Post de ⭐ Marie Quinquis ⭐

Après un week-end mémorable pour la ville des Sables d’Olonne avec le départ de la 10ème édition du Vendée Globe ⛵ , plusieurs points communs m’apparaissent évidents entre cette course au large et nos activités commerciales : Contre vents et marées, ces derniers mois, il a fallu faire preuve d’abnégation et sortir de sa zone de confort pour être dans la course. Le talent inné est un précieux atout, mais comme les marins, nos équipes ont su se préparer et reprendre les méthodes fondamentales avec rigueur, appréhender les nouvelles technologies et les nouveaux usages, et s’adapter à nos écosystèmes en mouvement permanent. Autour de chaque négociateur, on retrouve une équipe qui s’efforce d’assurer de bonnes conditions d’exercice, et nourrir l’enthousiasme que requiert ce métier. Comme pour les 40 skippers, nous avons mis cap sur 2025 puisque les compromis de ventes signés depuis quelques jours s’acteront en janvier prochain, lorsque les premiers navigateurs approcheront de la ligne d’arrivée et du mythique chenal sablais. Et finalement, les tous meilleurs feront même mieux que les années précédentes, illustrant que dans chaque période de doute, des opportunités sont toujours possibles si on choisit la bonne stratégie et la bonne voie.

À ce jour, toutes les courses qualificatives pour le Vendée Globe sont terminées. Depuis trois ans, le projet PARTAGE a joué avec enthousiasme et détermination le jeu des qualifications et participé à 4 courses majeures qualificatives, toutes terminées, dans les temps, dans le match des bateaux à dérives, et en laissant toujours quelques compétiteurs dans le sillage. Il cumule pour la période un nombre de milles réellement parcourus conséquent et sans casse. Il reste le projet à l’empreinte carbone la plus faible de la flotte. Nous nous battons avec nos armes, sur un projet modeste, à échelle humaine, et respecterons quelle qu’elle soit la décision prise par la SAEM Vendée quant à notre participation au Vendée Globe 2024. Cependant nous avons démontré que le couple skipper bateau est fiable et en capacité de faire le tour du monde. Clarifions un point parfois mal compris : l’IMOCA PARTAGE dispose d’un certificat de jauge valide au même titre que n’importe quel concurrent. Le règlement précise que les bateaux participant au Vendée Globe 2024 doivent être construits après le 1er janvier 2005. L’IMOCA PARTAGE est six mois trop ancien pour satisfaire à cette règle. Nous bénéficions sur ce point d’une dérogation votée par le bureau de la classe IMOCA. Notre bateau est donc 100% en mesure de prendre le départ du prochain Vendée Globe. Le travail et l’énergie mis en œuvre sur les trois dernières années pour fédérer des partenaires autour des valeurs de PARTAGE nous permet d’envisager d’être sur la ligne de départ en novembre prochain. Nous croyons donc vraiment en nos chances d’obtenir la wild card délivrée par l’organisation, ou mieux encore que la SAEM Vendée reconnaisse les efforts et l’investissement des 42 équipes qui prétendent aujourd’hui être au départ aux Sables d’Olonne et permette à chacun de réaliser son rêve. François Guiffant et l’équipe PARTAGE - #onestdanslepartage #voilepartage #gofanch #IMOCA - IMOCA | Vendée Globe | © Jean-Marie Liot

