Post de Agence Disobey

le stress et l’impatience doivent bien monter

A suivre

Faisons le maximum de bruit pour Sam Goodchild et Team for the Planet pendant les 14 semaines à venir!! Parceque quoi qu’en disent les climatosceptiques, there is no planet b 🌍 Et si en plus du bruit vous voulez investir dans le climat, suivez le lien https://lnkd.in/gTDGUvTW

[ÉVÈNEMENT🥇] – Résultat de la course ODD 2024 : du 9 au 25 Septembre ! La Commission Sport et la Commission Développement Durable & Biodiversité de l’UDE MEDEF Guadeloupe remercient l’ensemble des participants ayant relevé le challenge et parcourus plus ou moins 17km pour soutenir la course des ODD (objectifs de développement durables). 𝗩𝗼𝗶𝗰𝗶 𝗱𝗼𝗻𝗰 𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁𝘀 : 1) SGDM : 74,60 km (course seul) 🥇 2) GROUPE LORET : 61.79 km (course en groupe) 🥈 3) UDE MEDEF Guadeloupe : 60,50 km (course en groupe) 🥉 4) FROID CLIMATISATION : 26,23 km (course seul) 🏅 5) CGFF Antilles-Guyane : 20,02 km (course seul) 🏅 6) Gardel SA : 11,62 km (course seul) 🏅 Bravo à toutes et à tous pour votre participation 👏 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹, 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀𝗲 𝗮𝘃𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗼𝗯𝗷𝗲𝗰𝘁𝗶𝗳 : 👉 D’inciter la pratique du sport en entreprise pour valoriser le bien-être au travail, 👉 D’affirmer l’engagement des acteurs économiques en faveur de la biodiversité et du développement durable des îles de Guadeloupe. Ludovic Erbeïa, Nicolas PHILIPPOT, ♻️ Emmanuelle LACOSTE ♻️, Vanessa DOQUET, Sandrine Gueyraud, Bonnot Angelique, Valéry JALBERT, Sabrina Dahomay, DUGAZON SPORTING CLUB, GROUPE LORET, SGDM, R3 Attitude, Gardel SA, CGFF Antilles-Guyane, Froid Climatisation Performances. #courseodd #objectifs #développementdurable #résultats #distance #challenge

Ce n'est pas du tout son style de se vanter 😎 Pourtant il a clôturé l'année 2023 avec 2 courses Transatlantiques 💪 Depuis la dernière Route du Rhum, Francois Guiffant réalise son rêve d'enfant : parcourir les mers du monde avec son Imoca Partage. Après la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre vers la Martinique en duo et le Retour à la Base vers Lorient en solitaire en novembre et décembre, François a un nouveau challenge en tête pour 2024 : courir le Vendée Globe ! C'est un grand défi, à la fois sportif et financier. Et c'est là que François a besoin de soutien. Il recherche des mécènes complémentaires prêts à le rejoindre rapidement pour se donner toutes les chances de participer à cette course mythique autour du monde dont le départ sera donné en novembre prochain. Son projet, c’est avant tout un projet solidaire : ❎ Un soutien à des enfants d’IME qui partent en classe de mer dans le pays bigouden dans le Finistère #enfance ❎ Un bateau dont l’empreinte carbone est la plus basse de la flotte Imoca #durabilité ❎ Un homme humble porteur de valeurs de la course au large : courage, dépassement de soi, partage #bellesvaleurs ❎ Une participation aux côtés de mécènes déjà présents et issus des secteurs de la prévoyance, de la protection de l’eau #mecenatdecoeur ❎ Un outil de communication puissant avec un retour sur investissement de 1 sur 10 #communication #impact Il y a plusieurs niveaux de mécénats possibles, comprenant : ⛵ Des rencontres avec François ⛵ Des sorties en bateau ⛵ Un accueil sur le Village du Vendée Globe en novembre ⛵ Des possibilités d’embarquer des équipes d’entreprises pour vibrer ensemble et faire du lien autour d’un projet à la fois hors normes et très humain ⛵Et point qui a son importance, une défiscalisation à hauteur de 60% de la somme versée Alors qui en sera ? ------ Crédits Photos JEAN-MARIE LIOT IMAGES

