Post de Ahmed Abd El Maleck

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Youth activist 🇲🇷 | Doctorant, Enseignant et Chercheur en S.E.G | Consultant et business coach.

Cette année, j'ai été témoin des travaux de peinture réalisés sur une route principale, celle reliant le carrefour Mauricentre à la maison du premier président de la république, le défunt Mokhtar Daddah. Une tradition annuelle qui consiste à maquiller la ville avant les festivités liées à l'indépendance. Les peintures ont été réalisées manuellement, non pas par des professionnels avec des équipements sophistiqués et des machines spécialisées, mais par deux amateurs, armés seulement de seaux et de pinceaux. Résultat : un véritable désastre visuel. Les traits sont maladroits, non alignés, avec des zigzags qui défigurent l’ensemble. L’irrégularité de la peinture dénote un manque de préparation et de compétence technique, ce qui suscite de nombreuses interrogations sur l'organisation et les choix faits dans le cadre de cette initiative. Pourquoi un tel échec ? Peut-être est-ce le résultat d'un manque de ressources, d'une gestion insuffisante ou de la précipitation pour finaliser ces travaux avant la date des célébrations. En tout cas, cet aspect "maquillage" de la ville, censé symboliser la fête et la fierté nationale, finit par ternir l'image d'une ville qui mériterait un travail plus soigné et réfléchi. On peut se demander si cet "embellissement" annuel n'a pas plus de répercussions négatives que positives lorsqu'il est mal exécuté. #BetterEducationForMauritania #pionniers_du_changement #LeColibriMauritanien

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