[Reportage] Alors que le départ de la dixième édition du Vendée Globe sera donné ce week-end, Éric Bellion, 48 ans, incarne la force tranquille. Ses précédentes expériences en mer, notamment les plus difficiles, lui permettront (peut-être) de l'aider à remporter la compétition. Ce qui est certain, en revanche, c'est que pendant cette aventure, il ira au bout de lui-même : "Lors du dernier Vendée Globe, j’ai découvert que j’avais des ressources infinies. J’avais très peur d’aller dans les mers du Sud. Et pile à cet endroit, il m’est arrivé ce que je redoutais le plus : casser mon gouvernail. Mon bateau était ingouvernable en pleine tempête. J’ai cru que j’allais mourir. Finalement, j’ai réussi à le réparer. J’aurais pu être terrifié, paniqué, tétanisé. Mais, dans la difficulté, la capacité à agir prend le dessus. Depuis, j’ai la conviction que nous avons tous des ressources illimitées. Nous pensons qu’elles sont limitées, mais ce n’est pas vrai ! Il y a juste une condition préalable de taille : aller au-delà de sa peur." 👉 À lire ici : https://lnkd.in/ePJm86Nb #VendeeGlobe #navigation #skipper #performance #sport #EricBellion #depassementdesoi #competition #echec #resilience #aventure

Une demi-transatlantique aller, une demi-transatlantique retour ? C’est parti ! 🔥 Demain à 13h, c'est le départ de ma plus grosse aventure sur OMS - AMIPI, ma petite fusée de course de 6m50 de long ! Avec environ 70 concurrents, nous partons tout droit pour les Açores sur la course "Les Sables - Les Açores - Les Sables 2024", a.k.a la SAS. La préparation pour s'engager sur cette course véritablement "océanique" n'a rien à voir avec la préparation habituelle. Une répétition générale idéale en vue de la Mini Transat 2025 ! Ces dernières semaines ont donc été particulièrement bien remplies pour que tout soit prêt pour le départ : ✅ Préparation et test du matériel de rechange en cas de casse/panne : pilote automatique, safran, tangon, bouts, … ✅ Contrôles multiples pour être autorisé à prendre le départ : cartes papiers, matériel de sécurité, bidons d’eau, amarres, ancre, pharmacie de bord, bidons de survie, radeau de survie, voiles, … ✅ Fiabilisation de toutes les parties du bateau, remplacement de toutes les pièces qui présentent de l’usure, objectif arriver au bout sans problème technique majeur. ✅ Analyse météo et stratégie : cette étape est encore en cours et nous occupera jusqu’à la dernière minute avant le départ pour profiter des derniers fichiers météos, les plus précis ! Une fois en mer, nous ne recevrons la météo qu’une fois par jour par vacation radio, et les infos reçues seront bien maigres. Ce ne sera pas simple d’éviter le piège de la pétole aux abords du fameux anticyclone des Açores… Avec un bateau plein de nouvelles couleurs et des partenaires qui m’apportent une énergie nouvelle, j’ai plus que jamais hâte de donner le meilleur de moi-même sur l’eau, pour être fier des 20 jours de mer cumulés qui nous attendent sur cette course en deux étapes 🔥🔥 Le départ sera à suivre en live sur la chaîne Youtube géniale de l'Offshore Social Club, dans des conditions qui devraient être assez molles avant de rapidement se durcir avec le passage d'un "front" dépressionnaire 🙀👻 🫡🍀 OMS & Co - Fondation AMIPI - Bernard VENDRE - Etablissements Peugeot Frères - Reflex Office Arnaud Sourisseau Constance Lorenzi Anne Jaubert Léopold Albert Erwann Goullin Jean-Marc Richard Sendecki Eric Solenne Fleytoux Océane Bance Nicolas Huet Frédéric Banzet Marie-Hélène Peugeot-Roncoroni Bertrand Michaud Maxime Laure