À ce jour, toutes les courses qualificatives pour le Vendée Globe sont terminées. Depuis trois ans, le projet PARTAGE a joué avec enthousiasme et détermination le jeu des qualifications et participé à 4 courses majeures qualificatives, toutes terminées, dans les temps, dans le match des bateaux à dérives, et en laissant toujours quelques compétiteurs dans le sillage. Il cumule pour la période un nombre de milles réellement parcourus conséquent et sans casse. Il reste le projet à l’empreinte carbone la plus faible de la flotte. Nous nous battons avec nos armes, sur un projet modeste, à échelle humaine, et respecterons quelle qu’elle soit la décision prise par la SAEM Vendée quant à notre participation au Vendée Globe 2024. Cependant nous avons démontré que le couple skipper bateau est fiable et en capacité de faire le tour du monde. Clarifions un point parfois mal compris : l’IMOCA PARTAGE dispose d’un certificat de jauge valide au même titre que n’importe quel concurrent. Le règlement précise que les bateaux participant au Vendée Globe 2024 doivent être construits après le 1er janvier 2005. L’IMOCA PARTAGE est six mois trop ancien pour satisfaire à cette règle. Nous bénéficions sur ce point d’une dérogation votée par le bureau de la classe IMOCA. Notre bateau est donc 100% en mesure de prendre le départ du prochain Vendée Globe. Le travail et l’énergie mis en œuvre sur les trois dernières années pour fédérer des partenaires autour des valeurs de PARTAGE nous permet d’envisager d’être sur la ligne de départ en novembre prochain. Nous croyons donc vraiment en nos chances d’obtenir la wild card délivrée par l’organisation, ou mieux encore que la SAEM Vendée reconnaisse les efforts et l’investissement des 42 équipes qui prétendent aujourd’hui être au départ aux Sables d’Olonne et permette à chacun de réaliser son rêve. François Guiffant et l’équipe PARTAGE - #onestdanslepartage #voilepartage #gofanch #IMOCA - IMOCA | Vendée Globe | © Jean-Marie Liot

Dimanche c’est le départ du Vendée Globe , une épreuve d’endurance en solitaire, sans escale et sans assistance. Depuis 1989, il pousse les skippers à se dépasser face à des conditions extrêmes, en naviguant dans les océans les plus redoutables du globe et en passant par les trois grands caps : Bonne-Espérance, Leeuwin et Horn. Ce n’est pas seulement une question de performance sportive, mais surtout de résilience et d’adaptation. Chaque difficulté peut se transformer en occasion de rebondir. Les skippers doivent tenir, malgré les avaries et la solitude. Un exemple marquant de cette détermination : en 2020, la marraine de Bill, Samantha Davies heurte un objet flottant, ce qui endommage lourdement la quille de son bateau. Forcée de s’arrêter en Afrique du Sud, elle doit malheureusement abandonner la course officielle. Cependant, après les réparations, elle choisit de repartir, hors course, pour continuer son tour du monde et soutenir son engagement pour Mécénat Chirurgie Cardiaque , inspirer et sauver des vies. À notre niveau, la Mini Fastnet nous a mis a l’épreuve d’une manière similaire : après une escale technique nous sommes repartis sachant que nous ne pouvions plus gagner et nous nous sommes battus pour la passion du sport et les valeurs que nous soutenons : quoi qu’il arrive, on n’abandonne jamais. C’est ce que nous avons prôné toute l’année. Ce sport est exigeant et difficile mais il ne faut pas céder devant les obstacles. Chaque défi nous rend plus forts, plus déterminés à aller au bout de notre objectif, quelles que soient les conditions. Le Vendée Globe est l’ultime exemple de cette mentalité. ❤️ Initiatives-Cœur sauvent des enfants à travers l’initiative « 1 CLIC = 1 CŒUR. » Grâce aux interactions du public sur les réseaux sociaux, chaque abonnement, commentaire ou partage sur les comptes d’Initiatives-Cœur génère un don de 1€ par ses sponsors-mécènes. Depuis 2009, cette opération permet de financer des opérations pour des enfants atteints de maladie cardiaque. Et vous qui allez vous suivre en particulier ?

Spis déchirés : « il y a du boulot ! » La flotte du Vendée Globe glisse ce matin entre l’archipel des Açores, dans son nord, et celui des Canaries au Sud. Le vent, fort et instable depuis mardi soir, commence à faiblir tout en restant instable. Ses soucis techniques réparés, le skipper Fives Group – Lantana Environnement a pu accélérer à nouveau hier après-midi… avant que ses spis ne le lâchent, l’un après l’autre. Mais Louis, lui, ne lâche rien !   Hier après-midi, dans une brise encore soutenue, Louis avait renoué avec de belles vitesses moyennes, jusqu’à ce que son petit spi ne se déchire. Une voile de 2023, pas abîmée à priori : « il y avait peut-être un petit accroc », suppose le marin.   J’ai passé 2h, arrêté, à tout ramasser Qu’à cela ne tienne, Louis a aussitôt envoyé son grand spi ! Mais, dans la nuit, cette grande et puissante voile d’avant a explosé dans une rafale. « J’ai passé 2h arrêté à tout ramasser, les morceaux dans l’eau, dans la dérive et en l’air. Tout est à bord, les drisses et le bout-dehors n’ont pas bougé. Depuis, le vent a tourné, avec des grains. J’ai passé la nuit sous gennaker : ça n’allait pas si mal. Le petit spi est réparable : il y a du boulot ! »   Une avarie par jour, c’est le lot… Ces contraintes techniques sont le lot quotidien des coureurs au large. Plusieurs autres concurrents ont eux aussi eu des déboires… L’important est de réussir à composer avec autant que possible, pour poursuivre la course, le voyage, l’aventure à partager.   Se battre quoiqu’il arrive : c’est certain ! A 7h ce matin, le skipper Normand pointe en 30e position, 8e des bateaux à dérives à 70 milles (140 km) du premier. Une fois encore, il s’agit d’un tour du monde, de trois mois de course non-stop, H24, 7j/7. L’essentiel est de pouvoir se battre jusqu’au bout !   Partir seul à la voile autour du monde est forcément synonyme d’imprévus, voire d’imprévisible. Mais s’il y a une chose dont on peut être certains, c’est que tant qu’il y aura des solutions à imaginer (et Louis a beaucoup d’imagination) pour réparer et continuer sa course, il les mettra en œuvre ! C’est là tout le piment de cette circumnavigation qui doit être sans escale et sans assistance.    Fives #lantanaenvironnement Best Energies Département de la Manche Région Normandie CCI Port de Caen-Ouistreham SLAM IMOCA Vendée Globe Photo Armel VRAC 🌱  

