de choisir avec le plus grand soin la personne (s’il y en a) qui s’occupent de vos enfants, d’en parler au préalable avec vos enfants, et de regarder leur réaction. 💜✊️ ___________ Source : SYNTHÈSE - VIOLENCES SEXUELLES FAITES AUX ENFANTS : « ON VOUS CROIT » - Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants (CIIVISE) - 2023 Définition : Ces violences consistent à utiliser le corps d’un enfant ou d’un adolescent à des fins sexuelles en le forçant ou en l’incitant à prendre part à des activités sexuelles, qu’il en ait conscience ou non. Exhibition, attouchement, viol, inceste, mutilation sexuelle, sextorsion, harcèlement, visionnage de pornographie… Ces violences sont multiples et peuvent désigner des situations très diverses. Toutes sont interdites et sanctionnées par la loi, et un adulte n’a pas le droit d’avoir des relations sexuelles avec un enfant de moins de 15 ans 👋 Moi, c'est Margaux, je suis se×ologue, et je vous reçois à Boulogne-Billancourt ou en visio
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#metoosansvoix un questionnaire créé par Marie Rabatel et stéphanie plasse à destination des personnes en situation de handicap concernant les violences sexuelles. il est anonyme
Formatrice - accompagnement pair aidance 🏄♀️freestyleuse de l’inclusion 🤸♀️| 🪢Tricoteuse d'apprentissages et de communication alternative pour une société de la neurodiversite 🔦🔦éclaireuse du #metoosansvoix
Parce que vous savez tous que lutter contre lez violences sexuelles faites aux personnes entravées dans leur communication orale est essentiel, voici un questionnaire anonyme pour libérer la parole . Remplissez et faites suivre je vous en supplie ! On a besoin de vous tous pour lutter contre ce fléau ! On a besoin que la honte change de camp et que la parole se libère enfin ! SABINE FERRUCCI Christelle Tréhet Collet Lynn DEW Judith Babot Judith Labouverie Raphael Terrier Ledoux Aline Marie Rabatel Isaac Francophone Stéphane Jullien JOEL PANSARD Marie Voisin Du Buit Marie-Luz Ceva Mathilde Magnien Mathilde SUC-MELLA https://lnkd.in/eRScP8i6 #metoosansvoix
Questionnaire ANONYME sur les violences sexuelles (à destination des personnes handicapées)
docs.google.com
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Exclure les comportements sexistes et les violences sexuelles grâce aux dynamiques internes, est-ce possible ? Nos formatrices, Mélanie GOYEAU et Clémentine Rubio, ont été sollicitées pour créer une formation sur-mesure destinées aux référent·es anti-sexisme d’une grande association nationale. 👉 Le but était de les aider à créer une prise de conscience interne parmi leurs membres, afin de lutter contre les comportements sexistes et les violences sexuelles, qui pourraient avoir lieu au sein de leur structure. Les questions suivantes ont été abordées durant cette intervention : ➡️ Comment embarquer tou·tes les adhérent·es pour comprendre l’importance d’un environnement associatif sans sexisme et sans attitudes discriminatoires ? ➡️ Comment s’adresser aux différentes générations de l’association ? ➡️ Comment gérer les situations de sexisme au sein de leur structure ? ➡️ Comment se renforcer en tant que référent·e pour être solide dans ses valeurs et ses missions ? Ils étaient 4 à répondre à ces interrogations : nos deux formatrices, Camille Désiré et Jules Farce. Grâce à elleux, les participant·es ont bénéficié : ✅ d’un apport juridique ; ✅ de retours d’enquêtes disciplinaires ; ✅ d’exemples d’approches non-punitives pour agir sans exclure. Les personnes présentes ont pu réfléchir et trouver des réponses concrètes à leurs problématiques, notamment grâce à des exercices inspirés de l’éducation populaire. 👉 Prévenir plutôt que gérer la crise. 👉 Savoir lancer une dynamique de groupe pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles. 👉 Envisager autre chose qu’une exclusion quand c’est possible. Ce sont les défis que vont tenter de régler cette association. Quel est le plus gros défi dans votre structure en ce moment, sur ce sujet ? ⬇️
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