[UN JOUR SPECIAL 🎂] J’ai bouclé cette double transatlantique en solo et suis de retour à Port la Forêt, juste à temps, pour célébrer une date qui me tient à cœur. Il y a 1 an, jour pour jour, on mettait à l’eau notre STAND AS ONE, ce beau bateau qui ne ressemble à aucun autre… Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on a vécu intensément ces 12 derniers mois. Découverte, apprentissage, coup dur, joie, défi… toutes ces étapes ont été précieuses et méritent bien qu’on se les remémore. Aujourd’hui je vous partage une rétrospective sur cette première année de vie. Car oui, notre bateau a une âme et même un nom : All-in.  NAISSANCE - Juin 2023 : un moment de joie extraordinaire, le fruit de 3 ans de travail. Départ à deux d’une page blanche, puis rejoint au fil du temps par une véritable tribu. L’aventure commune est lancée. DECOUVERTE – Juillet 2023 : une fierté immense de révéler au monde ce bateau décalé, un bateau qui me ressemble, un choix assumé. C’était l’heure des premières navigations avec Martin Le Pape. BAPTEME – Octobre 2023 : un moment très intime qu’on a su créer au milieu du tumulte du départ de la Transat Jacques Vabre au Havre. C’est Mat Bastard qui baptise All-in, on chante à l’unisson « STAND AS ONE », ce titre tatoué sur la coque du bateau qui accompagne toutes nos aventures. Superbe souvenir en compagnie de tous les partenaires et de Raphaël Palti notre co-armateur avec ALTAVIA. PREMIERES BLESSURES – Novembre 2023 : un moment terrible le lendemain du départ. C’est l’avarie. Mon premier abandon en 20 ans de navigation. C’est aussi une période marquée par la volonté de ne pas se laisser abattre, de ne pas subir. Il fallait bien du courage pour repartir en chantier et remettre le bateau à flot. RESURRECTION – Mars 2024 : beaucoup de pression sur les épaules avec cette remise à l’eau expéditive avant de partir sur la piste noire : la transat anglaise. Première course de la saison qu’il fallait absolument réussir sans casser pour pouvoir se qualifier pour le Vendée Globe. L’objectif était de naviguer humblement pour pouvoir ensuite accélérer. EPANOUISSEMENT – Mai 2024 : un grand moment de joie que d’arriver à New-York par la mer et voir la fierté dans les yeux de mon équipe. On renoue avec le bonheur sportif et c’est enfin la récompense de ce travail acharné. AFFIRMATION – Juin 2024 : une transatlantique retour pleine de surprises qui m’a permis de renforcer le lien avec mon bateau. All-in s’affirme, ce n’est plus une machine sans âme, elle exprime son potentiel. Sur le Vendée Globe elle deviendra mon prolongement, mon arme absolue ! Bref c’était une année extraordinaire, dont je me souviendrai toute ma vie. Et le meilleur reste à venir.  Vivez intensément mais n’oubliez surtout pas de prendre du recul pour célébrer toutes ces étapes de la vie.👋 🤝 ALTAVIA, Workday, Saipol (Avril), BFM Business, RAISE, LeasePlan, BERMUDES 1984 📸 Yves Quéré, Thomas Deregnieaux (Qaptur), Jean-Louis Carli #STANDASONE #CourseAuLarge

