Nous devons choisir une capitaine qui sera à la barre, présente sur le pont et prête à mobiliser l’équipage. 2024 est l’année électorale par excellence. 4 milliards de personnes votent dans 77 pays, soit la moitié de la population mondiale. Notre Université ne fait pas exception. Nous voterons pour le second tour des élections rectorales ces 22, 23 et 24 avril prochains. Les enjeux à relever sont multiples. 1) Nous devons bâtir un modèle qui conjugue enseignement, recherche et service à la société au présent et au futur. 2) Nous devons jouer notre rôle-modèle en matière de responsabilité sociétale universitaire et en matière de diversité et d'inclusion. 3) Nous devons préserver nos valeurs humanistes, notre indépendance et exiger une autonomie de gestion des universités centrée sur les objectifs. 4) Nous devons contribuer au développement régional et à l’impact international à la hauteur de la grande qualité de notre Université. Pour relever ces enjeux, il faudra une rectrice forte d’un très large soutien électoral car la tâche sera périlleuse et ambitieuse. La crise du décret paysage en est déjà une parfaite illustration ! -> Alors, quelle que soit l'élection, allons voter ! Ne laissons pas les autres décider à notre place de l’avenir de notre Université, de notre société. La démocratie ne va pas de soi. Il faut la choyer. Avec toute ma conviction. Alain
Merci pour ton message fort et continue à te battre pour le modèle d université que tu as défendu (msg envoyé depuis le ciel entre Séoul et Munich)
Professeur émérite UCL
8 moisMerci pour ce message dynamisant!