Quelle fierté pour notre entreprise ayant son Président fondateur 100% niçois, d’avoir pu réaliser pour la quatrième fois le Bilan Carbone de cette magnifique épreuve qu’est le de Tour France 2024, notamment en cette arrivée exceptionnelle sur la Promenade des Anglais et la Place Masséna ! 🚴 Grâce à cette collaboration avec le Groupe A.S.O. - Amaury Sport Organisation, nous pouvons attester de la trajectoire continue de réduction de l’empreinte environnementale de la Grande Boucle. Une opportunité inédite pour un événement d’une telle envergure ! 🥇 Un grand bravo aux équipes de Christian Prudhomme pour leur engagement écoresponsable sans faille ! Leur dévouement pour un Tour de France plus vert est exemplaire. 🌱 Et félicitations à Tadej Pogačar, à nouveau vainqueur du Tour de France 2024 ! Une triple performance incroyable qui nous a tous inspirés. 🎊 A l’aube des #JeuxOlympiques, la ville qui respire le soleil et l’énergie positive #Nice06, est toujours prête à accueillir le meilleur du sport et du cyclisme ! 💛 🗯️ Alors, pour célébrer cette belle avancée, on aimerait connaître votre avis : 📌 Comment pensez-vous que les grands événements sportifs peuvent encore améliorer leur impact environnemental ? 📌 Quels autres événements devraient suivre cet exemple ? #TourdeFrance #BilanCarbone #EcoResponsable #GlobalClimateInitiatives #ASO #LaGrandeBoucle #GreenCycling

Pourquoi le Vendée Globe est bien plus qu’une simple course à la voile ? (partie 1) Le 10 novembre prochain, c'est le démarrage du Vendée Globe, qui a lieu tous les 4 ans. Étant passionné par cet événement mythique, j'ai décidé d'en faire une petite série de posts, destinée à investiguer les enseignements que nous pourrions en tirer pour rendre nos sociétés plus durables. Aujourd'hui, place à l'opposition entre performance et robustesse, chère à Olivier Hamant. Sur le Vendée Globe, tous les skippers ne sont pas logés à la même enseigne. Certains bénéficient du soutien de riches sponsors qui leur permettent d'accéder à des bateaux à la pointe de l'innovation pour gratter toujours plus de vitesse. Les "foils", ces ailerons situés sur les flancs de la coque et qui représentent près de la moitié du prix du bateau, en sont un exemple marquant. Ceux qui en sont équipés volent presque sur l'eau (c'est le même principe qu'une aile d'avion), réduisant ainsi les forces de frottement. Revers de la médaille, ces foils sont très fragiles et peuvent engendrer des voies d'eau s'ils se fissurent. Le skipper britannique Alex Thompson, souvent équipé du bateau le plus rapide de la flotte, a ainsi dû abandonner 3 fois en 5 participations. Régulièrement annoncé favori, il n’aura jamais remporté la course. À l'inverse, certains marins naviguent (par choix ou par manque de budget) sur des bateaux plus anciens, seulement dotés de "dérives droites" nettement moins performantes. Il y a 4 ans, Jean Le Cam, pourtant équipé d'un vieux bateau à dérives, finissait 4ème, proche du vainqueur. En se fiant aux caractéristiques pures de son bateau (un déficit théorique de 10 nœuds au portant, c'est-à-dire quand le vent vient par l'arrière), Jean aurait dû finir très loin derrière. Il n'en a rien été. La conclusion résonne donc avec les messages d'O. Hamant : dans un monde fluctuant (a priori donc pour un tour du monde à la voile), viser la robustesse est gage de stabilité. Les vagues que nous aurons à affronter ne seront peut-être pas celles de l’océan (encore que), mais elles seront bien prégnantes : changement climatique, effondrement des services écosystémiques, conflits géopolitiques, pénuries… Dès lors, les entreprises qui seront encore là dans 30 ans risquent fort de ne pas être les licornes que l’on porte aux nues… mais bel et bien les entreprises qui oseront sacrifier un peu de leur performance au profit de la robustesse.