[NOTRE BATEAU EST À L'EAU !] Je suis tellement heureux de vous annoncer qu’après 4 mois de chantier, STAND AS ONE remet ENFIN les voiles. 4 mois d’une intensité rare où l’équipe a travaillé sans relâche. La récompense est là, la première navigation est pour bientôt. Comme je suis fier de cette équipe, elle incarne plus que jamais notre pensée : STAND AS ONE. De l’insurmontable à la solution, je vous raconte : ➡️ Être en course bien avant la course Casser, ce n’est jamais juste ! Retourner en chantier aussi rapidement après la mise à l’eau d’un bateau neuf, c’est une épreuve psychologique. Il a fallu tenir, continuer de croire en ce projet, continuer d’embarquer toute l’équipe. Une équipe qui aurait pu faire le choix de claquer la porte, prêter main forte à un autre skipper… pourtant elle est restée à mes côtés, mobilisée, déterminée à trouver des solutions. La navigation en solitaire implique de faire des choix seul, des choix efficaces pour se sortir de situations parfois complexes. Heureusement, à terre, je suis entouré. On est 2 à la tête de cette équipe, c’est avec Marie Lattanzio que je partage toutes les prises de décision. Le temps joue contre nous. Il a fallu prendre la bonne décision et le faire rapidement. On est constamment à flux tendu, le temps qu’on perd maintenant c’est du temps qu’on ne retrouvera jamais. C’est aussi ça la course au large, être en course avant la course et faire le moins pire des choix. ➡️ Porter par la force du collectif Pas de Vendée Globe sans équipe. La course au large est certainement le plus collectif des sports individuels. Amener un bateau de course et son skipper autour du monde dans les endroits les plus hostiles de la planète avec ces moyens et ce temps imparti, c’est déjà une gageure. On peut le faire qu’avec une équipe chevronnée qui a une envie farouche de faire avancer les choses. Nos bateaux sont tellement complexes qu’ils exigent un collectif qui fonctionne bien. On a tous les jours des problèmes qui nous semblent insurmontables, on a qu’une seule exigence : c’est d’essayer de les résoudre. C’est ce que fait cette équipe : elle crée son propre espoir, prête à relever tous les challenges, déterminée à faire avancer les choses. Tout le monde a travaillé avec énormément de sérieux sur ce chantier qui finalement était double (réparation et développement). Dans nos projets on fait le deuil de la perfection, mais on fait le maximum. Faire travailler équipes et moyens au maximum de leurs possibilités, c’est ainsi qu’on vise l’harmonie. J’ai la chance d’avoir dans mon équipe des gens avec beaucoup d’empathie et d’énergie à donner aux autres. C’est grâce à eux qu’on a réussi, c’est un boulot de passionnés ! Se soutenir mutuellement, croire en nous, oser. Le 10 novembre, je serai au départ de mon deuxième tour du monde en solitaire, une aventure dont on se souviendra toute notre vie ! 🤝 ALTAVIA, Workday, Saipol (Avril), BFM Business, RAISE, LeasePlan, BERMUDES 1984 #STANDASONE #CourseAuLarge

Nous avons croisé le fameux marin à la poule Guirec Soudée 🐔, et voilà ce qu'il nous a écrit dans notre cabine : “Pensez à ma transat retour, où j’ai tourné en rond pendant 24 jours sans pouvoir atteindre l’Europe. Alors arrêtez de râler et reprenez les rames”. Guirec, c’est un tour du monde avec Monique sa poule, bientôt un Vendée Globe, mais surtout une transat aller-retour à la rame ! Donc niveau moments du creux en mer, à la voile comme à la rame, il en connaît un rayon. Le hasard fait bien les choses, c'était notre voisin au stand Association LAZARE, sur le village du Vendée Globe. Je lui ai donc demandé d’écrire, dans la cabine, un mot qu’il aurait aimé lire dans les moments les plus durs. Il a finalement écrit un mini roman, mais je vous partage cet extrait car il nous parle pour plusieurs raisons : 🕒 Cela relativise. Je crois que c’est l’essentiel du trajet mental qui nous attend ; prendre une situation inacceptable (la douleur, la fatigue, la longueur…), la remettre en perspective et décaler notre limite. Au final, on n’est pas bien là, entre potes, au milieu de l’océan ? 🤜 🤛 Ca nous relie entre "collègues". Sous couvert de défi, j’y vois surtout une compréhension entre rameurs. Il comprendra mieux que personne les hauts et les bas, pour en avoir vécu des plus coriaces. On sait qu’il sait ;) 💪 Ca titille l’ego, juste ce qu’il faut ;) On a décidé de faire notre transat hors-course, car on cherchait surtout à nous dépasser nous-mêmes, et non d’autres rameurs. Mais une petite boutade, parfois ça remotive. Ah, et il a terminé par “Qui ose, gagne”. C’est pas trop loin du "Just do it✔️" que j’avais en tête. Bon vent Guirec sur l’Everest des mers, et même si on est team Lazare, on sera à fond derrière toi aussi !!

Ce week-end, je suis parti faire la reconnaissance de L'Ultra Marin® sur plusieurs jours (175km en courant autour du golfe du Morbihan). J’habite non loin de Rennes, le départ de la course se fait à Vannes. En voiture j’en avais pour moins d’une heure à me rendre au départ. A la place, j’ai décidé de prendre le train (Groupe SNCF / BreizhGo). Cela m’imposait des contraintes en terme d’horaire et augmentation du temps de trajet (1h40). ❌J’aurai pu me dire : « Nico, tu perds ton temps, c’est moins pratique… » et ne voir que l’aspect négatif. ✅Pourtant je n’ai vu que du positif à donner un autre souffle à mon aventure sportive : 1️⃣ Prendre mon temps et vivre à fond cette aventure ! 🕘🫶 2️⃣ Ajouter du challenge à jongler avec les horaires de train afin d’adapter mon défi 🥳 3️⃣ Apporter ma part pour la planète en utilisant un transport moins polluant quand celui-ci est possible ! 🚂🌍 ——— Trop souvent, nos actions pour le climat sont perçues comme une privation. Même si les efforts sont faits, ce n’est pas la bonne solution sur le long terme car cela impacte notre moral. Pas ouf ! MAIS …😁 si à la place on leur donnait un côté fun ? Les actions restent les mêmes, mais dans la tête, ça change tout ! C’est ce que j’essaye de transmettre à travers mes eco-aventures et notamment le défi #OBJECTIFRECORDSURLEGR1 que je me lancerai en septembre prochain. Le sport est un formidable vecteur pour transmettre ces messages ! Il existe d’autres organismes qui partagent ces valeurs comme Institut du Sport Durable et Climatosportifs que je vous invite à découvrir ! NiCoach « Réussir sa vie, c’est rendre son monde plus sexy » 🩴 Panta Sandals 🐝🍯 Apirun #Ecoaventure #Ecologie #aventure #sportdurable

Christopher PRATT veut ancrer une écurie de course à Marseille ⚓ Le navigateur marseillais explique à l’Essentiel Marseille son projet de créer un écosystème autour de la course au large. 👉 Je m'inscris à l'Essentiel Marseille, notre newsletter brève, gratuite et factuelle : https://lnkd.in/eymbmtAF Pourquoi vouloir développer la course en haute mer ici ? 🌊 ◾ "De tout temps, elle a toujours été très présente en Bretagne, en Normandie, en Vendée, car c’est de là que partent toutes les grandes courses". "Cette pratique n’existe pas trop dans le Sud, où nous sommes plus sur une tradition de navigation de plaisance, de voiliers de tradition et de courses en flotte". ◾ "Je veux montrer qu’ici nous avons le savoir-faire pour mener à bien ce type de projet et lancer une écurie de course en haute mer, avec comme base notre trimaran Wind of Trust". "Il participera à la Route du Rhum en 2026 avec comme objectif de la gagner". Comment comptez-vous faire ? 🤔 ◾ "L’idée est de combiner dans un même lieu différents projets qui puissent se fédérer pour aller sur de grandes courses". "Il ne faut pas qu’un seul bateau et un seul skipper, mais créer tout un écosystème". ◾ "Ceci nécessite d’amener d’autres partenaires dans la voile pour susciter des vocations et avoir demain des jeunes qui prennent la relève". Quels sont les besoins ? ⛵ ◾ "Avant tout, il faut une dynamique sportive, économique et politique. Nous cherchons des fonds privés essentiellement, mais l’appui politique est fondamental pour une vision plus globale".   ◾ "Il y a aussi un besoin de générer du foncier pour accueillir ce type de structure". Nous devons prendre exemple sur La Ciotat qui a su se renouveler pour créer des emplois, des activités économiques et touristiques, ou Lorient avec la reconversion de sa base de sous-marins". Crédit photo : yohan brandt #evenement #innovation #sport #navigation #marseille

Un vrai projet, qui porte des valeurs et du sens